Le secret du loup blanc : Episode 12
Ce soir la, on partit au QG réfléchir au sujet du loup
blanc et on améliora nos chambres personnelles. Je m’assis dans la mienne en
sachant cas côté de la mienne, il y avait Eddie. Qu’est-ce que j’aurai aimé le
prendre dans mes bras et le serrer contre moi. Je ne pouvais m’empêcher de
penser à lui tendis que les autres améliorer leur partie du QG en leur chambre.
Nous continuâmes un instant à améliorer notre QG et nous sortîmes ensuite pour
se retrouver.
-Je vais devenir un loup et courir dans les bois. Dit
alors Danny.
-Moi aussi ! Avec toi ! Dit alors Lunari.
-De mon côté, je vais courir en loup sur la plage, tu
veux bien venir avec moi ? Demanda Maxime en fixant Marie.
-Oui ! Bien sur !
Eddie et moi les regardâmes puis Eddie tourna sa jolie
tête vers moi en disant :
-Ramène-moi…
Je voyais qu’il été triste et j’acquiesçais.
-Je veux tellement devenir un loup. Dit alors Eddie en
caressant Pin’s tristement.
J’eus une moue et je finis par dire :
-C’est dommage que je ne suis pas un loup et que je ne
puisse pas te mordre car je l’aurais fais pour toi.
-Non ! Je ne veux pas ! Même si t’étais un
loup, je préférais que cela soit le loup blanc.
Je ne savais pas pourquoi Eddie semblait autant fixé
sur ce loup si bien que je lui demandais
-Pourquoi veux-tu que cela soit lui qui te morde ?
-Je ne sais pas…Je le veux sais tout !
J’eus une grimace et je finis par dire :
-Viens Eddie, je te raccompagne.
-Ok !
On se mit alors en route et soudain, la mère d’Eddie
apparut devant moi :
-Je croyais t’avoir dis que je ne voulais pas que mon
fils traine avec vous. Tu dois le laisser tranquille ! Pédophile !
-Je ne suis pas une pédophile ! Grognais-je.
-Si une femme de 18 ans trainant avec des jeunes de 14
ans c’est forcément une pédophile.
-Si j’étais une pédophile j’aurais essayé de violer
Maxime Minus et Danny Woods ! Je n’ai rien fait de tel !
-Oui ! Normal ! Tu veux mon fils ! Sal
Pédophile !
Je ne savais que faire et ce fut Pin’s qui répondit en
lui grognant après. La mère sursauta et dit :
-Génial ! Une pédophile et un chien méchant, on
n’aurait pas fait mieux !
-Je ne suis pas une pédophile ! Criais-je.
Merde !
-Oui ! Oui ! Vas-y racontes ce que tu
veux ! Pour moi tu es…
-Arrête maman ! Ce n’est pas une Pédophile !
-Mais elle t’aime Eddie chéri.
-C’est vrai mais elle n’a jamais fait de chose mal
comme me forcer à faire quelque chose. Elle est restée correct avec moi.
La mère resta immobile un moment et finit par
dire :
-Bon ! Peut-être qu’elle n’est pas une pédophile
mais c’est quand même bizarre qu’elle t’aime. Elle devrait aimer un garçon de
son âge.
-Elle dit que c’est la première fois qu’elle aime
autant un garçon sans savoir pourquoi.
-Mum ! Bizarre ! Bon ! Finit de
parler ! Viens ! Rentre Eddie ! On mange !
Eddie approuva et rentra dans la maison tendis que sa
mère me fixait de façon étrange. Je ne savais pas quoi faire et je restais
immobile jusqu’à ce que celle-ci rentre à son tour. Je jetais un dernier coup
d’œil en direction de la maison de Eddie et je me mis en route vers ma maison
accompagné de Pin’s.
Tendis que je m’éloignais Eddie se lava les mains et
sa mère alors lui dis :
-Eddie ! Cette fille est trop vieille pour être
ami avec toi !
