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 © Lilas Giorgi

mercredi 17 juillet 2019

Chapitre 6 Le clan des puceaux




Le clan des puceaux : Episode 6



Quand je me réveillais, je me rendis compte que le silence régnait désormais dans la maison et qu’il faisait jour. J’ignorais combien de temps, j’étais resté endormit mais j’avais l’impression que cela faisait plusieurs jours. Je jetais un coup d’œil sur les rayons qui traversaient la pièce et je décidais d’ouvrir la trappe. Je m’approchais de la trappe et réalisait que je n’avais pas mal à la jambe. Je la regardais et je vis que le pantalon était déchiré. Je mis la main sur le sang sur le pantalon mais celui-ci était sec. Je touchais ensuite l’endroit où il y avait la déchirure du pantalon et je me rendis compte que je ne sentais rien. Aucune douleur, aucun picotement bref ! Rien ! Je fronçais les sourcils et je soulevais mon pantalon. Je fus alors paralysé en constatent qu’il n’y avait rien. Aucune morsure. Aucune griffure…Rien !
-C’est pas vrai ça ! J’étais pourtant sur qu’il m’ait bien mordu.

J’eus une moue et puis je décidais de soulever la trappe. Une fois fait, je jetais un coup d’œil vers le bas pour voir si le loup était toujours la mais le silence me répondit. Je ne savais pas quoi faire mais je me forçais à descendre l’escalier en bois. Une fois au sol, je pus voir le carnage autour de moi. Tout était renversé et du sang recouvrait les murs et le sol. J’étais dégoûté et j’eus envie de vomir quand, je vis le corps de ma mère complètement déchiqueté. Je mis une main sur la bouche pour m’éviter de vomir et je tournais la tête vers la droite. Je vis alors le corps de mon père lui aussi était entièrement déchiqueté. Je me sentais de plus en plus mal et je vis les corps de mes frères qui avaient également subit le même sort. Je me sentais tellement mal que je partie vers l’évier où je cru que j’allais vomir mais un craquement retentit derrière moi. Je me retins donc de vomir et je fixais intensément la direction où le craquement résonnait. Je sentis un frisson me parcourir et je réalisais que les craquements étaient des grattements. Qui pouvait ainsi gratter à ma porte d’entrée. Je frissonnais et je tentais de demander :
-Qui est là ?

Personne ne répondis et les grattements continuèrent plus forts ce qui me mis mal à l’aise. Je m’emparais du balai et le pointa devant moi au cas où le coupable pénétrerais dans ma maison.
-Qui est la ? Questionnais-je à nouveau toujours sans aucune réponse.

Je restais un moment silencieuse et immobile quand je décidais d’aller ouvrir. Je me dirigeais lentement en direction de la porte que j’ouvris en tremblant. A peine l’eus-je ouvert qu’une masse noir me bondit dessus et me fit perdre l’équilibre. Je tentais de repousser le coupable mais celui-ci ne cessait de me lécher le visage ce qui me fit alors rigoler. Je parvins après quelques essaie à repousser le coupable et je reconnu le chien de la police.
-Pin’s !

Le chien content que je l’aie appelé par son nom se mit à battre de la queue. Je le regardais battre de la queue et je vis qu’il porter une bande à la patte où il avait été blessé. Je souris et je me mis à le caresser en disant :
-Pin’s, tu veux bien devenir mon chien ?
-Waf ! Me répondit celui-ci.
-Bon ! Je vais prendre ça pour un oui.

Je poussais un soupir et je dis :
-Ecoute, je vais me préparer et on ira à la banque pour mettre les papiers de la maison à mon nom et la pharmacie pour vérifier que je n’ai pas chopé de saloperie avec mon ex.

Le chien m’écouta intensément et se mit à battre de la queue tout le long où je parlais. Je fis donc ce que je venais de dire en allant me doucher puis me changer de vêtements. Pin’s de son côté me suivit tout le temps que je faisais des actions. Il me suivit jusqu’à ce que je sois prête et je dis :
-Tu peux venir avec moi à la banque mais tu devras m’attendre dehors.
-Waf ! Me répondit celui-ci

Je souris et soudain, je dis :
-Merde ! Faut que j’appelle déjà la police pour les meurtres.

