Chapitre 7 Marie

(L'image n'a rien avoir avec le chapitre)

Marie : Episode 7

Tendis que Danny rejoignait sa caravane je sortais du laboratoire, où je venais de faire la prise de sang. Je retournais à l’hôtel avec Pin’s qui marchait à mes côtés comme si j’étais son maître. Je souris et lui lançait :

-Eh ! Si nous allions vers la forêt avant que la nuit tombe cela te permettra de courir un peu.

Pin’s me répondit d’un aboiement et je souris car j’avais compris ce que cela signifiait. Sur ce, je me mis en route en direction de la forêt.

Pendant ce temps, Marie la jolie fille blonde qu’avait vu Maxime continuait à vider le camion qui était désormais presque vide. Une fois fait, elle jeta un coup d’œil en direction de la boulangerie et vit Maxime revenir. Elle sourit et décida de le rejoindre.

-Salut ! Je m’appelle Marie Delaporte ! Et toi ?

-Maxime…Mi…Mi..Minus. Dit celui-ci rougissant entièrement.

Marie le remarqua car elle sourit. Elle le regarda un instant et finit par dire :

-Tu veux faire une partie avec moi ?

-Heu…De foot ?

-Ben oui ! De foot pas de vélo, se mit à rire celle-ci devant Maxime tout mal à l’aise.

Maxime rougit d’avantage et finit par dire :

-Oui ! Je veux bien !

Sur ces mots, Marie partie chercher son ballon et les deux jeunes se mirent à jouer. Elle se débrouillait bien et même gagna ce qui poussa Maxime à dire :

-Tu es vraiment doué en foot ! J’ignorais que je trouverai une fille qui aime le foot.

Marie sourit et finit par demander :

-Tu ne dois pas connaître alors beaucoup de fille.

-Ben…En faite, j’en connais de loin mais elle préfère jouer à la corde à sauter où ce genre de jeu qu’au foot.

Marie sourit et soudain demanda :

-Tu as une petite amie ?

-Heu…Non…

-Maintenant oui ! Dit alors celle-ci en lui faisant un smack.

Maxime devint rouge pivoine et après avoir réussit à se calmer, il dit :

-Tu es sur que tu veux sortir avec moi ?

-Ben oui ! Pourquoi ? Je ne te plais pas ?

-Ben…Si ! Au contraire mais…C’est moi !

-Quoi ? Toi ?

-Ben je ne suis pas très beau…Je…Je suis gros…En plus, mignonne comme tu es…Tu…Tu dois avoir tous les garçons pour toi.

Marie eut un petit rire avant de dire :

-Moi, je te trouve mignon et puis…J’ai toujours aimé rencontrer un garçon comme toi qu’un garçon maigre comme une planche à pain.

-Oh ! S’exclama Maxime.

-Tu es choqué ?

-Ben…Tu veux dire que tu n’as jamais eu d’amoureux ?

-Non ! Tu es le premier et…Je pensais qu’en t’embrassant, tu serais content et le comprendrais mais peut-être que j’ai été trop vite.

Maxime eut une moue avant de dire :

-Non ! C’est juste la première fois qu’une fille m’aime.

-Et ben dis-toi ! Que cette fille lis dans ton cœur et qu’elle y voit un garçon gentil et tendre.

Maxime sembla encore plus mal à l’aise et Marie se rapprocha à nouveau de lui en disant :

-Je t’aime ! Maxime Minus. Laisse-moi, juste-t’ouvrir mon cœur.

Et sur ces mots, ils s’embrassèrent avec la langue. Ils continuèrent à s’embrasser lorsqu’une voix derrière eux retentit :

-Marie ! Il est l’heure de rentrer.

-Bien ! Maman. J’arrive !

Sur es mots, elle recula de Maxime et lui fit un sourire en disant :

-A demain ! Beau gosse.

-A demain ! Répondit Maxime en souriant.

Marie continua à lui sourire un instant et rejoignis sa mère qui lui dit :

-Il à l’air de te plaire ce garçon.

-Oui ! Maman ! Il est gentil.

-Très bien ! Rentre nous allons manger.