-Je sais maman ! Tu l’as déjà dit.
-Elle pourrait te faire, faire des choses d’adultes
sans ton accord.
-Pour l’instant, elle ne m’a pas fait faire des trucs
d’adultes. Elle me respecte.
Sa mère eut une moue et finit par dire :
-Je veux bien le croire mais si elle vient à agir de
façon interdite, promet moi de me le dire.
-Oui ! Maman ! Promis.
Sa mère eut un bref sourire et demanda à son fils
d’aller se doucher. Celui-ci obéit et se mit en pyjama. Il vint ensuite manger
et finit par aller se coucher. Une fois couché, il dit :
-Pourquoi est-elle autant amoureuse de moi ? Elle
pourrait avoir un autre homme alors pourquoi moi. Surtout que je suis
asthmatique alors pourquoi m’aime-t-elle ? Par pitié ? Où bien
sincèrement d’une façon inexplicable ?
Eddie eut une grimace et tourna la tête face à la
fenêtre dont, il remarqua que les volets n’étaient pas fermés. Il se leva d’un
pas lent et avança vers la fenêtre qu’il ouvrit. Il prit le volet et le ferma.
Une fois fait, il retourna se coucher en disant :
-Que dois-je faire ? Tenter l’amour avec
Liv ? Ou repousser ses sentiments.
Il eut une moue et ferma les yeux avec un soupir. A
peine eut-il fermé ses yeux qu’il s’endormit.
De mon côté, je fixais la lune par la fenêtre et je
dis :
-Ils ont de la chance d’être amoureux et de pouvoir
courir sous la lune. J’aimerais bien être comme eux courir dans la forêt.
Je poussais un soupir et je me retournais face à Pin’s
que je caressais aussitôt. Pin’s me lécha la main ce qui me fit sourire et je
décidais de me coucher en pensant aux autres qui courraient dans la nature.
Malgré leur age, ils avaient eut des relations sexuels et de mon côté, je me
sentais fautive. Je ne voulais pas qu’on m’accuse de quoi que ce soit. C’était
eux qui avaient tenus de coucher ensemble. Je ne les avais incités en rien. Au
contraire, j’étais neutre à leur décision, je voulais juste qu’ils soient en
couple. Mais ils en avaient tellement eut marre d’être traiter de puceau qu’ils
étaient passé à l’acte. Je pensais à eux pendant un moment et je finis par
m’endormir.
Alors que je dormais nos deux couples de loups
refirent l’amour puis se séparèrent pour le lendemain. Danny rentra dans la
maison et passa près de ma chambre ou il me vit dormir. Il me regarda dormir et
après un soupir, il dit :
-Dommage que tu ne peux pas devenir un loup et qu’Eddie
ne t’aime pas. Tu pourrais courir avec nous.
Il soupira à nouveau et regagna sa chambre.
Le calme s’installa et la nuit se continua dans le
calme jusqu’à ce qu’une jeune fille sorte fumer. Celle-ci poussa un soupir en
disant :
-J’en ai marre ! C’est toujours la même chose
avec mes parents. Arrête de fumer mais merde ! J’ai seize ans ! Je
suis plus une gamine !
Alors qu’elle rallait un pleur d’enfant retentit. Elle
jeta un coup d’œil devant elle et ne vit pas de suite le petit garçon près d’un
arbre. Lorsqu’elle l’aperçut, elle jeta un coup d’œil autour d’elle puis finit
par s’approcher de l’enfant.
Celui-ci tourna la tête vers elle et elle put
remarquer qu’il était vêtu en Pierrot.
-Qui y à t-il ? Demanda t-elle aussitôt.
-J’ai perdu mes parents…Je ne sais pas où ils sont…
-Viens nous allons les chercher dit celle-ci en
tendant sa main que le garçon pris.
