Un dobermann pour une fille : Episode 16
Je souris à mes paroles mais mon
sourire s’effaça rapidement lorsque je pensais à Eddie. Je regardais la lune et
je dis :
-Eddie ! Tu me
manques ! J’aimerais tant que tu sois là ! Je t’aime ! Je t’aime
tellement !
Je poussais un soupir et
repris :
-Eddie ! Ce n’est pas
juste que ta mère refuse qu’on se voie à cause de mon âge. Je ne te force en
rien de plus on à que 4 ans d’écart. Ce n’est pas énorme ! Juste car j’ai
18 ans ! Je suis dégoûté ! J’aimerais que tu dormes avec moi comme le
jour où je t’ai changé en Wolfblood. C’est chiant que l’on doit à chaque fois
tout surveiller. Heure, temps, endroit…Pfff ! Suis-je la seule femme âgée
tout juste de la majorité à aimé un mineur ? (En réalité, je suis
amoureuse de toi Eddie des années 90 et tu es plus vieux que moi mais bon…)
Je soupirai à nouveau et je
remarquais que Danny me regardais.
-ça va Liv ?
-Oui ! Enfin…Je…ça y est
je l’ai fait.
-Ta couché avec Eddie ?
-Oui !
-Woua ! S’exclama Killian
en apparaissant cool ! Et c’était comment ? Enfin…Sans
indiscrétion ?
-Génial ! Mais…
-Mais que se passe t-il ?
Demanda alors Louane.
-Il se passe que contrairement
à vous, je ne peux pas me retrouver seule avec Eddie. Sinon, nous sommes obligés
de nous cacher.
-Ouais ! Effectivement
c’est plus dur pour toi. Dit alors Lunari.
-J’en ai marre ! Je
l’aime tellement !
-Et lui ! Il ta dit
quoi ? Par rapport à ce qui c’est passé entre vous ?
-Il me veut pour épouse. Il
est sûr de ses sentiments.
-Cool ! S’exclama
Killian. C’est génial ! Enfin notre Eddie est un grand maintenant. Il
pourra se défendre contre les attaques de la bande à Kader au sujet de sa situation
sexuelle.
-Peut-être mais, il ne peut
pas dire que c’est avec Liv. Dit alors Lunari. Il aurait des problèmes avec sa
mère et Liv aussi.
-C’est sur ! Sa mère
n’est pas commode ! Elle pourrait créer des soucis à Liv avec la police.
-Ouais ! Tu as raison dit
alors Louane, il ne faut pas quelle l’apprenne.
-En tout cas, c’est cool qu’Eddie
est toujours amoureux de toi. Cela prouve que le sexe ne l’effraie pas. Dit
Danny en mangeant un bout de pain.
Je les écoutais attentivement
et finit par dire :
-Oui ! Vous avez
raison ! Et si nous allions courir ? J’ai besoin de prendre l’air pas
toi Pin’s ?
-Waf !
-Ok ! Allons-y !
On se changea en loup et on
détala dehors sous la lune avec Pin’s qui nous accompagnait de près. Cela me
fit du bien mais je savais que désormais j’étais unis avec Eddie et que je
devais surtout pas le décevoir. Je poussais un hurlement vers la lune imitait
par les autres tendis que mon chien nous regardaient en tirant la langue. Nous
retrouvâmes alors Maxime et Marie qui courraient dans notre direction. Je fus
contente mais notre bande n’était pas complète et sans Eddie, je n’allais pas
bien. Je regardais en direction du village et c’est alors qu’il apparut. Folle
de joie, je couru vers lui en loup et on se fit la fête. Après ça on se fit une
bise du museau et nous frottâmes notre tête l’une contre l’autre. Je sentis qu’Eddie
était excité et amoureux alors nous, nous écartâmes du groupe. Pin’s resta non
loin d’Eddie et moi pour nous protéger en cas de danger. Lorsqu’on eut finit on
se coucha, l’un contre l’autre et nous, nous reposâmes. C’est alors que les
autres revinrent et nous partîmes courir tous sur la plage en loup. Peu après
chacun se sépara et nous partîmes nous coucher.
Tendis que nous étions en
train de rentrer le doberman de la bande des cabots grogna en nous voyant nous
séparer. Il semblait furieux de ce qu’il voyait et reprit son apparence
humaine.