Marie obéit et partie dans la salle de bain se laver les mains et se regarda dans la glace en disant :

-Je suis pourtant pas un canon et je pourrais avoir pleins d’autres garçon mais, je ne sais pas pourquoi, j’ai flashé sur celui la.

Elle poussa un soupir et c’est alors qu’un garçon vêtu des vêtements de Pierrot apparut dans la glace derrière elle. Il lui souriait étrangement et soudain dit :

-Un jour, j’aurais ton âme ! Ah ! Ah ! Profite en bien ! Ma petite !

Sur ces mots, il ouvrit une large bouche armé de crocs et ces yeux devinrent jaunes. Marie apeuré se retourna mais il n’y avait personne. Elle regarda à nouveau dans la glace mais celle-ci était déserte. Elle attendit que les battements de son cœur se soient calmés afin de pouvoir à nouveau bouger. Quand elle put bouger, elle rejoignit ses parents à table mais préféra ne rien dire. Elle s’installa à table et se mit à manger alors son père dit :

-Ta mère vient de me dire que tu as fait connaissance du voisin.

-Oui ! C’est vrai ! Il est gentil !

-Très bien ! Et sais-tu s’il va à la même école que toi ?

-Oui ! Normalement, je le revois demain sur le campus.

-Ok ! Très bien ! Au moins, tu ne seras pas toute seule dans l’école à errer sans but.

Marie sourit et dis :

-Il est mignon en plus d’être gentil. On sort ensemble.

-Marie ! S’il te plaît ne va pas trop vite. C’est ta première relation, tu pourrais te retrouver déçu si le garçon ne correspond pas à tes attentes.

-Je sais maman mais il à vraiment l’air comme je souhaite.

-J’espère pour toi car ce n’est pas en quelques heures qu’on peut connaître quelqu’un.

Marie eut une moue et finit de manger l’air pensive. Une fois finit, elle partie se mettre en pyjama et s’installa sur son lit. Elle se remit à penser à Maxime et se dit :

-Maxime ! J’espère que tu es quelqu’un de bien, je ne veux pas être déçu.

Elle poussa un soupir et se glissa dans ses draps. Elle ne tarda pas à s’endormir tendis que dehors le gros loup passa prêt de sa fenêtre. Il poussa un grognement et jeta un coup d’œil à l’intérieur lorsque les phares d’une voiture l’éclairèrent. Il jugea préférable de s’éloigner et disparut derrière des buissons.

De mon coté, je remarquais que la nuit tombée et je décidais de rentrer. Je fis demi-tour lorsque soudain un craquement retentit. Je tournais la tête en direction du bruit et Pin’s se mit à grogner. Je repensais au gros loup et je décidais de partir au plus vite. J’accélérais le pas lorsque soudain un loup brun me sauta dessus et me fit tomber au sol. Je roulais dans la poussière et Pin’s se mit alors entre le loup et moi. Je constatai qu’il ne ressemblait en rien au loup qui m’avait attaqué la première fois. Celui-ci avait la fourrure marron au lieu de noir et était de la taille d’un vrai loup au lieu de celle d’un loup géant. Je regardais le loup et je me redressais lentement tendis que celui-ci grognait imitait par Pin’s. Ces yeux rouges brillaient intensément et je pus constater que son corps entier semblait recouvert de flamme. Qu’est-ce qu’était donc ce loup ? Pourquoi brulait-il ainsi sans craindre les flammes qui le recouvraient ? J’essayais de trouver une réponse à la question mais je n’arrivais pas à réfléchir. Le loup brun fit un pas dans ma direction immédiatement arrêter par le grognement de Pin’s. Je plongeais mon regard dans le sien et je ne sais pourquoi, je ressentis qu’il n’était pas entièrement ce qu’il me montrait. Il plongea son regard dans le mien et alors je dis :

-Calme-toi ! Je ne te veux aucun mal !

Pin’s parut surpris car il tourna la tête vers moi et le loup cessa de grogner mais montrait toujours ces crocs.

-Calme-toi ! Tu n’as rien à craindre de moi ! Dis-je en direction du loup. Je ne te veux aucun mal et je suis juste là car je me promenais.