Elle fixa ensuite les alentours et finit par
dire :
-Où sont tes parents ? Enfin où les as-tu vu la
dernière fois ?
L’enfant ne répondit pas et la jeune fille tourna la
tête en direction de l’enfant qui lui sourit étrangement. Un frisson la parcouru
et la jeune fille sentis un mauvais pressentiment ce qui la poussa à tenter de
faire lâcher la main du garçon. Mais celui-ci ne lâcha pas prise et ces yeux
devinrent jaunes brillant comme deux phares. Elle tenta de se dégager mais
celui-ci referma d’avantage son étreinte l’empêchant de fuir. Elle voulut crier
mais ces yeux jaunes l’hypnotisaient de façon à ne pas pouvoir hurler. La jeune
fille tenta encore de se débattre mais Pierrot la tira brusquement vers lui et
se jeta sur elle. Un cri étouffer retentit faisant aboyer un chien et sortir le
père de la jeune fille. Il jeta un rapide coup d’œil dans les environs ne
voyant rien, il se mit à appeler sa fille :
-Myriame ! Myriame où es-tu ?
Le silence lui répondit et le père rentra dans la
maison en disant :
-Eh ! Ta fille à fuguer !
-Qu’est-ce que tu racontes ?
-Elle n’est pas devant la maison. Je te dis qu’elle
n’est pas la !
La mère fronça les sourcils et finit par dire :
-Elle est peut-être allé faire un tour.
-On lui avait pourtant dis de rester dans les parages
car nous n’allions pas tarder à aller nous coucher.
Le mère ne su que dire et le
père alors prit le téléphone et se mit à appeler sa fille. Personne bien sur ne
décrocha et le père laissa un message :
-Chérie ! C’est
moi ! Tu devrais être rentré à la maison. Où es-tu ? Rentre vite.
Bien sur la fille ne rappela
jamais et la mère qui voyait son mari faire des va et viens lui dit :
-Appelons la police.
-Attend ! Chérie !
Elle est peut-être chez une amie.
-Ok ! Dans ce cas, téléphone-leur.
Le père acquiesça et
téléphona à ses copines connu mais les réponses furent négative. Les parents
commencèrent à s’inquiéter et décida au final par appeler la police. La police
leur répondit qu’il fallait attendre 24 heures pour faire des recherches et la mère
désespéré alors dit :
-24 h ! Vous, vous
moquez de moi ? En 24 h, ma fille peut se faire tuer.
-Nous sommes désolé mais
c’est la procédure. Surtout qu’elle est âgée de 16 ans et qu’à cet âge les
jeunes fuguent souvent.
Les parents ne purent rien
dire de plus et se mirent à attendre avec une grande inquiétude.
Tendis qu’ils se mirent à
attendre Pierrot était en train de dévorer la jeune fille. Il poussa un
grognement en direction du labrador et soudain, il dit :
-Vas tuer Eddie
Kasbrak ! Va tuer cet asthmatique ! Ce gamin qui ne sert à
rien ! Va le tuer !
Le chien approuva ce que
Pierrot venait de dire car, il détala en laissant son maître continuer son
festin. Il couru jusqu’aux volets de la chambre d’Eddie et se mit à grogner. Peu
content, il se mit à gratter les volets lorsque soudain le loup blanc apparut.
Le chien se tourna face au loup blanc et celui-ci se mit à grogner aussitôt
imitait par son ennemi. Les deux canidés se regardèrent et soudain se jetèrent
l’un sur l’autre. Le combat était violent ce qui réveilla Eddie qui serra sa
couverture contre lui. Les deux canidés continuèrent de se battre et soudain le
chien jugea préférable de fuirent. Le loup blanc ne le pris pas en chasse et
fixa l’endroit où il venait de disparaître pendant quelques secondes avant de
se décider de partir. Eddie de son côté était toujours immobile lorsqu’il se
décida d’aller jeter un coup d’œil. Il ouvrit les volets en tremblant au moment
même où il vit le loup blanc disparaître derrière un buisson.