Je poussais un soupir et je me saisis du téléphone.
-Police, j’écoute !
-Bonjour, c’est pour vous signalez 5 meurtres. Les 5 victimes sont chez moi, elles ont toutes étaient tués par un énorme loup.
-C’est une blague ?
-Non ! Je vous promets que c’est vrai si vous me croyez pas venez de suite au 5 rue du chemin gredin. Vous verrez alors les corps et vous saurais que je ne mens pas.
-Très bien nous envoyons une patrouille de suite.

Je n’étais pas très rassurez par le fait d’avoir prévenu la police mais j’étais bien obligé de prévenir les autorités si je désirais ensuite récupérer la maison. Je jetais un coup d’œil autour de moi et je soupais un soupir en disant :
-Pfff ! Bon anniversaire Liv !

Je soupirais à nouveau et je décidais d’attendre la police au dehors de ma maison. Pin’s me suivis et bientôt une voiture de police arriva. Deux hommes policiers en descendirent et une très jolie femme rousse aux long cheveux ondulés et aux yeux verts. Je les regardais l’un après l’autre et la femme rousse alors dit :
-Bonjour, je me présente, je m’appelle Abigaïl Norck et je suis chroniqueuse. Je suis également psy à la gendarmerie quand il y à un meurtre bizarre, je viens sur l’état des lieus pour essayer de les éclaircirent.
-D’accord ! Enchanté !
-Pouvez-vous nous conduirent vers les cadavres ?

J’approuvais d’un signe de tête et les conduisis jusqu’au corps. Quand ceux ci virent le carnage, ils eurent du mal à ne pas vomir. L’un d’eux même sortie et vomi tendis que le second toussa. La jeune femme s’approcha du premier corps qui était celui de la mère et se mit à l’examiner. Elle l’examina un instant et finit par dire :
-Effectivement, ce corps présente des traces de morsure. On dirait des morsures d’un gros chien où d’un loup. Mais pour ce qui est d’un loup c’est étrange quand même. Il n’y à pas de loup ici.

Elle eut une moue et vit Pin’s ainsi que sa médaille.
-Pin’s ! Qu’est-ce que tu fais ici ?
-Il à du s’enfuir de sa cage, dit alors l’un des policiers.
-Il faut le ramener.

Sur ces mots, il se dirigea vers Pin’s mais celui-ci se mit à grogner. Le policier surpris sursauta et tourna la tête vers Abigaïl. Abigaïl le regarda et finit par dire :
-Je crois que Pin’s ne veut pas venir avec vous. Il est même fort possible qu’il ce soit enfui pour retrouver cette jeune fille.

Les policiers se jetèrent un coup d’œil et Abigaïl alors dit :
-Ecoutez ! Liv ! Je vous laisse Pin’s mais il vous faut un hôtel le temps qu’on finissent d’analyser le lieu du crime et donc votre maison.
-Mais Pin’s lui appartiens pas ! Dit alors l’un des policiers.
-Je sais bien mais je vais faire ce qu’il faut afin qu’il soit définitivement à elle car je vois bien que ce chien l’ait totalement adopté.
-Ce n’est pas vraiment dans nos lois normalement !
-Je sais mais, je vais aider cette fille à remettre le pied dans l’étriller et à continuer sa vie.

Les policiers ne dirent rien de plus sauf qu’elles devaient prendre des habits et ensuite suivre Madame Nork. J’obéis suivit de Pin’s, je partis dans la voiture qu’elle démarra pendant que les policiers téléphonaient à la gendarmerie pour avoir d’autres brigade sur les lieux. Abigaïl me conduisis ainsi que Pin’s jusque dans un hôtel et ensuite repartir sur les lieus du crime. Je regardais par la fenêtre et après un moment, je dis :
-Viens Pin’s on va aller au docteur. Je dois savoir si j’ai attrapé des maladies avec mon ex.