-Ces Wolfblood sont décidément
une nuisance. Il faut que quelqu’un les arrête. Pour l’instant, je dois me
charger de cette fillette. Je crois que son nom c’est Isabelle. Je vais me
débarrasser d’elle et plus tard si le chef me le permet, je m’occuperais des
Wolfblood. En attendant, j’y go.
On vu des jambes d’une femme
marcher dans les feuilles et celle-ci alors dit :
-Ce Eddie semble vraiment
décider de faire un enfant à cette Liv. Je devrais la tuer avant qu’elle ne
soit enceinte de lui. Mais je devrais également tuer ce Eddie. Surtout qu’ils
sont chef de meute ! Crrr ! Bon ! Allons tuer la gamine. Sur ces
mots, la femme repris son apparence de doberman et détala droit devant elle.
Elle couru un instant et ne tarda pas à apparaître dans une rue où Isabelle se
montra. Elle rentrait du campus et semblait pressé de rentrer. C’est alors que
le doberman poussa un grognement ce qui l’immobilisa sur place. Elle tourna la
tête en direction du chien et la peur s’installa sur son visage. Elle se mit à
reculer lentement en essayant d’atteindre une maison mais le doberman bondit
alors sur elle. Des cris retentirent attirant Abigaïl Norck qui faisait des
recherches sur la disparition de la
jeune fille. Elle vit la scène et s’empara de son arme après quoi elle tira en
direction du chien. Le doberman entendant le coup de pistolet bondit derrière
un buisson et détala aussitôt. Abigaïl s’approcha de la gamine que le chien
venait d’attaquer. Elle prit alors son téléphone et composa un numéro :
-Allo ! Ici Abigaïl
Norck ! Je n’ai pas de nouveau au sujet de la jeune adolescente disparus
par contre j’ai besoin d’une ambulance. Une jeune fille vient de se faire
attaquer par un doberman et je crois qu’elle va mourir. Ces blessures sont graves.
-Très bien Madame Norck !
On vous envoie une ambulance de suite. Où vous situez-vous ?
-Je suis proche du pont des
conifères. Vite ! Dépêchez-vous !
-Ok ! Très bien ! On
vous envoi une ambulance de suite.
Abigaïl approuva d’un signe de
tête et se pencha sur la fillette qui ne bougeait plus.
-Accroche-toi ! S’il te plaît !
Accroche-toi !
La fillette resta immobile et
Abigaïl se mit à regarder au alentour. Elle fixa ensuite le buisson où le chien
avait disparus et l’ambulance ne tarda pas à arriver. Les ambulances firent les
premiers secours mais finirent par tourner la tête vers Abigaïl. Ils secouèrent
négativement la tête et prirent la fillette décédée qu’ils mirent dans
l’ambulance. Ensuite l’un d’eux s’arrêta et dit :
-Vous allez faire quoi
maintenant ?
-Je dois trouver ce chien
avant qu’il arrive quelque chose d’autre et l’abattre.
L’ambulancier secoua
positivement la tête et rentra dans l’ambulance. Abigaïl poussa un soupir et se
dirigea vers le buisson en disant :
-Le corps de Marie n’à pas été
tué par un chien. Aucune marque de morsure n’a été trouvée sur elle. Je
pencherai pour un être surnaturel où un psychopathe armé de griffes. Cette
gamine à été tué par quelqu’un où quelque chose ayant des griffes. Mais je ne
vois personne de terrien capable de faire ça.
Elle eut une moue et se mit à
marcher en prenant soin de bien regarder autour d’elle. Elle sortie son arme en
cas de danger et marcha un moment sans vraiment savoir où elle devait aller. Elle
voulu s’en retourner au bout d’un instant de marche lorsqu’elle entendit
grogner. Elle se retourna et le vit planter devant elle. Ses oreilles étaient baissées
et ses babines étaient retroussées. Un frisson la parcouru et elle se sentit
soudain très mal à l’aise.
-Du calme le chien !
Gentil chien !