-Loup blanc ! Reviens !
Je veux devenir un loup !
Le loup blanc s’arrêta
aussitôt en entendant ces paroles et se mit à fixer Eddie qui semblait triste. Il
se mit à le fixer intensément et sembla vouloir faire marche arrière mais
préféra rester derrière le buisson. Il regarda Eddie un instant et le vit
fermer les volets alors, il décida de partir.
La nuit retomba dans le
calme et bientôt tout le monde où presque fut plongé dans le sommeil. Pierrot
qui ne dormait pas vit le labrador revenir et dit :
-Tu as eu des soucis avec le
loup blanc ?
Le chien approuva d’un
jappement et Pierrot alors dit :
-Demain ! Tu le coinceras
vers les cabanes en bois pour enfants. Mais pour ça faudra faire gaffe aux
autres car ils viennent toujours le chercher et le ramener. Il faudra trouver
un moyen de l’attirer.
Le chien jappa comme pour
approuver et Pierrot se tourna face au corps de la jeune fille qu’il avait tué
précédemment et continua de la dévorer. On pouvait voir au visage de la jeune
fille qu’elle était dévoré jusqu’à l’os. Du sang recouvrait ses os et Pierrot
ne semblait pas vouloir laisser son corps tranquille.
Sur cette image d’horreur la
nuit retomba dans le silence et le lendemain arriva vite. La mère d’Eddie vint
le réveiller :
-Allez debout mon Eddie
chéri ! Il est l’heure d’aller à l’école.
Eddie s’étira après quoi, il
bailla. Une fois fait, il se leva et se dirigea vers les volets qu’il ouvrit.
Il regarda au dehors et c’est alors qu’il aperçut le labrador en train de
boiter tout en gémissant. Il le regarda un instant et finit par ce dire :
-Pauvre chien ! Je vais
aller le voir et le soigner !
Il sauta par la fenêtre en
pyjama et se mit à suivre le chien qu’il perdu de vue. Il aperçut alors le
terrain de jeu des enfants et pensa que le chien était allé là-bas. Il se
dirigea alors vers le terrain de jeux et ne vit le chien nulle part.
-Eh ! T’es où
toutou ?
Un grognement lui répondit
et celui-ci se tourna face au labrador qui le fixait de ces yeux jaunes
diabolique. Eddie compris mais alors trop tard que c’était un piège. Il recula
inquiet vers un tunnel du toboggan de jeu et se retrouva coincé dedans. Sa
difficulté à respirer s’installa et Eddie ne pus que reculer. Son inhalateur
était resté dans la maison et le pauvre Eddie n’avait aucune arme pour se
défendre. Le chien approcha lentement du pauvre Eddie Kasbrak qui s’avait que sa
dernière heure été arrivé. Il décida de fermer les yeux pour ne pas voir ce qui
allait se passer lorsque soudain Pin’s apparut. Il bondit sur le labrador et un
combat commença. Des couinements et grognements ne tardèrent pas à se faire entendre.
Eddie ouvrit les yeux et sourit à la vue de Pin’s.
-Vas-y ! Pin’s !
Lança t-il l’air content.
Pin’s s’en sortait pas mal
mais soudain le labrador le mordit à une patte et Pin’s poussa un couinement de
douleur. Après quoi le chien tomba sur le sol blessé et le labrador commença à
s’approcher de Pin’s afin de l’achever. C’est alors que le loup blanc apparut et projeta le chien dans
la terre sèche. Le labrador furieux se redressa et bondit sur le loup blanc qui
le mordit à l’épaule. Le chien poussa un hurlement de douleur mais tenta de le
mordre à la patte mais le loup l’évita d’un bond. Le chien était furieux, il
bondit en avant mais le loup blanc bondit sur lui le projetant de nouveau dans
la terre sèche. Le labrador se redressa mais cette fois-ci, il se baissa en
bavant de rage lorsque le loup blanc fit apparaître des racines. Le chien ne
sembla pas effrayé car il bondit en avant mais le loup blanc le repoussa
fortement contre un arbre grâce aux racines. Il poussa un couinement et se
redressa de façon plus méfiante. Il jeta un coup d’œil vers le loup blanc et
compris que celui-ci était prêt à lancer de nouveau une attaque alors, il jugea
cette fois préférable de s’en aller. Il détala droit devant lui et arriva peu
après près de Pierrot qui avait finit son festin.