Le loup continua de me fixer et soudain ferma sa gueule tout en continuant de me regarder intensément comme s’il comprenait ce que je venais de dire.

-Je m’appelle Liv et voici mon chien Pin’s nous sommes la en amis. On ne fait que se promenait, on ne te fera aucun mal.

Le loup passa ces yeux de Pin’s à sur moi et s’immobilisa en nous regardant avec intensité. Je ne savais pas quelle attitude avoir mais je sentais que ce loup avait quelque chose d’humain car il comprenait ce que je disais. J’inspirai brusquement et je finis par dire :

-Je sens que tu me comprends. Serais-tu un Wolfblood ?

J’avais dis ce mot sans vraiment réfléchir au mot que je venais de dire et je continuais comme ça.

-Toi et moi, on est un peu pareil au fond.

Le loup brun se mit à me fixer dans les yeux et je fis de même.

-Hein ! N’est-ce pas que tu me comprends !

Il continua à me fixer intensément ainsi que moi et on pouvait deviner qu’il me comprenait. On se fixa ainsi un moment et soudain comme par miracle, il reprit son apparence humaine. Je restais paralysé sur place et préférai détourner mon regard du jeune garçon de quatorze ans aux cheveux châtain qui se trouvait désormais en face de moi. Celui-ci s’empara d’un sac poubelle déchiré et le mis à l’endroit de son sexe pour le cacher. Ensuite, il finit par me demander :

-Qui es-tu ? Me demanda celui-ci.

-Je m’appelle Liv et je suis une jeune fille de 18 ans. Lui c’est Pin’s mon chien et toi qui es-tu ?

-Je m’appelle Danny, j’ai quatorze ans et je suis un gitan.

-Oh ! Ok ! Et je suppose que je suis sur ton territoire ?

-J’ai pas de territoire fixe. Enfin…Je vis dans une caravane mais elles sont toutes bousillaient.

-Ah ! Bon ! Que sait-il passé ?

-Un gros loup à…Non ! Laissez tomber vous allez me prendre pour un fou.

-Je viens de voir un loup se changer en humain devant moi, je peux tout entendre.

Danny inspira profondément et finit par dire :

-Et bien…Le gros loup aussi gros qu’une vache à attaqué et tué toute ma famille. Il à sabotait toute les caravanes. Je n’ai donc plus vraiment d’endroit où vivre la nuit. Le loup ma mordu et depuis je peux me changer en loup. Je me laisse devenir un loup car comme ça j’ai moins froid et puis ma transformation est incontrôlable. Je me change en loup et vire les yeux aux rouge si je suis énervé, inquiet, en colère, apeuré où que je me méfie. C’est pas drôle du tout de se sentir envahit par le pouvoir d’un loup et de ne pas y résister.

-Je vois ! Et je te crois !

-Tu me crois ?

-Oui ! Car moi aussi j’ai été mordu et ma famille à était tué.

-Tu as été mordu ? Et tu ne deviens pas un loup ?

-Non ! Je reste moi-même.

-Tu as de la chance ! La malédiction n’a touché que moi alors. Mais que fais-tu dehors alors qu’il fait nuit ?

-Je voulais me promenais avant de rentrer à l’hôtel.

-Tu vis dans un hôtel ?

-Non ! Je dois y rester le temps que la police et terminé sur les lieux des meurtres ensuite, je pourrais rentrer chez moi.

Danny baissa la tête et finit par dire :

-Ta de la chance toi. Tu as un lieu où dormir en attendant de pouvoir rentrer chez toi. Moi, je n’ai plus de chez moi.

J’eus une moue et je finis par dire :

-Tu n’as cas venir habiter avec moi. T’inquiète pas y aura aucun comportement tordu où autre. Je veux juste te donner la chance d’avoir un toit et dans ma maison, il y à plusieurs chambre vu que j’avais trois frère. Tu pourras en choisir une.

Danny sourit et alors me dis :

-Merci ! Mais en attendant que puis-je faire ? Dormir dehors ?