Mais le doberman n’était pas
décidé à cesser de grogner au contraire. Il fonça droit sur Abigaïl qui tira un
coup de pistolet le touchant à la patte avant. Celui-ci émit un couinement et
jugea préférable de fuir. Abigaïl le pris alors en chasse et détala derrière le
chien. Elle couru un instant mais le chien avait disparus. Abigaïl se retrouva
alors seule au milieu d’une clairière tendis que le doberman courait se mettre
à l’abri derrière un buisson. Il aurait pus fuir mais il était décidé à en
terminer avec notre profileuse. Il grogna férocement et malgré sa douleur, il
détala droit sur elle où il bondit. Abigaïl perdu alors son arme sous le choc et
se retrouva sur le dos. Le chien fou de rage lui fit face en grognant
méchamment et bondit sur elle mais fut stopper en plein vol par Pin’s. Pin’s
avait sentit le danger et étais venu lui porter secours. Un combat de chiens ne
tarda pas à commencer. Coup de patte où coup de crocs cela ne fut pas une
partie de plaisir. Les deux canidés étaient bien décider à gagner.
Alors qu’ils se battaient,
Eddie se mit à me frotter sa tête contre la mienne. Je fis de même et je
pensais :
-Même en loup, tu restes trop
craquant ! Tu me rends dingue Eddie Kasbrak ! Oui ! Tu me rends
vraiment dingue ! Jamais, je n’ai ressentis d’aussi forts sentiments pour
quelqu’un !
Je lui léchai le museau et
celui-ci fit de même. On continua à nous lécher et je sentis au fond de moi
l’envie de faire l’amour resurgir. Eddie me renifla et sembla comprendre car il
s’approcha de mon train arrière. Il me grimpa dessus et je ne tardais pas à
sentir bouger à l’intérieur ce qui me fit du bien. J’aimais ça mais j’aurai
préféré que cela soit en humain ce qui sembla l’atteindre car il descendit de
mon dos. Il me lécha à son tour le museau et je remarquais qu’il n’y avait plus
Pin’s. Je me mis à fouiller les environs et je décidais de reprendre mon
apparence humaine. Je redevins alors humaine et je mis une main sur mon sexe et
l’autre sur ma poitrine. Eddie redevint lui aussi humain et mis une main sur
son sexe.
-Liv ! Ça va aller ?
-Je…Je ne sais pas…Où…Où est
passé Pin’s ?
Eddie fouilla les alentours du
regard et me dis :
-Tu veux qu’on le
cherche ?
-Oui ! Je veux bien.
Il me sourit et m’embrassa
avec la langue. Je lui rendis son bisou et celui-ci alors me dit :
-Cherchons le ! On
rejoindra la meute après.
-Ok ! De toute façon
chacun est en couple pour passer du bon temps.
Eddie sourit et finit par
dire :
-J’aimerais passer du temps
avec toi mais en humain.
-Moi aussi ! Tu voudras
qu’après avoir retrouvé Pin’s qu’on aille au QG pour…Enfin ta compris.
-Oui ! Je le veux
vraiment ! Me répondit celui-ci en souriant.
Je l’embrassais et on se
rhabilla. Une fois fait, on se mit en route sans vraiment savoir où chercher.
-Pin’s ! Appela Eddie.
-Pin’s ! Répétais-je à
mon tour.
Pin’s ne vint pas et soudain,
j’entendis au loin des aboiements furieux. Je jetais un coup d’œil à Eddie et
nous, nous dirigeâmes en direction des bruits. On ne savait pas ce qu’on aller
découvrir et quand on arriva sur les lieux on aperçut Pin’s en train de se
battre contre un doberman. Celui-ci continua à se battre et à notre vu détala
droit devant lui mettant de la distance entre Abigaïl et lui. Pin’s voulus le
suivre mais je le rappelais aussitôt.
-Pin’s ! Ici !
Celui-ci m’écouta et revint
alors proche de moi. Il haletait et je le caressais imitait par Eddie qui
dit :
-Bon chien ! Oui !
C’est bien !
Pin’s lui lécha le bout du nez
le faisant aussitôt rire. Je les regardais et me tournais face à madame Norck.
-Est-ce que ça va ?
-Oui ! Merci pour
votre interruption ! Ce chien était bien décidé à me tuer. Je serais
sûrement morte sans votre chien.
Elle nous regarda intensément
et soudain dit :
-Vous n’êtes pas humain !
Vous êtes des loups quand vous le désirez.
Je sursautais à ces paroles et
Eddie finit par bredouiller :
-Co…Comment savez-vous
que…Que…Que l’on à le pouvoir des loups ?
Abigaïl sourit et finit par
dire :
-Je vous aie suivis et un
moment, je vous ai vu changer.
-Quand…Quand ça ?
Bredouilla à nouveau Eddie devenu tout blanc.
-Tout à l’heure mais n’ayez
crainte, je ne dirais rien à personne.
