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 © Lilas Giorgi

jeudi 9 juillet 2020

Chapitre 16 Un doberman pour une fille


Un dobermann pour une fille : Episode 16




Je souris à mes paroles mais mon sourire s’effaça rapidement lorsque je pensais à Eddie. Je regardais la lune et je dis :
-Eddie ! Tu me manques ! J’aimerais tant que tu sois là ! Je t’aime ! Je t’aime tellement !

Je poussais un soupir et repris :
-Eddie ! Ce n’est pas juste que ta mère refuse qu’on se voie à cause de mon âge. Je ne te force en rien de plus on à que 4 ans d’écart. Ce n’est pas énorme ! Juste car j’ai 18 ans ! Je suis dégoûté ! J’aimerais que tu dormes avec moi comme le jour où je t’ai changé en Wolfblood. C’est chiant que l’on doit à chaque fois tout surveiller. Heure, temps, endroit…Pfff ! Suis-je la seule femme âgée tout juste de la majorité à aimé un mineur ? (En réalité, je suis amoureuse de toi Eddie des années 90 et tu es plus vieux que moi mais bon…)

Je soupirai à nouveau et je remarquais que Danny me regardais.
-ça va Liv ?
-Oui ! Enfin…Je…ça y est je l’ai fait.
-Ta couché avec Eddie ?
-Oui !
-Woua ! S’exclama Killian en apparaissant cool ! Et c’était comment ? Enfin…Sans indiscrétion ?
-Génial ! Mais…
-Mais que se passe t-il ? Demanda alors Louane.
-Il se passe que contrairement à vous, je ne peux pas me retrouver seule avec Eddie. Sinon, nous sommes obligés de nous cacher.
-Ouais ! Effectivement c’est plus dur pour toi. Dit alors Lunari.
-J’en ai marre ! Je l’aime tellement !
-Et lui ! Il ta dit quoi ? Par rapport à ce qui c’est passé entre vous ?
-Il me veut pour épouse. Il est sûr de ses sentiments.
-Cool ! S’exclama Killian. C’est génial ! Enfin notre Eddie est un grand maintenant. Il pourra se défendre contre les attaques de la bande à Kader au sujet de sa situation sexuelle.
-Peut-être mais, il ne peut pas dire que c’est avec Liv. Dit alors Lunari. Il aurait des problèmes avec sa mère et Liv aussi.
-C’est sur ! Sa mère n’est pas commode ! Elle pourrait créer des soucis à Liv avec la police.
-Ouais ! Tu as raison dit alors Louane, il ne faut pas quelle l’apprenne.
-En tout cas, c’est cool qu’Eddie est toujours amoureux de toi. Cela prouve que le sexe ne l’effraie pas. Dit Danny en mangeant un bout de pain.

Je les écoutais attentivement et finit par dire :
-Oui ! Vous avez raison ! Et si nous allions courir ? J’ai besoin de prendre l’air pas toi Pin’s ?
-Waf !
-Ok ! Allons-y !

On se changea en loup et on détala dehors sous la lune avec Pin’s qui nous accompagnait de près. Cela me fit du bien mais je savais que désormais j’étais unis avec Eddie et que je devais surtout pas le décevoir. Je poussais un hurlement vers la lune imitait par les autres tendis que mon chien nous regardaient en tirant la langue. Nous retrouvâmes alors Maxime et Marie qui courraient dans notre direction. Je fus contente mais notre bande n’était pas complète et sans Eddie, je n’allais pas bien. Je regardais en direction du village et c’est alors qu’il apparut. Folle de joie, je couru vers lui en loup et on se fit la fête. Après ça on se fit une bise du museau et nous frottâmes notre tête l’une contre l’autre. Je sentis qu’Eddie était excité et amoureux alors nous, nous écartâmes du groupe. Pin’s resta non loin d’Eddie et moi pour nous protéger en cas de danger. Lorsqu’on eut finit on se coucha, l’un contre l’autre et nous, nous reposâmes. C’est alors que les autres revinrent et nous partîmes courir tous sur la plage en loup. Peu après chacun se sépara et nous partîmes nous coucher.