-Alors c’est fait ? Tu
as tué ce petit morveux d’asthmatique ?
Le chien baissa la tête et
gémit pour faire comprendre que non.
-Quoi ! Non ? Tu
veux dire que ce satané gamin et encore en vie ?
Le chien répondit d’un
gémissement et Pierrot demanda :
-Que sait-il passé ?
Cette fois-ci, le labrador
jappa pour faire comprendre que le loup blanc été intervenu.
-Un loup blanc tu dis !
Mum ! Je vois que ce loup devient une menace pour nous. Il nous faut l’éliminer
avant qu’il ne protège tous ces salles gosses.
Le labrador jappa et Pierrot
alors s’exclama :
-Je sais qui tu es sal
loup ! Oui ! Je sais qui tu es vraiment et je vais te tuer !
Il serra les points et se
mit à réfléchir. Il réfléchit un instant avant de dire :
-Ce loup ! Ce satané
loup ! Fait partit des Wolfblood et commence à me taper sur les nerfs.
Le labrador jappa et Pierrot
alors dit :
-Il est temps de passer à
l’action ! Les cabots c’est à vous de jouer ! Tuer tout ce que vous
croiserez ! Ceux à qui j’ai donné l’ordre de tuer des humains comme la
bande à Kader faite le ! De mon côté, je vais tuer tous les enfants ou
adolescents que je croiserai ! Il reste juste un truc…
Il se tourna face au loup
garou :
-Elimine le futur Wolfblood
comme prévu et ensuite tente de tuer leur bande. C’est une erreur de ta pars
corrige la !
Le loup garou répondis d’un
grognement et détala aussitôt imitait par le clan des cabots y compris le
labrador qui menait le clan. Pierrot de son côté serra les points à nouveau et
se dit :
-Saleté de loup blanc !
Tu va voir ce qui va t’arriver ! Je vais te faire saigner. Ah !
Ah !
Alors qu’il disait ça les
cabots débarquaient dans la ville. Ils s’immobilisèrent et le labrador leur
jeta un coup d’œil ce qui les fit se séparer. Chacun partie d’un côté et lui de
son côté aperçut un clochard qui marchait devant lui. Il poussa un grognement
et fonça sur sa victime qui se mit à hurler de douleurs. Des gens regardèrent
par la fenêtre et un homme courageux se mit à lancé des bouteilles de bières
vide. Le chien grogna férocement et fit face à l’homme qui lui tirait dessus. Il
fonça ensuite en direction de sa nouvelle victime qui continuait de lui tirer
dessus. Le chien bondit alors sur lui et l’homme se mit alors à hurler de
douleur. Des gens sortirent et se mirent tous à tirer dessus à l’aide de pierre
où de bouteilles vides. Le labrador résista au coup un instant et finit par
détaler en laissant derrière lui deux victimes. Les gens se dirigèrent vers les
victimes et constatèrent que le clochard était presque mort et l’homme qui
avait tenter de le sauver était mort.
-Vite ! Appelez une
ambulance !
Une femme s’exécuta aussitôt
et un homme alors lança :
-Il faut prévenir les
autorités ce chien est dangereux ! Il à peut-être la rage !
Les autres personnes
approuvèrent et un homme téléphona à la police.
-Allo ! Police ! J’écoute ?