Le chien aboya et je sortis.
Je rentrais dans la salle d’attente et je me tournais face à Pin’s en disant :
-Reste la ! Et surtout ne laisse personne te toucher.

Le chien compris car il s’assit et si quelqu’un s’approchait de lui, il poussait des jappements bref mais qui disait tout. Le docteur me prit rapidement et me fit une ordonnance pour les maladies sexuellement transmissible. Je sortis ensuite du cabinet et un vieil homme alors dit :
-Il n’est pas commode votre chien !
-Je sais ! Il se méfie des étrangers.

Le vieil homme eut une moue et je tournais la tête face à Pin’s à qui je dis :
-Allait viens ! En route !

Il m’obéit aussitôt et je me dirigeais vers le laboratoire afin de faire la prise de sang.

Pendant ce temps, Maxime faisait du vélo prêt de la forêt quand il eut soudain l’impression qu’on l’espionnait. Il tourna la tête au même moment où quelqu’un lui bondit dessus en grognant. Maxime roula dans les feuilles ainsi que celui qui venait de lui sauter dessus. Il roula un instant et parvint à stopper prêt d’une racine d’un gros chênes. Il regarda le coupable et reconnu Danny.
-Danny ? Demanda celui-ci étonné.

Danny se releva et avait les yeux rouges.
-Danny ? C’est moi Maxime. Dit celui-ci tremblant.

Danny se calma et soudain dis :
-Qu’est-ce qui c’est passé ?
-Tu m’as sauté dessus et fait tombé du vélo.

Danny regarda le vélo et compris qu’il venait d’agir brusquement. Il s’excusa aussitôt et finit par dire :
-Je suis désolé mais j’ai perdu ma sœur…Elle à été attaqué par un grand loup…Ma famille…Tous sont mort !

Maxime eut du mal à tout saisir et alors dit :
-Que veux-tu dire ? Quelqu’un à tué ta famille ?
-Oui ! Un gros loup ! Il à emmener ma sœur et…Je ne l’ai pas retrouvé.
-Si j’ai bien compris, tu n’as plus de famille et d’endroit où vivre.
-Exactement…Et ma sœur…Le loup la emmener…
-C’est la seule chose que je ne comprends pas…Tu parles d’un loup…Un vrai loup ?
-Oui ! Et un énorme en plus…On aurait dis un loup-garou.

Maxime resta silencieux et Danny alors continua :
-On ne touche pas ma sœur ! Si je retrouve ce loup, je le tue !

Tout en disant ces mots, ces yeux rouges brillèrent d’avantage et Maxime alors répondit :
-Si tu veux, je t’aiderai à retrouver ce loup et à le tuer.

Quand Danny entendit ceci, il reprit sa couleur d’yeux vert.
-Tu feras vraiment ça ?
-Ben oui ! Bien sur ! Je ne vais pas te laisser te battre contre ce loup tout seul. On ne sait jamais ce qui peut se passer.

Danny le remercia et finit par dire :
-Pourquoi tiens-tu à m’aider ?
-Car je me mets à ta place et aussi car on à quelque chose en commun.
-Comment ça ? Demanda alors Danny en fronçant les sourcils.
-Car comme dis la bande à Kader nous sommes puceaux tous les deux donc je pensais qu’on pourrait être ami.

Danny eut une moue l’air pensif et soudain finit par dire :
-Pourquoi pas…Mais faut pas te sentir obligé. Uniquement parce que des idiots pensent qu’on devrait faire équipe ensemble.
-Non ! Bien sur ! Mais, je trouve que cela serait pas mal de faire équipe quand même. On pourrait au moins se comprendre et s’aider contre ces idiots.
-Oui ! Tu as raison approuva Danny d’un sourire en coin.

Maxime lui répondit de même et Danny alors dit :
-Tu aurais une cabane où l’on pourrait discuter tranquillement.
-Oui ! Bien sur suis-moi !