Tendis que nous étions en train de rentrer le doberman de la bande des cabots grogna en nous voyant nous séparer. Il semblait furieux de ce qu’il voyait et reprit son apparence humaine.
-Ces Wolfblood sont décidément une nuisance. Il faut que quelqu’un les arrête. Pour l’instant, je dois me charger de cette fillette. Je crois que son nom c’est Isabelle. Je vais me débarrasser d’elle et plus tard si le chef me le permet, je m’occuperais des Wolfblood. En attendant, j’y go.

On vu des jambes d’une femme marcher dans les feuilles et celle-ci alors dit :
-Ce Eddie semble vraiment décider de faire un enfant à cette Liv. Je devrais la tuer avant qu’elle ne soit enceinte de lui. Mais je devrais également tuer ce Eddie. Surtout qu’ils sont chef de meute ! Crrr ! Bon ! Allons tuer la gamine. Sur ces mots, la femme repris son apparence de doberman et détala droit devant elle. Elle couru un instant et ne tarda pas à apparaître dans une rue où Isabelle se montra. Elle rentrait du campus et semblait pressé de rentrer. C’est alors que le doberman poussa un grognement ce qui l’immobilisa sur place. Elle tourna la tête en direction du chien et la peur s’installa sur son visage. Elle se mit à reculer lentement en essayant d’atteindre une maison mais le doberman bondit alors sur elle. Des cris retentirent attirant Abigaïl Norck qui faisait des recherches sur  la disparition de la jeune fille. Elle vit la scène et s’empara de son arme après quoi elle tira en direction du chien. Le doberman entendant le coup de pistolet bondit derrière un buisson et détala aussitôt. Abigaïl s’approcha de la gamine que le chien venait d’attaquer. Elle prit alors son téléphone et composa un numéro :
-Allo ! Ici Abigaïl Norck ! Je n’ai pas de nouveau au sujet de la jeune adolescente disparus par contre j’ai besoin d’une ambulance. Une jeune fille vient de se faire attaquer par un doberman et je crois qu’elle va mourir. Ces blessures sont graves.
-Très bien Madame Norck ! On vous envoie une ambulance de suite. Où vous situez-vous ?
-Je suis proche du pont des conifères. Vite ! Dépêchez-vous !
-Ok ! Très bien ! On vous envoi une ambulance de suite.

Abigaïl approuva d’un signe de tête et se pencha sur la fillette qui ne bougeait plus.
-Accroche-toi ! S’il te plaît ! Accroche-toi !

La fillette resta immobile et Abigaïl se mit à regarder au alentour. Elle fixa ensuite le buisson où le chien avait disparus et l’ambulance ne tarda pas à arriver. Les ambulances firent les premiers secours mais finirent par tourner la tête vers Abigaïl. Ils secouèrent négativement la tête et prirent la fillette décédée qu’ils mirent dans l’ambulance. Ensuite l’un d’eux s’arrêta et dit :
-Vous allez faire quoi maintenant ?
-Je dois trouver ce chien avant qu’il arrive quelque chose d’autre et l’abattre.

L’ambulancier secoua positivement la tête et rentra dans l’ambulance. Abigaïl poussa un soupir et se dirigea vers le buisson en disant :
-Le corps de Marie n’à pas été tué par un chien. Aucune marque de morsure n’a été trouvée sur elle. Je pencherai pour un être surnaturel où un psychopathe armé de griffes. Cette gamine à été tué par quelqu’un où quelque chose ayant des griffes. Mais je ne vois personne de terrien capable de faire ça.

Elle eut une moue et se mit à marcher en prenant soin de bien regarder autour d’elle. Elle sortie son arme en cas de danger et marcha un moment sans vraiment savoir où elle devait aller. Elle voulu s’en retourner au bout d’un instant de marche lorsqu’elle entendit grogner. Elle se retourna et le vit planter devant elle. Ses oreilles étaient baissées et ses babines étaient retroussées. Un frisson la parcouru et elle se sentit soudain très mal à l’aise.
-Du calme le chien ! Gentil chien !