-Allo ! Un chien fou vient
d’attaquer deux hommes. Il s’agit d’un labrador qui pour l’instant à détaler
dans le centre. Il nous faut une ambulance de toute urgence ! Dit l’homme
en parlant à l’agent qui venait de décrocher.
-Ok ! Nous arrivons de
suite ! Avez-vous, vous-même prévenu les secours ?
-Oui ! Ils ont dit
qu’ils arrivent. Répondit alors la femme derrière l’homme.
La police qui venait
d’entendre alors dit :
-Faite une pression sur la
blessure pour éviter que la victime ne perdre trop de sang nous arrivons.
Sur ces mots, la police
raccrocha et les gens restèrent près des victimes.
Le labrador de son côté
marchait dans la rue et aperçut un jeune couple qui sortaient de boite. Il émit
un grognement et détala droit sur les victimes qui se mirent à hurler de
douleur lorsqu’il bondit sur eux. Il mordit l’homme au ventre et la femme qui
essayait de le repousser au bras. L’homme tenta de le repousser à coup de pied
tendis que la femme se mit à le frapper à l’aide de son sac. Le chien poussa un
grognement et attaqua à nouveau l’homme au ventre qui se mit à hurler. Le
chasseur déjà croisé rentrait de la chasse et tira droit sur le chien. La balle
l’effleura et le chien alors détala à travers les ruelles. Le chasseur regarda
le chien disparaître dans les rues après quoi, il s’approcha des victimes.
L’homme était dans un sal état et la femme n’était pas mieux. Le chien les
avaient mordus jusqu’à l’os.
-Merde ! Dit l’homme en
prenant son téléphone.
Il composa le numéro des
urgences et ceux-ci dirent :
-911 j’écoute ?
-Je me trouve près du bar
Marcel Joffre. Je suis avec deux victimes d’attaque de chien. Il faut une
ambulance au plus vite.
-Très bien ! Ne
bougeait pas j’envoie des secours de suite.
L’homme secoua positivement
la tête et tenta de rassurer les victimes. Pendant ce temps, une vieille dame
peu commode se mit à râler.
-Ils font chier ces voisins
avec leur foutus chats ! Ils viennent dans mes fleurs pour y déposer leurs
merdes. Satané bestioles ! Quand on à des animaux ont les gardes chez
soit ! Ce n’est pas vrai !
Elle venait de finir sa
phrase lorsqu’un grognement retentit. La femme tourna la tête vers le
grognement et aperçut un doberman.
-Ah ! Voila maintenant
qu’il laisse vagabonder leur clébard ! Putain ! Ce n’est pas
vrai !
Puis faisant face au
chien :
-Allez ! Ouste !
Dégage ! Sal clébard !
Le chien lui répondit d’un
grognement et bondit ensuite sur elle. Des cris de douleurs résonnèrent et les
voisins ouvrirent les fenêtres pour voir ce qui se passaient. Ils aperçurent le
doberman et se mirent à balancer des objets afin de faire fuir le chien qui
poussa un grognement avant de finir par détaler dans les rues. Les gens se
mirent à sortir afin de venir porter secours à la femme qui se trouvait dans un
sal état. Ils appelèrent les secours tendis que les chiens semaient la panique
un peu partout dans la ville. Des corps tombaient au sol sous les attaques des
chiens et des gens mourraient. La police était sur bouquait et recevait encore
des appels de gens qui assistait à des attaques de chiens. Pierrot qui
regardait la scène se mit à ricaner fier de lui.
-Ils vont voir ces mortels
qui est le maitre ici ! Oui ! Sals mortels ! C’est moi ici le
maître !
Il se mit à rire et se
tourna face au loup garou.
-Trouve moi ce garçon qui
doit devenir un Wolfblood et tue le.