Danny obéit et se mit à suivre Maxime lorsqu’ils aperçurent Eddie sortir de sa maison et se diriger vers son vélo.
-Eddie ! Fait attention ! Mon Chéri ! Ne tombe pas sinon, tu auras plein de microbes.
-Oui ! Maman ! Ronchonna celui-ci l’air désespéré.

Danny et Maxime s’échangèrent un regard et Maxime alors dit :
-On devrait lui demandant de se joindre à nous.
-Oui ! Bonne idée ! Lui répondit Danny d’un sourire.

Ils se retournèrent face à Eddie et Danny l’appela.
-Eddie ! Eh ! Oh !

Eddie se retourna face aux deux garçons et dit :
-Oui ! Qu’est-ce qu’il y à ?
-ça te dis de faire équipe avec nous ? Nous voulons être ami mais aussi on pensait que l’on pourrait se défendre et se soutenir contre la bande à Kader.

Eddie resta immobile l’air pensif quelques secondes et finit par dire :
-Ok ! J’arrive !

Il rejoignit les deux garçons et ceux-ci partirent dans la cabane en bois de Maxime. Une fois tous à l’intérieur Maxime s’empara d’une paire de jumelle et se mit à fixer l’extérieur par la fenêtre. Danny de son côté s’empara d’une bande dessinée qu’il se mit à feuilleté tendis que Eddie resta assis les pieds hors de la cabane par l’entrée.
-Qu’est-ce que tu essayes de voir avec tes jumelles ? Demanda Danny en tournant une page de la bande dessinée.
-Mademoiselle Girane.
-La bibliothécaire ?
-Oui !
-Pourquoi, tu veux voir Mademoiselle Girane ? Demanda Eddie.
-Car tu vas comprendre. Attend juste un peu…

Eddie tourna la tête vers Danny qui le regarda et tout d’eux semblaient ne pas comprendre la raison. Maxime ne dis rien de plus jusqu’à un moment où il s’exclama :
-Vite ! Venez voir ! Elle est la !

Danny posa rapidement sa BD sur le sol de la cabane et rejoignis Maxime qui tenait les jumelles. Eddie tourna la tête et dit :
-Et alors ?
-Quoi ? Comment ça ? Alors ? Dit alors Maxime les yeux écarquillé.
-Pourquoi, veux-tu que je regarde cette femme. Je ne la connais même pas et je m’en fiche.

Danny et Maxime s’échangèrent un regard surpris et Maxime alors dit :
-Tu vas avoir la chance de voir, une femme nue ce n’est pas donné à tout le monde, tu sais ?
-Je m’en fiche moi de voir une femme nue. En plus regarder ça c’est sal !

Danny échangea un nouveau regard avec Maxime et Maxime alors dit :
-T’es PD où quoi ?
-PD ? Ah ! Non ! Berk ! Quel horreur !
-Ben alors pourquoi, tu agis comme ça ?
-Je…Je…Je n’aime pas ça !

Maxime regarda Danny et finit par dire :
-Je ne comprends pas comment, on peut ne pas aimer ça. Moi, je rêve de toucher une femme nue et l’embrasser. Et pas toi !
-Laisse le ! Dit alors Danny. Il à le droit de ne pas aimer ça. Enfin…Je crois…

Les deux garçons restèrent un moment immobile et Maxime alors lança :
-Vite ! Viens voir ! Danny ! Elle est en train de retirer son ticheurte.

Danny obéit et ils se passèrent les jumelles pour regarder la femme se déshabiller.
-Allez ! Retourne toi ! Allez ! Se mit à supplier Maxime.

La femme se retourna et Maxime fut complètement excité en voyant ses seins.
-Oh ! Mama ! Quel bel perd de nibard !
-Oui ! C’est vrai admis Danny ! J’aimerais bien un jour trouver une fille avec d’aussi belle forme.

Maxime admis ce que Danny venait de dire et Eddie alors dit :
-Vous êtes vraiment dégueulasse ! Berk ! Penser à ça moi cela me dégoûte.
-Tu es vraiment le premier garçon à ne pas aimer ça. Tu es sur que tu es normal ? Lui lança Maxime en fronçant les sourcils.
-Laisse le dit aussitôt Danny. Je pense qu’il n’est pas encore prêt à se genre de chose. Il faut juste attendre.
-Attendre ? Et combien de temps selon toi ? Qu’il est 20 ans ? Demanda Maxime en fixant intensément Danny.