Mais le doberman n’était pas décidé à cesser de grogner au contraire. Il fonça droit sur Abigaïl qui tira un coup de pistolet le touchant à la patte avant. Celui-ci émit un couinement et jugea préférable de fuir. Abigaïl le pris alors en chasse et détala derrière le chien. Elle couru un instant mais le chien avait disparus. Abigaïl se retrouva alors seule au milieu d’une clairière tendis que le doberman courait se mettre à l’abri derrière un buisson. Il aurait pus fuir mais il était décidé à en terminer avec notre profileuse. Il grogna férocement et malgré sa douleur, il détala droit sur elle où il bondit. Abigaïl perdu alors son arme sous le choc et se retrouva sur le dos. Le chien fou de rage lui fit face en grognant méchamment et bondit sur elle mais fut stopper en plein vol par Pin’s. Pin’s avait sentit le danger et étais venu lui porter secours. Un combat de chiens ne tarda pas à commencer. Coup de patte où coup de crocs cela ne fut pas une partie de plaisir. Les deux canidés étaient bien décider à gagner.

Alors qu’ils se battaient, Eddie se mit à me frotter sa tête contre la mienne. Je fis de même et je pensais :
-Même en loup, tu restes trop craquant ! Tu me rends dingue Eddie Kasbrak ! Oui ! Tu me rends vraiment dingue ! Jamais, je n’ai ressentis d’aussi forts sentiments pour quelqu’un !

Je lui léchai le museau et celui-ci fit de même. On continua à nous lécher et je sentis au fond de moi l’envie de faire l’amour resurgir. Eddie me renifla et sembla comprendre car il s’approcha de mon train arrière. Il me grimpa dessus et je ne tardais pas à sentir bouger à l’intérieur ce qui me fit du bien. J’aimais ça mais j’aurai préféré que cela soit en humain ce qui sembla l’atteindre car il descendit de mon dos. Il me lécha à son tour le museau et je remarquais qu’il n’y avait plus Pin’s. Je me mis à fouiller les environs et je décidais de reprendre mon apparence humaine. Je redevins alors humaine et je mis une main sur mon sexe et l’autre sur ma poitrine. Eddie redevint lui aussi humain et mis une main sur son sexe.
-Liv ! Ça va aller ?
-Je…Je ne sais pas…Où…Où est passé Pin’s ?

Eddie fouilla les alentours du regard et me dis :
-Tu veux qu’on le cherche ?
-Oui ! Je veux bien.

Il me sourit et m’embrassa avec la langue. Je lui rendis son bisou et celui-ci alors me dit :
-Cherchons le ! On rejoindra la meute après.
-Ok ! De toute façon chacun est en couple pour passer du bon temps.

Eddie sourit et finit par dire :
-J’aimerais passer du temps avec toi mais en humain.
-Moi aussi ! Tu voudras qu’après avoir retrouvé Pin’s qu’on aille au QG pour…Enfin ta compris.
-Oui ! Je le veux vraiment ! Me répondit celui-ci en souriant.

Je l’embrassais et on se rhabilla. Une fois fait, on se mit en route sans vraiment savoir où chercher.
-Pin’s ! Appela Eddie.
-Pin’s ! Répétais-je à mon tour.

Pin’s ne vint pas et soudain, j’entendis au loin des aboiements furieux. Je jetais un coup d’œil à Eddie et nous, nous dirigeâmes en direction des bruits. On ne savait pas ce qu’on aller découvrir et quand on arriva sur les lieux on aperçut Pin’s en train de se battre contre un doberman. Celui-ci continua à se battre et à notre vu détala droit devant lui mettant de la distance entre Abigaïl et lui. Pin’s voulus le suivre mais je le rappelais aussitôt.
-Pin’s ! Ici !

Celui-ci m’écouta et revint alors proche de moi. Il haletait et je le caressais imitait par Eddie qui dit :
-Bon chien ! Oui ! C’est bien !