Le loup approuva d’un
grognement et détala à travers la ville. Il du éviter les rues remplis par la
police et se mit à renifler. Un grognement lui échappa lorsque soudain un Boxer
bondit sur lui. Le loup garou poussa un grognement et éventra le chien d’un
coup de patte. Le chien tomba au sol mort et le loup garou poussa un hurlement
à la lune. Les gens propriétaire du chien se réveillèrent en sursaut et le loup
garou continua sa route. Il semblait être sur de lui car il prit un chemin qui
le conduisait vers une ruelle paisible. Alors qu’il suivait cette route, il
tomba nez à nez face à deux chiens de races berger allemands. Il bondit sur eux
mais les chiens furent plus malins et rapide que les autres chiens croisés
auparavant car ils mordirent le loup garou à la patte arrière et à la patte
avant. Celui-ci poussa un grognement et tenta de les éventrer mais les chiens
lui bondirent à nouveau dessus. Il tenta à nouveau de les tuer mais les chiens
étaient trop rapides si bien qu’ils firent tomber notre ennemi sur le dos. Le
loup garou grogna et se redressa peu content. Il regarda les chiens et refusa
de bondir à nouveau dessus. Du coup, il fit demi-tour en grognant. Il repartit
alors vers la forêt où Pierrot fut peu content.
-Qu’est-ce que tu fou
la ! Je t’ai dis de tuer le futur Wolfblood.
Le loup garou répondit en
grognant et Pierrot alors dit :
-Ne me dis pas que je vais
devoir me charger moi-même de ce gamin !
Le loup garou grogna à
nouveau et Pierrot dis :
-Tu me déçois ! Regarde
les chiens ? Eux au moins, ils ont tué des gens ! Et pas toi !
Le loup garou grogna à
nouveau et Pierrot alors répondit :
-Je t’ordonne d’y
retourner ! On doit trouver ce garçon !
Le loup garou poussa un
grognement et détala de nouveau vers la ville.
Tendis qu’il revenait vers
la ville les chiens avaient commis encore des meurtres. Le doberman se souvint
de sa mission de tuer Isabelle et se dirigea vers les maisons dans une ruelle.
C’est alors qu’il tomba sur un mec alcoolique qui titubait dans la rue. Il
poussa un grognement et bondit sur l’homme qui se mit à hurler de douleur. Des
gens entendant ces cris s’emparèrent de cailloux qu’ils lancèrent sur le chien
qui au début grogna en les fixant intensément. Quand il vit qu’ils étaient
plusieurs, il jugea préférable de s’en aller. Pendant qu’il s’éloignait le pitt
bull attaqua une femme et l’américan Staff de son côté attaquait un homme.
-Il faut arrêter ces chiens
fous ! Hurla un homme.
-Il faut les tuer !
Hurla une femme.
Les gens approuvèrent leur
avis et un homme alors dit :
-Où est la police ?
Qu’elle intervienne !
-Ces chiens vont tous nous
tuer ! Dit une jeune femme.
Les personnes approuvèrent
les paroles de la jeune femme et se mirent à supplier que la police arrive au
plus vite. Les chiens avaient déjà attaqués plusieurs personnes et n’étaient
pas décidé de s’arrêter la. Tous les gens étaient paniqués et entre ceux qui
aidaient les victimes et les victimes qui mourraient sous leurs blessures le quartier
étaient mouvementé. La police ne tarda pas à arriver ainsi que les ambulances
mais les chiens fuirent à leur arrivés. Ils partirent vers d’autres endroits
pour continuer leur méfait.
Alors que les chiens
semaient des attaques partout en ville le loup blanc se dirigea vers Eddie et
commença à reprendre son apparence. Eddie vit alors que le loup blanc n’était
pas un loup mais une louve et que cette louve était…Liv. Oui ! Cette louve
blanche c’était moi depuis le début. Eddie se paralysa sur place et je
réalisais alors que j’étais nue. Mal à l’aise, je m’empressais de reculer mais
à ma grande surprise Eddie s’empara de mon bras. Il respirait difficilement
mais eut la force de m’embrasser sur la bouche. Il venait de me faire un smack
et je me paralysais totalement ne sachant alors que faire. Quand j’eus un peu
reprit mes esprits, je finis par dire :
-Pourquoi as-tu fait
ça ? Pourquoi m’as-tu embrassé ?