-Heu…Tu peux venir avec moi dormir à l’hôtel mais malheureusement, tu seras obligé de dormir avec moi. J’attendrais que tu te mettes en pyjama dans la salle de bain et ensuite t’inquiète pas, je te toucherai pas.

Danny sembla hésiter et finit par accepter.

-Ok ! Mais puis-je te poser une question ?

-Oui ! Bien sur.

-Pourquoi as-tu parlé de Wolfblood ?

-Je…Je ne sais pas…Cela est venu tout seul…

-On à cas donner ce nom au gens comme moi ayant le pouvoir de devenir loup où ayant été mordu par ce loup.

-Oui ! Bonne idée !

-Ce sera mieux que puceaux !

-Puceaux ? M’exclamais-je en écarquillant les yeux.

-Ouais ! A l’école dans notre classe, on nous traite de puceaux juste car on à couché avec personne. J’en aie marre d’être insulté comme ça ! Je préférais qu’on nous appelle le clan des Wolfblood.

-Oui ! Bonne idée mais qui d’autre en dehors de nous deux à été mordu ?

-Je ne sais pas…Répondit Danny le regard au loin.

Je suivis son regard et je finis par dire :

-Le clan des « Wolblood » irait bien car moi…Je…Je ne suis pas vierge…

Un silence retentit et Danny alors dit :

-Ok ! Parlons en demain, je suis fatigué.

-D’accord ! Viens ! Rentrons à l’hôtel !

Alors que Danny me parlait le gros loup nous regardait derrière un buisson et poussa un grognement. Nous n’entendîmes rien mais Pin’s jeta un coup d’œil vers l’arrière en grognant avant de retourner la tête vers nous.

Nous fûmes étonnés de son comportement et Danny alors dit :

-Il est beau ton chien ! Salut toi !

-Waf ! Répondit celui-ci d’un jappement bref qui signifiait ne me touche pas.

-Woa ! Pas commode ! Hein !

-C’est juste qu’il ne te connaît pas. Allez ! Viens ! Rentrons ! Mais déjà allons chercher tes affaires.

Danny obéit et se mit à me suivre.

Une fois fait nous partîmes pour l’hôtel. Je laissais Danny se mettre en pyjama pendant que je donnais à boire à Pin’s. Une fois fait, j’attendis que Danny sorte de la salle de bain pour aller se coucher. On prit chacun un côté du lit et on se coucha dos à dos de façon à ne pas se voir. Je souhaitais une bonne nuit à Danny et celui-ci fit de même puis nous ne tardâmes pas à nous endormir.

Pendant ce temps, le loup géant nous fixait par la fenêtre et il s’éloigna en direction de la maison de Marie. Celle-ci entendit une branche casser et se réveilla aussitôt en sursaut. Elle jeta un coup d’œil en direction de la fenêtre entrouverte mais comme elle ne vit rien, elle décida de se lever pour aller la fermer. Elle mit une main sur le bord de la fenêtre mais le loup bondit en avant et la mordit à la main. Marie poussa un cri et fit un bond en arrière. Le loup grogna furieusement et s’approcha de l’ouverture de la fenêtre. Marie scruta la pièce et aperçut alors une chaise dont elle s’empara. Elle se dirigea vers la fenêtre et l’abatis en plein sur la tête du loup qui se recula en poussant un grognement. Elle avait tellement frappé fort que la chaise c’était cassé sous le choc. Elle regarda le loup reculer la tête et bondit sur la fenêtre qu’elle ferma au moment même où celui-ci bondit en avant. Celui-ci s’écrasa contre la vitre où il grogna de rage. Marie le regarda s’écraser et soudain il tourna la tête sur le côté. Marie suivit son regard et aperçut un couple de jeune marcheur main dans la main non loin de la maison. Il détala après le couple et des cris ne tardèrent pas à résonner. Marie resta immobile attendant que le loup revienne mais heureusement pour elle le calme résonna. Elle resta un instant immobile et finit par rejoindre son lit où elle remonta sa couette jusqu’au menton. Une fois fait, elle se mit à fixer en direction de la fenêtre qui était désormais déserte. Elle continua de fixer la fenêtre et ne tarda pas à s’endormir.

