Chapitre 11 Le loup blanc

Le loup blanc : Episode 11

Pierrot qui savait que l’un de ses membres était mort poussa un grognement. Il finit ensuite par dire :

-Vous allez voir ! Je vais moi-même me charger de vous et vous allez tous mourir.

Il eut un regard fier de lui après quoi, il dit :

-Demain, je me charge de ce petit asthmatique de merdre. Je sais déjà où me charger de lui de façon à ce que ces amis ne puissent pas intervenir.

Il se mit à éclater de rire et ensuite se tourna face au clan des cabots.

-Préparez-vous à venger votre ami.

Le clan des cabots approuva d’un jappement et Pierrot se tourna face à son bras droit.

-Toi ! Tu dois tuer le nouveau qui va rentrer dans leur bande prochainement. Fait ce que tu veux pour le tuer et surtout ne rate pas ton coup.

Le loup répondit d’un grognement et le silence s’installa dans la forêt.

Le lendemain à mon réveil, je constatais que Danny n’étais pas seul dans son lit. Je compris en voyant Lunari qu’ils avaient fait l’amour et Danny me voyant me sourit. Je lui rendis son sourire et je finis par dire :

-Tu…Tu l’as fait ?

Il me répondit d’un sourire et d’un signe positif de la tête. Je souris après quoi, je dis :

-Est-ce que ces parents savent qu’elle est ici ?

-Oui ! On leur à dis avant de…Bref ! Enfin…Tu vois quoi ?

J’approuvais d’un signe de tête et je demandais :

-Et Marie et Maxime ?

-Pareil ! Ils ont prévenu leurs parents qu’ils dormaient chez toi. On leur à dit que tu étais notre amie et ils n’ont pas dit non.

-Je suis pourtant une majeure à leurs yeux ? Non ?

-Oui ! Mais justement, on à dis que tu allais nous aider pour les devoirs et ils ont dit oui des qu’on à dis que nous étions plusieurs.

-Vos parents sont cools ! Répondis-je en baissant tristement la tête.

-Oui ! Ils ont compris que tu n’étais pas méchante qu’en tu nous as raccompagné la dernière fois.

J’eus un sourire forcé et Maxime alors dit :

-Tu penses à Eddie ?

-Exact ! C’est dommage que sa mère soit si protectrice. Je veux bien qu’il existe des pédophiles dans le monde, des assassins, des violeurs, des kidnnapeur…Mais je ne suis pas comme ça ! Merde !

Lunari ouvrit les yeux et Marie sortie de la chambre vêtu d’un peignoir. Ils me regardèrent dune moue et Marie alors dit :

-Ces vrais que la mère d’Eddie est très protectrice mais faut admettre qu’avec ce Pierrot, ce loup-garou et les cabots, on est bien servit.

J’eus une grimace et Lunari alors dit :

-Moi, j’ai confiance en toi. Je sais que tu n’es pas une pédophile et je le sens. Mon flair de loup ne me trompe pas.

J’eus un vif sourire et je souris d’avantage quand tous les membres des Woolfblood approuvèrent la même chose. Nous décidâmes de nous habiller et du coup, on se sépara chacun de notre côté pour nous retrouver habiller dans la cuisine. On se mit donc à table puis peu après j’accompagner mes amis au campus. Eddie nous rejoignis lorsque l’on passa devant chez lui et une fois à l’école, il se pendit au coup de mon chien pour avoir des léchouilles. Il rigola sous les léchouilles et me lança :

-Je sais que tu n’es pas une pédophile car t’aurais pus violer l’un de la bande. Donc sache que ce n’est pas pour ça que je ne te veux pas. Je n’aime pas l’amour, c’est tout !

J’eus un sourire forcé lorsqu’il me dit ça et je le regardai s’éloigner. Je me sentis mal car mon cœur ne voulait vraiment pas faire une croix sur lui. Je décidais de secouais la tête de façon à ne pas rester figeais sur place et à remettre mes idées en face des trous.