-Car…Je…Je…Je t’aime.
-Tu m’aimes ! Mais je
croyais que tu détestais l’amour et refusais le mien.
-J’ai…J’ai…J’ai changé d’avis
! Me dit alors celui-ci toujours en respirant difficilement
Je m’approchais de lui et
commença à lui faire un smack après quoi je tentais de rentrer ma langue dans
sa bouche mais celui-ci me dis :
-Non pas la langue !
S’il te plaît pas la langue !
Je fronçais les sourcils et
le regardais intensément dans ses magnifiques yeux marron. Puis après quelques
secondes de regard intense, je dis :
-Pourquoi pas la
langue ?
-C’est plein de microbes
-C’est faux !
Eddie ! Pas quand deux personnes s’aiment. Les microbes dans ce cas…
-Ce mélange et font plus
qu’un. Oui ! Je sais !
-Alors pourquoi pas la
langue ? Tu sais si c’est parce que je suis trop vieille, on peut stopper
la.
-Non ! Ce n’est pas
ça ! Je n’aime personne ! Enfin…Si ! Toi !
Je souris en attendant ça et
je dis :
-Alors pourquoi pas la
langue ? Qu’est-ce qui te bloque ?
-Si on s’embrasse comme ça
cela voudra dire qu’on est désormais lié. Qu’on ne peut pas se séparer. Qu’on
est unis pour la vie.
J’écoutais attentivement ce
qu’il me dit et je finis par dire :
-C’est justement ce que je
veux ! Je veux être la femme de ta vie ! Celle qui veillera à tes
côtés ! Et celle qui même après la mort te retrouvera pour former un
couple éternelle.
Eddie sembla réfléchir à ce
que je venais de dire et finit par dire :
-Si on s’embrasse avec la
langue, tu me promets qu’on ne se quittera jamais ?
-Oui ! Promis !
-Il le faut !
-Il le faut ?
-Oui ! Il le
faut !
-Dans ce cas, je m’engage à
t’aimer, à t’honorer et à faire tout mon possible pour être la femme de ta vie.
Eddie sembla soudain content
car il se mit à me sourire tout en me regardant fixement. Il me regarda un
instant comme ça et me dis :
-Je t’aime ! Mais je
veux être heureux ! Je veux que tu ne me déçoives pas. Je ne veux pas être
déçu en amour. Si j’avais eu plusieurs femme sache que je voudrais tenter une
dernière fois avec une femme dans la mesure que celle-ci m’aime à en mourir.
-Pourquoi me parles-tu de
plusieurs femmes ? Tu as déjà aimé d’autres femmes ? Je pensais que
tu n’avais jamais aimé personne.
-Non ! C’est juste pour
voir à quel point tu m’aimes.
-Dans ce cas, je te rassure
de suite. Je t’aimerais à en mourir et j’aurais même rien à faire de ton
argent. Car le plus important c’est l’amour du cœur pas le fric.
Eddie sembla soudain content
de ce que je venais de dévoiler et il me dit :
-Donc tu m’aimerais
vraiment ?
-Oui ! Vraiment !
-Il le faut.
-Il le faut ?
-Oui ! Il le faut
vraiment ! Si tu veux être avec moi.
-Dans ce cas !
Ok ! Il le faut vraiment !
Eddie souris et se mit à me
couvrir de smacks à n’en pas finirent. Je lui rendis ces bisous et soudain, il
me dit :
-Je suis dingue de toi
depuis le début mais je refusais à mon cœur de l’admettre.
J’étais paralysé par cette
révélation et Eddie fit une chose incroyable. Il m’embrassa à nouveau mais cette
fois-ci avec la langue.
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