Le lendemain matin quand sa mère vint la réveiller, elle n’avait pas très bien dormit. Elle bailla et se leva en fixant la fenêtre où la nuit se trouvait le loup. Elle se rappela sa blessure et s’empressa de regarder sa main. Elle faillit tomber dans les pommes car aucune trace ne figurait sur sa main. Elle fixa sa main un instant et finit par dire :

-Bon ! Peut-être que c’était juste un cauchemar.

Elle s’habilla et partie se laver dans la salle de bain. Une fois fait, elle se mit en route pour l’école lorsqu’elle aperçut Maxime un peu plus loin devant elle. Elle se mit à sourire et se dit :

-Il est vraiment beau en plus, je sens qu’il est gentil et fidèle. Je sens aussi qu’il n’à jamais couché.

Elle fronça les sourcils l’air de ne pas comprendre ce qu’elle venait de dire.

Finalement, elle se surprit en train de renifler les odeurs au alentour et celle-ci alors dit :

-C’est pas croyable j’arrive à savoir que la voisine du haut est enceinte, le voisin de bas fait cocu sa compagne et la jeune fille avec le jeune garçon sont fidèle l’un à l’autre. C’est cool ! Finalement je crois que ce n’était pas un cauchemar et que ce loup m’a donné des super dons mais je pense que c’était pas volontaire car il semblait bien décidé de me tuer hier.

Marie inspira profondément en fermant les yeux et les rouvris en disant :

-Cool ! Je saurai reconnaître les personnes qui faut éviter où non.

Elle sourit et soudain se dit :

-Si Maxime avait ce don aussi se serait bien. Mais…

Elle eut une moue et finit par dire :

-Mais le souci pour ça et qu’il faudrait qu’il soit mordu par le loup. Mais je doute que le loup accepte de le mordre et lui laisser la vie sauve.

Elle eut une grimace l’air pensif et soudain finit par dire :

-Et si je le mordais…Non ! Le pauvre ! Quand même…En plus, je ne sais même pas si je peux devenir un loup. Ouais ça serait cool si, je devenais un loup. J’irais courir sur la plage sous la lune.

Marie se mit à rêver en étant réveiller lorsque la voix de Maxime l’en sortie.

-Marie ! Eh ! Salut ! Dit celui-ci en venant vers elle en vélo.

-Salut ! Maxime. Ça va ?

-Ouais et toi ?

-Et ben j’ai eu affaire au loup.

-Quoi ?

Sur ces mots, Marie lui raconta tout de l’attaque jusqu’aux sensations et aux nouveaux pouvoir. Elle finit alors par dire :

-Excuse-moi ! J’espère ne pas t’avoir choqué où parut dingue.

-Non ! Au contraire ! Ce que tu dis est génial si c’est vraiment des effets secondaires à la morsure.

-Le souci c’est que tu vois, je comptais te mordre dans l’espoir que tu deviennes comme moi mais je ne sais pas du tout comment ça marche et si je vais devenir un loup.

-Que tu deviennes oui ou non un loup, n’est pas le souci.

-Comment ça ?

-Tu devrais réfléchir avant de souhaiter partager ton don. Qui te dit par exemple que je suis un garçon bien ?

-Car je le sens. Je peux aussi sentir tes…Tes…Ton sexe et…

Marie sembla soudain mal à l’aise et détourna son regard lorsque Maxime dit :

-Qu’est-ce que ça fait que tu sentes où non mon sexe ?

-Et bien…Je peux savoir que tu es vierge. Je peux aussi savoir quand des couples sont infidèles bref je détecte les odeurs et ainsi reconnaître celle de la pureté et de l’impureté.

Maxime eut une moue et demanda :

-Que penses-tu alors de mon sexe ?

-Tu es vierge. Tu es un gentil garçon à qui je peux faire confiance. Tu es aussi un blagueur à tes heures et…Je ressens de l’amour pour moi très forte de ta pars.

Maxime sourit et finit par dire au bout d’un moment :

-Exact ! Mais comment pourrais-je devenir comme toi ?

-Je ne sais pas ! J’ignore si je peux oui où non devenir un loup.