Une fois fait, je commençais à m’éloigner lorsqu’Alexandre me lança :

-Eh ! Mademoiselle Holmes ça te dirais un plan cul ?

Je tournais la tête vers le jeune et je compris pourquoi, il m’appelait comme ça. Je portais un imperméable noir et une casquette grise qui nous rappelait fortement celle de Sherlock Holmes. Je poussais un soupir et le garçon insista :

-Eh ! Je te parle ! Mademoiselle Holmes ! Tu l’as mis où ton mari ?

Je poussais un soupir et Alexis alors dit :

-Elle à peut-être échanger son mari contre ce chien !

-Ouais ! Ben ! Tu devrais mieux échanger ton chien contre une partie de jambe en l’air avec l’un d’entre nous.

Je me retournais face à lui et je sentis mes points se serrer lorsque je dis :

-Désolé mais, je ne suis pas pédophile. Je ne prends pas des mineurs et…

-Mouais ! Vu la façon, où tu regarde l’asthmatique ça se voit que tu l’aimes.

Je me sentis soudain mal car désormais tout le monde où presque était au courant qu’Eddie Kasbrak ne me laissait pas indifférente. Je ravalais ma salive avec difficulté en voyant tous les regards posés sur moi et Antoine dit :

-Tu sais si tu choisis l’un d’entre nous, tu prendras ton pied.

Je vis le regard d’Eddie posé sur moi et je lançais :

-Eddie et le seul mineur que j’aime ! Jamais je ne sortirais avec un autre mineur ! Mais comme il ne m’aime pas la question ne se pose même pas.

La bande à Kader s’échangea un coup d’œil et Quentin alors dit :

-Mademoiselle Holmes qu’as-tu fait de ton mari, tu l’as vendu ?

Et sur ces mots, ils éclatèrent de rire. Je les regardais rire comme des idiots et je tournais la tête vers Pin’s.

-Viens Pin’s rentrons.

Pin’s obéit et nous commençâmes à nous éloigner. J’étais mal dans mes vêtements et je décidais d’en changer de façon à ce qu’on cesse de m’appeler « mademoiselle Holmes »

J’allumais ensuite la télé et j’entendis qu’on venait de retrouver le cadavre du Rottweiler redevenu humain. Je compris alors que des qu’un cabot mourrait, il reprenait l’apparence humaine. J’eus une grimace et je me mis à faire les lits après quoi, je décidai d’aller faire des courses. Je prie un chariot et soudain j’eus mon flair qui se mit à me démanger. Il me semblait que quelqu’un allait être en danger mais je n’étais pas sur de moi. J’inspirais profondément et je vis alors l’image d’Eddie dans ma tête.

-Non ! Pas lui ! M’écriais-je en plein milieu de la route.

Pin’s me regarda l’air perdu et je restais paralysé.

Pendant ce temps, au campus la bande à Kader se moquèrent d’Eddie qui n’osait pas se déshabiller devant les autres.

-Et ben ! Le puceau ! Pourquoi, tu ne te mets pas en tenue de sport, tu as peur qu’on voit ton sexe. Dit alors Antoine.

Eddie leur jeta un regard froid et Alexis alors dit :

-Peut-être qu’en fait, tu n’as pas de zizi. Que tu es une tapette !

La bande rigola et Eddie alors se sentis très mal à l’aise lorsque son prof apparut :

-Et bien monsieur Kasbrak ? Pourrais-je savoir ce que vous faites ? Tout le monde et déjà en tenu de sport ! On n’attend plus que vous !

Eddie regarda la bande à Kader sortir des vestiaires et se décida de se changer. Le professeur le regarda en train de commencer à se déshabiller et sortie également des vestiaires en disant :

-On t’attend sur le terrain ! Kasbrak ! Alors dépêche-toi !