Pin’s lui lécha le bout du nez le faisant aussitôt rire. Je les regardais et me tournais face à madame Norck.
-Est-ce que ça va ?
-Oui ! Merci pour votre interruption ! Ce chien était bien décidé à me tuer. Je serais sûrement morte sans votre chien.

Elle nous regarda intensément et soudain dit :
-Vous n’êtes pas humain ! Vous êtes des loups quand vous le désirez.

Je sursautais à ces paroles et Eddie finit par bredouiller :
-Co…Comment savez-vous que…Que…Que l’on à le pouvoir des loups ?

Abigaïl sourit et finit par dire :
-Je vous aie suivis et un moment, je vous ai vu changer.
-Quand…Quand ça ? Bredouilla à nouveau Eddie devenu tout blanc.
-Tout à l’heure mais n’ayez crainte, je ne dirais rien à personne.
-Vous devais alors savoir que je sors avec Eddie Kasbrak. Dis-je alors aussitôt.
-Oui ! Et je comptais, vous dire de faire attention. Tu es majeure et Eddie est mineur. Si jamais sa mère apprend que vous avez des relations sexuelles, tu risques d’aller en prison.
-Oui ! Je suis au courant…Mais…Eddie et moi ce n’est pas juste comme ça…On s’aime vraiment vous savez ?
-Oui ! Moi je le sais ! Et ça ne me dérange pas car je vois qu’il t’aime vraiment et que tu ne le force en rien…Mais sa mère est très dur à se sujet.
-Comment le savez-vous ? Demanda Eddie ? Vous l’avez appris comment ?
-Je l’ai découvert en faisant mon enquête au sujet de la jeune fille de 16 ans disparus. Je l’ai interrogé et, elle m’a déclaré qu’elle ne voulait pas que Eddie chope pleins de microbes et qu’il traîne avec vous du votre âge.

J’eus une moue et je finis par dire :
-J’aime vraiment Eddie ! Je l’aime plus que ma propre vie et je ne compte pas faire des choses qu’il ne voudra pas. S’il me dit d’arrêter, je m’arrêterai car je ne veux en aucun cas le faire souffrir.

Madame Norck sourit et finit par dire :
-Je vois et puis-je vous poser une question privé ?
-Oui ! Bien sur ! Je vous écoute ! Répondis-je aussitôt.

Abigaïl inspira profondément avant de dire :
-Que comptez-vous faire pour votre couple ?
-On compte se marier. Dis-je en regardant Eddie qui approuva d’un signe de tête.
-Ok ! Je vois et c’est tout ?
-Non ! On veut un bébé ! Dit aussitôt Eddie.
-Un bébé ! Tu es sur ? Tu es encore jeune Eddie.
-Oui ! Je suis sur ! J’en veux un !
-Il le faut dis-je alors aussitôt ?
-Oui ! Il le faut ! Me répondis celui-ci ce qui comme d’habitude ce qui me fit fondre.

Je l’embrassai avec la langue et celui-ci alors me dit :
-Je t’aime Liv ! Et j’y tiens à ce bébé ! J’y tiens vraiment à ce qu’on l’ait !

Abigaïl sourit à Eddie et finit par dire :
-Vous devenez des loups quand vous le voulez ?
-Oui ! On devient des Wolfblood des qu’on le souhaite. Répondis-je aussitôt.
-Et le chien qui me battait était sous les ordres de qui ?
-C’est un cabot ! Il fait partit du clan des cabots. C’est en faite un prisonnier échappé de prison qui à eut le pouvoir du chien.
-Comment est-ce arrivé ?

Je regardais Eddie qui fit de même car on parut étonné qu’on nous croit sans nous prendre pour des fous. Après un long regard Eddie dit :
-C’est Pierrot qui leur à donner le pouvoir du chien.
-Pierrot ?

Je regardais à nouveau Eddie droit dans les yeux et je finis par dire :
-Pierrot est un démon à l’apparence d’un enfant de 10 ans vétu des habits de Pierrot.