Danny haussa les épaules et les garçons finirent de regarder la jeune fille se déshabiller car celle-ci enfila une tenue de sport.
-Bon ! On peut bouger ? Demanda Eddie qui semblait s’ennuyer.
-Ok ! Allons chercher des planches et des briques on va essayer de construire une cabane au sol.

Danny accepta ainsi qu’Eddie et ceux-ci partirent à la recherche de planches. Ils continuèrent ainsi un moment et la mère d’Eddie alors dit :
-Eddie Kasbrak ! Mon chéri ! Qu’est-ce que tu fou avec des planches en bois plaines de microbes ? Rentre vite te laver !
-Mais maman…
-Il y à pas de mais ! Obéit ! Et toute suite !

Eddie poussa un soupir et lança :
-A demain les amis.
-A demain.
-Il n’y à pas de à demain ! Grogna alors sa mère. Tu n’as pas besoin d’amis ! Tu dois rester seul ! C’est comme ça qu’on grandit bien !

Eddie eut une moue et la mère d’Eddie alors lança :
-Fichez le camp ! Bande de morveux ! Vous entraînez mon Eddie chéri à faire des choses sal ! Vous devriez avoir honte ! Faite attention que je n’aille pas voir vos parents !

Sur ces mots, elle tourna les talons et dit à Eddie :
-Va te laver ! Tu es recouvert de microbes ! Et promet moi que vous n’avez rien fait d’autre de sal !

Eddie se retrouva mal à l’aise et sa mère alors dit :
-Eddie ? Tu as fait d’autre chose dégoûtante ?
-Non ! Pas moi !
-Qu’ont-ils fais ?
-Ils ont regardé une femme se mettre nue.
-Quoi ! Ce n’est pas vrai ! Mais c’est quoi ces gosses ? A la fin !

Eddie eut une moue et sa mère alors s’exclama :
-Et toi ? Tu as regardé ?
-Non ! Maman ! Je te jure !
-C’est bien ! Il ne faut pas regarder ces trucs la ! C’est sal !
-Oui ! Maman !
-Tu ne dois plus traîner avec eux ! Ils te font faire n’importe quoi !
-Mais maman ce sont mes amis. Les seuls d’ailleurs…
-Des personnes aussi dégelasse ne peuvent pas être tes amis. De plus, il y en à un qui est gitan et les gitans sont tous des voleurs. Il ne faut pas les fréquenter.

Eddie resta muet et sa mère alors dit :
-Tu m’as entendu ? Tu ne dois plus les fréquenter ok !
-Ok ! Répondit celui-ci en baissant la tête.

Sa mère le regarda un instant et lui ordonna d’aller se doucher ce qu’il fit.

Dehors Danny et Maxime se parlèrent alors entre eux.
-Qu’as-tu pensé de Eddie ?
-Il est sympa mais un peu bizarre. Répondis Maxime. C’est bizarre la réaction qu’il à eut.
-Il est peut-être secouer par le décès de son père et son frère ce qui explique qu’il n’est pas eut envie de regarder la voisine avec les jumelles.
-Mouais ! Je ne sais pas trop ! Répondis Maxime d’une moue. C’est peut-être sa mère aussi.
-De quoi sa mère ?
-Ta pas vu comme, elle lui parlait ? On aurait dis que s’ils nous fréquentaient, il allait attraper la gale. Cela expliquerait pourquoi, il est si étrange.
-Oui ! Peut-être…

Les deux garçons continuèrent de parler d’Eddie et Maxime soudain dit :
-Que vas-tu faire maintenant que tu n’as plus de maison ?
-Je ne sais pas…J’ai aucun endroit où aller.
-Tu as cas dormir dans la cabane.
-La c’est l’été cela ira mais l’hiver…Je me demande comment, je ferais.