Eddie fit un signe de tête et continua de se déshabiller. Le pauvre Eddie détestait qu’on se moque de lui car il ne voulait pas se déshabillait devant les autres mais il se sentait mal à l’aise à cause de sa mère. Elle ne cessait pas de faire des fixations sur les microbes et Eddie parfois ce disait qu’elle exagérait et qu’il allait finir par s’en moqué mais pour l’instant, il n’en avait pas eu le courage. Il continua à se déshabiller lorsqu’une voix retentit :

-Eddie…

-Qui…Qui est la ?

-C’est moi ! Répondit alors Pierrot en apparaissant.

Ces yeux jaunes brillaient et ces crocs luisaient sous la lumière. Eddie se mit à avoir du mal à respirer lorsque le professeur revint.

-Bon ! Kasbrak ! Vous venez ! Où non ?

Eddie regarda son professeur et après un coup d’œil à l’endroit où se trouvait Pierrot, il prit son inhalateur dont il prit une bouffé puis rejoignis les autres élèves sur le terrain. Une fois arrivée sur le terrain Quentin alors dis :

-Ah ! Te voila le puceau ! Tu faisais quoi ? Tu cherchais ton sexe ?

Et la bande éclata de rire imitait par les autres élèves. Le pauvre Eddie baissa sa jolie tête avec un regard triste et le professeur alors dit :

-Eddie ! Tu vas te mettre au but d’accord ?

Eddie approuva d’un signe de tête et se positionna dans le but.

Le foot ne tarda pas à commencer et Eddie donna de son maximum mais du s’arrêter pour aspirer de l’air dans son inhalateur. Le professeur finit par dire :

-Eddie va t’asseoir ! Tu serres vraiment à rien ! T’es minable !

Et il retourna sur le terrain.

Eddie le suivi du regard d’une façon triste et soudain aperçut au loin Pierrot qui semblait le regarder. Il sentit un frisson le parcourir et comme son asthme revenait, il du aspirer de l’air afin de se sentir mieux. Il regarda à nouveau où se trouvait Pierrot mais celui-ci avait encore disparus. Il regarda un moment et se décida de regarder la classe jouer au foot. Il passa l’heure à les regarder et rejoignis ensuite les garçons au vestiaire.

-ça va Eddie ? Demanda alors Maxime.

-Oui ! Enfin…J’ai vu Pierrot.

-Quoi ! S’exclama alors Danny.

-Oui ! Il était…

-Kasbrak ! Finit la parlote et dépêchez-vous de vous habiller.

Eddie approuva d’une moue et se mit à se déshabiller pour se remettre en tenu normal. Les autres élèves ne tardèrent pas à être prêt et bien sur Eddie n’avait pas terminé d’enfiler ses vêtements journaliers. Le professeur regarda les autres et finit par dire :

-Allez en cour ! Je reste ici avec monsieur Kasbrak qui ne semble pas pressé de se changer.

Tout le monde obéit et Danny alors lança :

-A toute suite mec !

-A toute suite répondit Eddie en enfilant son ticheurte.

Le professeur attendit que tout le monde fût sorti pour dire :

-Eddie ! Tu es la honte de cette école ! Tu es toujours le dernier en sport ! En plus un enfant qui à de l’asthme ne serre à rien ! Faut être en bonne santé dans la vie ! Et le sport est vraiment important !

Eddie baissa tristement sa jolie tête et dit :

-Je ne vaux rien !

-Oui ! Exact ! Monsieur Kasbrak et je serrai étonné qu’un jour, une fille puisse vous aimer en dehors de votre mère.

Eddie eut des larmes aux yeux et le professeur alors dit :

-Ah ! Non ! Épargnez-moi la scène du chagrin !

-J’y suis pour rien ! Répondit alors celui-ci en larmes. Je suis détesté de tous et de tout le monde.

-Pas étonnant ! Remettez-vous en question. Vous êtes une erreur de la nature.

Eddie pleura et le professeur alors dit :

-Bon ! Finissez de vous changer, je vous attends dehors !

-D’accord monsieur !