Abigaïl sembla pensif et je me sentis mal à l’aise alors je dis :
-Oubliez ce qu’on à dis ! On ne veut pas être pris pour des fous.
-Je ne vous prendrez pas pour des fous c’est promis. Vous venez d’éclaircir une réponse à mon enquête. Oui ! Car si vraiment ce Pierrot existe cela expliquerais pas mal de chose au sujet des cadavres découverts.

Eddie et moi nous jetâmes un regard et Eddie lança :
-Ne le répétez pas !
-De quoi ?
-Que nous sommes des loups et que…Que…Que nous avons des relations intimes.
-Je ne dirais rien ! Je suis psychologue en plus d’être une profileuse. Ce qui veut dire que vos secrets son garder tant que cela ne représente pas de danger pour quelqu’un. La seule chose que je peux vous dire et de faire attention avec votre relation car Eddie est encore mineur. Ce qui signifie que si sa mère apprend votre liaison, elle peut appeler la police et vous aurez de gros soucis. Je ne dirais rien mais vous faite attention car même si tu veux des relations avec Liv sache qu’il ne faut pas oublier qu’elle est majeur.
-Je sais mais je l’aime ! Je veux un bébé d’elle ! Et je veux me marier avec elle !

Abigaïl eut une moue après quoi elle dit :
-T’es encore jeune pour ça. Tu peux attendre…
-Non ! Je n’attendrais pas ! Je veux l’épouser et avoir un bébé !
-Heu…Quoi te dire…
-Il le faut Eddie ? Dis-je alors.
-Oui ! Il le faut !

Je souris et je l’embrassais avec la langue.
Abigaïl nous regarda l’un après l’autre après quoi, elle dit :
-Je vois que tu es sur de toi. Il faut dans se cas faire votre maximum pour que cela se fasse avec précaution. Ne faite pas n’importe quoi où la mère d’Eddie pourrait s’en prendre à toi Liv.

On acquiesça d’un signe de tête et c’est alors qu’on entendit marcher dans les buissons. Eddie renifla et finit par dire :
-ça sent le cabot !

J’approuvais ses paroles et je virai mes yeux aux jaunes. Je poussais ensuite un grognement et Abigaïl alors dit :
-Est-ce que c’est le doberman de tout à l’heure ?
-Oui !

Pin’s émit un grognement en direction des buissons et je dis :
-C’est une femme ! Elle est blessée !
-Qui ? Demanda Abigaïl soudain perdu.
-Le doberman.

Abigaïl entendant ça s’exclama :
-Sortez de derrière les buissons ! Vous êtes découvert !

Un grognement retentit et le doberman apparut. Ces yeux jaunes diabolique nous paralysa sur place tendis que Pin’s grognait férocement. Abigaïl ramassa son pistolet qu’elle n’avait pas encore ramassé et le dirigea face au chien. Le doberman grogna imitait par Pin’s mais ne semblait pas décidai à fuir. Il nous regarda l’un après l’autre et eut comme une sorte de rictus sur les babines. Il continua à nous regarder l’un après l’autre et son regard s’arrêta sur Eddie. Je compris ce qu’il comptait faire alors je me planta devant Eddie en disant :
-Même pas en rêve ! Le cabot !

Il me répondit d’un grognement et se mit à me fixer avec haine. Je m’attendais qu’il bondisse sur moi mais il bondit sur Abigaïl. Un coup de pistolet retentit et le doberman tomba au sol mort. Il reprit son apparence humaine et Abigaïl alors dit :
-Comment expliquer cela à la police.

Eddie et moi s’échangeable un regard sans s’avoir quoi répondre. Madame  Norck s’approcha du corps et le toucha du bout du pied après quoi, elle prit son pouls. Elle nous regarda comme pour chercher de l’aide à son geste et soudain je dis :
-Il fait nuit ! Vous pouvez dire que vous lui avait demandé de sortir et qu’elle s’est jeté sur vous du coup par réflexe, vous avez tirez.