Maxime regarda dans la direction de l’école et finit par dire :

-Viens ! Allons vers la plage. Je connais un endroit tranquille. Tu pourras essayer de devenir un loup et si possible me mordre.

Marie eut une grimace et finit par dire :

-Ok ! Ça marche !

Sur ces mots, nos deux amis roulèrent en vélo jusqu’à un endroit caché par des dunes et Marie alors dit :

-Ok ! Je vais me déshabiller et respirer lentement. Toi Maxime surveille que personne ne vienne.

Maxime approuva d’un signe de tête et se mit à regarder les alentours. Marie se déshabilla et se mit à quatre pattes. Une fois qu’elle fut ainsi installée, elle ferma les yeux et se mit à respirer lentement afin de détecter toutes les odeurs autour d’elle. C’est alors qu’elle sentit une fourrure la recouvrir et celle-ci ne tarda pas à devenir une louve au pelage crème.

Maxime voyant la scène resta totalement paralysé et n’osa même plus parler. La louve crème se tourna face à lui et s’approcha lentement sans aucune agressivité. Lorsqu’elle fut assez prête, elle le mordit au bras et celui-ci eut un bond en arrière de surprise. Il regarda la louve puis sa main et vit la blessure disparaître. A ce moment là, la seule chose qui lui vint à l’esprit fut de se déshabiller à son tour et de devenir loup. Il se déshabilla à son tour et s’installa à quatre pattes sur le sol où il se mit à inspirer profondément les odeurs alentours. Peu à peu, il sentit des poils le recouvrir et celui-ci ne tarda pas à devenir un loup de couleur brun clair. Il avait une fourrure marron clair et comme Marie les yeux jaunes. Mais pas ces yeux jaunes diabolique déjà rencontrer avec le gros loup, Pierrot ou le labrador. Mais des yeux jaunes de loup normal comme les avaient eut Danny avant de reprendre son apparence. 

Les deux loups se sautèrent dessus et se roulèrent dans le sable avant de décider de partirent tous les deux à courir nez au vent. Ils continuèrent à s’amuser et soudain se léchèrent le museau chacun leur tour. Maxime compris à cette action que Marie lui proposait de coucher avec lui. Ils retournèrent à l’endroit où ils c’étaient déshabillés pour remettre leur vêtements. Puis une fois fait Maxime alors dit :

-Tu veux bien ?

-Quoi ?

-Coucher ?

-Oui !

-Dans ce cas viens à ma cabane, on y sera mieux.

Marie accepta et nos deux amis partirent à la cabane. Marie monta la première et vit la voisine par la fenêtre. Elle  resta immobile et Maxime alors dit :

-Désolé…Quand j’étais seul…Je regardais cette femme se mettre nue…Je suis désolé…

-Tu l’as fait avec un garçon du même âge que toi. Un gitan.

-Exact !

-Et je sens que maintenant cela ne t’intéresse plus. Tu veux que moi.

-Oui…C’est vrai !

-Alors prend moi ! Lui dis Marie les seins à l’air.

Maxime regarda ses seins et sentit son sexe grossir, il s’empressa alors de dire :

-Je ne sais pas pour toi mais moi, j’ai l’effet Pinocchio qui commence.

-Moi, je ne dirais pas ça mais je suis aussi excité !

Les deux amoureux se regardèrent et s’embrassèrent avec la langue. Maxime était également nu et il poussa doucement Marie sur le tapis. Marie se laissa faire et continua d’embrasser Maxime qui ne tarda pas à la pénétrer. On entendit bientôt des bruits de plaisir et ceux-ci continuèrent de s’embrasser. Ils firent l’amour un moment et Maxime alors dit :

-Une chose qu’on à plus comme souci c’est notre pucelage. On est enfin plus vierge. La bande à Kader nous traitera plus de bande de puceaux.

-Oui ! C’est exact mais comment vas ton s’appeler maintenant ?

-On on parlera à Danny tout à l’heure mais malheureusement, il est toujours vierge. Le pauvre…  

Nos deux amis s’échangèrent une moue et reprirent leur vélo pour prendre la direction du campus.

A suivre...