Il regarda le professeur sortir et enfila son pull lorsque la voix d’un peu plus tôt se refit entendre :

-Eddie…

Eddie regarda en direction de la voix et aperçut Pierrot. Un frisson lui parcouru et une peur inimaginable l’enveloppa.

-Salut l’asthmatique.

-Que…Que me voulez-vous ?

-Te voir mort ! Répondit Pierrot les yeux jaunes luisants comme des phares.

Sur ces mots, il ouvrit une large bouche armé de crocs en riant de façon à donner des frissons. Eddie compris qu’il était en danger et se remit à respirer difficilement.

-Ne t’inquiète pas Eddie, tu vas mourir, tu n’auras donc plus aucun souci avec ton asthme.

Eddie respirait de plus en plus mal et se dit :

-ça y est ! Je vais mourir ! Et personne ne peut me sauver !

Il eut un hoquet mais sa respiration s’empirait à mesure que Pierrot approchait. Pierrot souris de façon diabolique et dit :

-Prépare-toi ! Eddie Kasbrak ! Aujourd’hui et ton dernier jour !

Eddie s’empara de son sac et son inhalateur tomba aux pieds de Pierrot. Eddie le vit mais ne pus que reculer par peur. Pierrot le regarda également et sourit d’un air fier.

-L’asthmatique ! Sans son Inhalateur ! A peur de la mort ! Mais il a tord car c’est génial ! De mourir si cela peut en faire sourire ! Ah ! Ah !

Eddie ne répondit rien et continua de respirer difficilement lorsqu’il sentit son dos toucher le mur. Il comprit que c’était effectivement bien la fin pour lui et une larme coula sur sa joue.

C’est alors qu’un loup blanc apparut derrière Pierrot en grognant férocement. Le loup était de taille normale et ses yeux étaient de couleur jaune naturelle. Il baissa les oreilles et Pierrot dit :

-Ah ! Merde ! Il manquait plus que ça !

Sur ces mots, le loup blanc fit le tour des casiers et se planta devant Eddie pour se retrouver entre eux deux. Pierrot alors dit :

-Bah ! Va temps ! Ouste !

Le loup blanc furieux se mit à aboyer férocement pour montrer à Pierrot qu’il ne partirait pas. Pierrot alors dit :

-Courageux ! Petit loup ! Mais es-tu prêt à mourir pour lui ?

Sur ces mots, Pierrot fit un pas en avant mais le loup blanc fut soudain entourer d’une lumière verte et fit apparaître des racines qui le propulsèrent contre un casier. Pierrot sembla étonné par ce qu’il venait de se passer et dit :

-Le pouvoir de la terre ! Tu es un Wolfblood ?

Le loup blanc lui répondit en grognant et fit un pas dans sa direction ce qui le fit reculer. Pierrot semblait soudain très mal à l’aise et préféra s’en aller. Le loup blanc regarda un instant où se trouvait Pierrot et cessa de grogner. Il regarda Eddie qui était en train de s’étouffer. Il sembla comprendre ce qui était en train de se passer car il ramassa l’inhalateur et se dirigea vers lui. Eddie se mit d’avantage à trembler et dit :

-Non…Pi…Pi…Pitié…Ne…Ne…Ne me tue…Ne me tue pas…

Le loup continua d’avancer prêt d’Eddie qui le regarda baisser sa tête. Il déposa l’inhalateur d’Eddie qui sembla surpris par ce geste. Ensuite le loup blanc recula et après un dernier coup d’œil, il disparut dans le couloir.

-Non ! Attend ! Cria Eddie qui venait de prendre son inhalateur.

Il aspira une bouffé et se précipita vers le couloir mais il ne vit aucune trace du loup. Eddie partie alors ramasser son sac et rejoignis le professeur qui l’attendais au dehors.

-Et bien ! Kasbrak ! Vous en avez mis du temps ! Vous êtes vraiment pire que décevant !