Abigaïl approuva d’un signe de tête et appela ces collègues.
-Allo police ! On écoute ?
-Ici ! C’est Abigaïl Norck ! Je viens de tuer la femme de la chambre 451 qui c’était échappé de prison. Elle à essayer de me tuer, j’ai du agir en légitime défense.
-Très bien ! Madame Norck, je vous envoi une voiture de suite et une ambulance.
-Ok ! Je suis à la pinède noire près de la rivière du printemps.
-Ok ! On arrive !

Abigaïl raccrocha et se tourna face à nous.
-Vous devez partir ! Si on vous voit la, il peut y avoir des problèmes.

On n’approuva d’un signe de tête et Abigaïl insista :
-Dites aussi aux autres de partirent ! Vous entendez ! Personne ne doit rester sur les lieux !
-Ok ! Répondis-je en même temps qu’Eddie.

On s’éloigna alors d’Abigaïl et on décida que chacun devais rentrer chez soi sauf Eddie qui me dis :
-J’ai envie !
-Ta envie de faire l’amour ?
-Oui !
-Il le faut ?
-Oui ! Il le faut !

Je souris et je dis :
-Ok ! Eddie ! Tu vas venir chez moi et je te ramènerais chez toi à l’aube comme ça ta mère ne saura pas que tu es partie.
-Ah ! Cool ! S’exclama celui-ci en se jetant à mon cou. Car j’ai vraiment envie de me régaler.

Je souris et à ces mots et je pensais :
-Eddie est vraiment un petit coquin d’amour. Il est en général réservé, timide pas du tout basé sexe et quand on se retrouve tous les deux, il devient tout excité. Et n’as qu’une envie me faire l’amour. Quel petit Cokinou. Je l’aime vraiment trop mais effectivement si on fait l’amour à chaque fois qu’on peut, il y à des risques que je tombe enceinte. Avant quand j’étais avec mon ex, j’avais la pilule mais depuis le décès de mes parents, je n’ai plus eut de contraception. Mais je n’ai même pas pensé à la prendre car Eddie ne fait que parler de bébé. Et je ne peux pas lui dire non ! Déjà car j’en ai pas envie mais également car il est si chou ! Qu’on est obligé de craquer.

Je continuais à penser à Eddie lorsque le doberman me revint en mémoire. Je me dis alors :
-Moins le doberman, il reste 8 cabots. Pierrot va être fou de rage quand il va apprendre qu’un de ces membres est mort. Il va falloir qu’on fasse attention car nous ne sommes pas à l’abri d’une attaque contre nous. Je m’inquiète plus pour la vie d’Eddie et des autres que de la mienne. Si Eddie meurt, je n’aurais plus aucune raison de vivre et je me laisserai tuer.

Alors que je pensais ça Pierrot savais que le doberman était mort.
-C’est pas vrai ! Fichu mortelle ! Elle à appelé le doberman et la liquidé ! Satané profileuse de merde ! En plus de la bande des Wolfblood, il nous faut une profileuse qui décide de chercher les meurtriers. Crrr ! Tu va le payer ! Tu es sur ma liste de mortelle à éliminer !

Il annonça alors aux autres que le doberman était mort et dit :
-Nous devons venger le doberman et tuer cette Abigaïl mais déjà éliminer la bande à Kader comme prévu. Nous devrions aussi tuer les Wolfblood mais je pense qu’il faudra agir en meute.
-On aurait du déjà agir avec le doberman. Elle ne serait pas morte ! Dit un homme chauve.
-Oui ! Je sais ! J’ai foiré le coup, approuva alors Pierrot.
-Ben maintenant, rattrapons l’erreur et agissons en meute.
-Ok ! C’est décidé ! Après ces meurtres, les cabots agiront en meute.
-Pourquoi après la bande à Kader ? Vous voulez que ça fasse pareil que pour le doberman ? Dit une femme aux cheveux rouges.
-Non ! Mais à deux chiens, je pense que cela devrait aller.
-Mouais…A voir ! Dit l’homme chauve.

Pierrot eut une grimace et se mit à penser :
-Pourquoi les Wolfblood existe-t-il ? Sans eux cela serait beaucoup plus simple.


A suivre...

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