Maxime eut une moue et Eddie sortit soudain de derrière un buisson en pyjama et chausson.
-Eh ! Les amis ! Je ne vous laisse pas tomber !
-Cool ! Dit Danny d’un sourire.
-Mais faudra faire gaffe à ma mère car pour elle, tout est microbes.
-Pas pour toi ? Demanda Maxime.
-Ben…Heu…ça dépend…
-Ok ! En attendant, on à un problème à régler.
-Lequel ?
-Danny n’a plus d’habitation comment va-t-il se loger.
-Il peut aller à la cabane. Dit alors Eddie en haussant les épaules.
-C’est ce qu’on à pensé mais pour l’hiver…
-Alors la, je ne sais pas. réponit alors Eddie.

Les trois garçons s’échangèrent un regard et soudain Maxime dit :
-Eh ! Les mecs ! On est devenu le clan des puceaux !
-Super ! Cool ! Répondit ironiquement Danny. Youpi ! Youpi ! Franchement la je m’en passerais bien.
-Dis pas ça ! Si une jolie jeune fille vierge rejoins le groupe, tu seras content.
-Mouais ! Tu penses cas ça Maxime. Tu crois en plus sérieusement que des filles vierge rejoindraient notre clan surtout si elles sont jolie ?
-On ne sait jamais ! Répondit Maxime d’un clin d’œil.

Danny sourit et Eddie alors dit :
-Moi ! Je m’en fiche qu’une fille vierge se joigne à notre clan. Je ne suis pas intéressé par les filles. Je préfère rester seul.

Danny et Maxime s’échangèrent un coup d’œil et Danny alors rédit :
-Bon ! Bref ! Quelle soit vierge où pas, nous ne sommes pas la pour parler de filles mais pour régler le problème de Danny. Il faut qu’on trouve une solution afin qu’il est un toit sur la tête.
-Je ne vois pas trop comment, il pourrait faire si les caravanes sont complètement abîmés. Dit Eddie avec une moue.
-Mes caravanes peuvent m’abriter pour l’instant mais quand, il pleuvra ou fera froid ainsi que de la neige, je serais plus à l’abri car le loup à défoncer tout sur son passage.
-Tu crois que c’était un loup-garou ?
-Cela lui ressemblait en tout cas.
-Ouais ! Et c’est fort possible que cela en était un hier c’était la pleine lune. Dit alors Maxime.
-Comment ça se fait que vous me croyez ? J’aurai pus vous mentir. Dit Danny d’un regard surpris.

Maxime et Eddie s’échangèrent un regard et Eddie alors lança :
-Il y avait d’énorme trace de chien ou de loup vers la voiture où est mort mon frère. J’ai donc pensé que cela pourrait s’agir de la même créature.
-Quand à moi, l’autre nuit j’ai vu une énorme créature ressemblant à un loup passer par mon jardin, dit alors Maxime en fixant Eddie.
-On devrait faire des enquêtes dessus. Proposa Danny.
-Non ! Mais t’es fou ! S’exclama Eddie. On va se faire tuer ou bouffer ! En plus peut-être que c’est lui qui à commis la disparition de Marie la jeune fille Coréene.
-Oui ! Peut-être mais si on se prépare bien on pourrait mettre un terme à ces attaques commise sur des gens comme mes parents.

Les trois garçons s’échangèrent un regard et Eddie alors répondit :
-Bon je rentre ma mère risque de s’inquiéter si, elle ne me voit pas dans la chambre.
-Ok ! A demain lança Danny.
-A demain.

Danny le regarda s’éloigner ainsi que Maxime et se retourna face à lui.
-Moi aussi, je vais rentrer mais toi que vas-tu faire ? Aller dans notre cabane à l’arbre où retourner aux caravanes ?
-Je pense que je vais aller aux caravanes.
-Ok ! Bon ben…On se dit à demain dans ce cas.
-Ok ! A demain !

Sur ces mots, les deux garçons se séparèrent et semblaient content d’avoir trouvé des amis. Ils avaient également créé à ce jour la bande des puceaux.

A suivre... 

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