Eddie évita cette remarque méchante et rejoignis les autres élèves. Il s’empressa de rejoindre le clan des Wolfblood et dit :

-Un loup blanc avec les pouvoirs de la terre m’a sauvé. Est-ce l’un d’entre vous ?

-Non ! Moi j’ai le pouvoir du feu et je suis un loup marron. S’empressa de répondre Danny.

-Moi ! Aussi j’ai le pouvoir du feu et je suis une louve jaune sable. Dit alors Lunari.

-Moi ! Je suis marron clair avec le pouvoir de l’eau. Dit à son tour Maxime.

-Et moi ! Je suis crème avec aussi le pouvoir de l’eau. Dit alors Marie.

Eddie sembla se sentir perdu et finit par dire :

-Vous pensez qu’il existe un autre Wolfblood ?

-Pourquoi ? Demanda alors Maxime.

-Car Pierrot à dis que le loup blanc était un Wolfblood.

La bande s’échangea un coup d’œil et Eddie sembla pensif.

-Qui ce soit de toute façon, on peut remercier se loup d’avoir sauvé notre ami. Dit Lunari.

Eddie sourit mais demeura soudain pensif. Qui était donc le loup blanc qui l’avait sauvé. Etait-il connu ? Où bien un nouvel ami qui allait peut-être rejoindre la bande. A ce moment là, la réponse demeurait inconnue mais Eddie ne pouvait s’empêcher de penser à lui. Il rentra en classe avec les autres et se mit à penser :

-Qui es-tu ? Comment me connais-tu ? Dis-moi qui tu es ! Loup blanc !

Le loup blanc de son côté courrait à travers la forêt et repris son apparence humaine après quoi, il s’habilla.

Pierrot de son côté alors dit :

-Ce satané loup blanc à mit mon plan à l’eau ! Crrr ! Il faut qu’on agisse autrement. On va se charger d’eux mais cette fois, je t’envoi à toi labrador pour tuer Eddie.

Le labrador répondit d’un aboiement et Pierrot tourna la tête vers le loup-garou.

-Tu vas éliminer le nouveau qui va arriver car je sens qu’il va devenir un Wolfblood.

Le loup-garou approuva d’un grognement et Pierrot alors continua :

-Faut que je trouve ce satané Wolfblood qui à sauvé ce misérable asthmatique et que je l’élimine. Et je crois savoir qui c’est ! Et cela va lui coûter cher !

Alors qu’il parlait du loup blanc la journée fut tout aussi difficile pour le clan des Wolfblood à un détail près. Nos amis commençaient désormais à se rebeller et du coup les autres se mirent à les respecter sauf Eddie qui demeurait le souffre douleur.

-Eddie Spaghetti ! Tu as un petit zizi ! Lança alors Quentin.

-Ne m’appelle pas comme ça ! Eddie Spaghetti! Je m’appelle Eddie Kasbrak!

-Ouais ! Cause toujours ! Eddie Spaghetti !

-Je vous l’aie dis ! Je ne suis pas Eddie Spaghetti mais Eddie Kasbrak !

-Ouais ! Ouais si tu veux ! Répondit celui-ci en se mettant à rire.

Le pauvre Eddie était au bord de la crise des nerfs et fut content quand le soir arriva enfin. Il détala vers Pin’s suivit des autres et je le vis au bord des larmes.

-Qu’est-ce qui y à Eddie ?

-On à pas arrêter de m’embêter et de me traiter de spaghetti.

-Mon pauvre ! Si j’avais été la ! Crrr

Eddie me jeta un coup d’œil avant de dire :

-Il me faudrait juste le don de devenir un loup et je leur montrerais qui je suis.

J’eus une moue et je finis par dire :

-J’aimerais bien te changer en loup mais…

-Non ! Je ne veux pas que tu me mordre ! Je ne veux pas sortir avec toi et…

-Et ?

-Et qui est ce loup blanc ?

Je fonçais les sourcils l’air surprise par sa question alors je finis par demander :

-Quel loup blanc ?

-Un loup blanc m’a sauvé cet après midi de Pierrot.

-Pierrot ! Tu dis qu’il à essayé de t’attaquer ?

-De me tuer !

Je poussais un grognement sans m’en rendre compte et je finis par dire :

-Je dois la vie à ce loup blanc. J’aurai été la, ces garnements aurait vu de quel bois je me chauffe pour oser ainsi te traiter. Pareil pour ce Pierrot je me serais sacrifié pour te défendre. Je lui dois donc tout à ce loup blanc.

Eddie m’écouta et me dis :

-Merci ! Mais j’aurais aimé remercier ce loup blanc.

-Tu n’as pas pus ?

-Non ! Il à fuit juste après avoir mis Pierrot en fuite.

J’eu une moue et je dis :

-Peut-être que c’est un nouveau membre pour notre clan.

-Un nouveau Wolfblood ? Demanda alors Marie.

-Oui !

On se regarda tous et Eddie alors dit :

-Moi j’en ai marre ! On me traite de tous les noms. On se moque de moi bref ma vie et un enfer. Je veux devenir un Wolfblood.

Tout le monde l’écouta intensément et soudain Lunari dit :

-On ne serait pas contre que tu deviennes un loup mais…On ignore ce qui se passerait avec ton asthme c’est un peu risqué, je crois.

-Tu crois que je pourrais mourir ?

-On ne sait pas…Pour nous cela nous à rien fait mais toi qui est malade cela pourrait être pire.

Eddie baissa tristement sa jolie tête en disant :

-C’est nul ! Je vais donc rester comme ça à vie !

J’eus mal pour lui et je posais ma main sur son épaule.

-Ne dis pas ça Eddie ! Si on apprend que tu peux être un Wolfblood sans danger. On fera le nécessaire pour te donner ce don.

-Et toi ? Pourquoi, tu ne deviens pas un loup ?

-Je…Je ne sais pas…Mais…Si je le devenais accepterais-tu que je te morde ?

-Non ! Je ne veux pas !

-Evidemment !

Je poussais un soupir et Eddie alors dit :

-Je veux que cela soit le loup blanc qui le fasse.

-Mais on ne sait même pas qui c’est ! Dit aussitôt Danny.

-ça se trouve c’est le nouveau garçon qui doit rentrer dans notre classe. Dit alors Maxime.

-Oui ! Mais pourquoi se cache t-il ? Il doit bien savoir que nous sommes des Wolfblood comme lui.

Personne ne su quoi répondre et soudain Eddie dit :

-Tu penses qu’en faite ce loup blanc peut-être méchant ?

-Non ! Je ne pense pas ! Dit alors Lunari. Il ne t’aurai pas sauvé. Au contraire, il aurait laissé Pierrot te tuer.

-Sauf ! S’il voulait le faire lui-même. Dit alors Danny.

-Peut-être…Répondis Eddie en fixant droit devant lui.

Pin’s se mit à lui léchouiller le visage ce qui le fait rire et Eddie dit :

-C’est quand même bizarre qu’il soit venu me sauver si c’est pour me tuer ensuite.

-Tu sais ! Il y à des choses étrange dans le monde qu’on n’explique pas. Donc parfois des assassins qui sauvent leur victime pour la tuer eux même.

-Pourtant…Moi je sens que ce loup est gentil. Je sais pas pourquoi mais je le sens et j’ai pourtant pas le don de loup. Je ne peux pas vous expliquer pourquoi mais je sens vraiment qu’il n’est pas méchant.

Nous, nous échangeâmes un regard et Eddie confirma :

-Oui ! Je sens vraiment que ce loup blanc était vraiment gentil. La seule chose que je ne sais pas c’est qui il est ? Et pourquoi, il à fuit ?

Tout le monde approuva son avis mais personne ne pu répondre à la question qui était réellement le loup blanc. D’ailleurs était-il un enfant du campus ? Où bien une personne extérieure ? Tout ça restait à l’heure actuelle un mystère.

A suivre...