-Vous devais alors savoir que
je sors avec Eddie Kasbrak. Dis-je alors aussitôt.
-Oui ! Et je comptais,
vous dire de faire attention. Tu es majeure et Eddie est mineur. Si jamais sa
mère apprend que vous avez des relations sexuelles, tu risques d’aller en
prison.
-Oui ! Je suis au
courant…Mais…Eddie et moi ce n’est pas juste comme ça…On s’aime vraiment vous
savez ?
-Oui ! Moi je le
sais ! Et ça ne me dérange pas car je vois qu’il t’aime vraiment et que tu
ne le force en rien…Mais sa mère est très dur à se sujet.
-Comment le savez-vous ?
Demanda Eddie ? Vous l’avez appris comment ?
-Je l’ai découvert en faisant
mon enquête au sujet de la jeune fille de 16 ans disparus. Je l’ai interrogé
et, elle m’a déclaré qu’elle ne voulait pas que Eddie chope pleins de microbes
et qu’il traîne avec vous du votre âge.
J’eus une moue et je finis par
dire :
-J’aime vraiment Eddie !
Je l’aime plus que ma propre vie et je ne compte pas faire des choses qu’il ne voudra
pas. S’il me dit d’arrêter, je m’arrêterai car je ne veux en aucun cas le faire
souffrir.
Madame Norck sourit et finit
par dire :
-Je vois et puis-je vous poser
une question privé ?
-Oui ! Bien sur ! Je
vous écoute ! Répondis-je aussitôt.
Abigaïl inspira profondément
avant de dire :
-Que comptez-vous faire pour
votre couple ?
-On compte se marier. Dis-je
en regardant Eddie qui approuva d’un signe de tête.
-Ok ! Je vois et c’est
tout ?
-Non ! On veut un
bébé ! Dit aussitôt Eddie.
-Un bébé ! Tu es
sur ? Tu es encore jeune Eddie.
-Oui ! Je suis sur !
J’en veux un !
-Il le faut dis-je alors
aussitôt ?
-Oui ! Il le faut !
Me répondis celui-ci ce qui comme d’habitude ce qui me fit fondre.
Je l’embrassai avec la langue
et celui-ci alors me dit :
-Je t’aime Liv ! Et j’y
tiens à ce bébé ! J’y tiens vraiment à ce qu’on l’ait !
Abigaïl sourit à Eddie et
finit par dire :
-Vous devenez des loups quand
vous le voulez ?
-Oui ! On devient des
Wolfblood des qu’on le souhaite. Répondis-je aussitôt.
-Et le chien qui me battait
était sous les ordres de qui ?
-C’est un cabot ! Il fait
partit du clan des cabots. C’est en faite un prisonnier échappé de prison qui à
eut le pouvoir du chien.
-Comment est-ce arrivé ?
Je regardais Eddie qui fit de
même car on parut étonné qu’on nous croit sans nous prendre pour des fous.
Après un long regard Eddie dit :
-C’est Pierrot qui leur à
donner le pouvoir du chien.
-Pierrot ?
Je regardais à nouveau Eddie
droit dans les yeux et je finis par dire :
-Pierrot est un démon à
l’apparence d’un enfant de 10 ans vétu des habits de Pierrot.
Abigaïl sembla pensif et je me
sentis mal à l’aise alors je dis :
-Oubliez ce qu’on à dis !
On ne veut pas être pris pour des fous.
-Je ne vous prendrez pas pour
des fous c’est promis. Vous venez d’éclaircir une réponse à mon enquête.
Oui ! Car si vraiment ce Pierrot existe cela expliquerais pas mal de chose
au sujet des cadavres découverts.
Eddie et moi nous jetâmes un
regard et Eddie lança :
-Ne le répétez pas !
-De quoi ?
-Que nous sommes des loups et
que…Que…Que nous avons des relations intimes.
-Je ne dirais rien ! Je
suis psychologue en plus d’être une profileuse. Ce qui veut dire que vos
secrets son garder tant que cela ne représente pas de danger pour quelqu’un. La
seule chose que je peux vous dire et de faire attention avec votre relation car
Eddie est encore mineur. Ce qui signifie que si sa mère apprend votre liaison,
elle peut appeler la police et vous aurez de gros soucis. Je ne dirais rien
mais vous faite attention car même si tu veux des relations avec Liv sache
qu’il ne faut pas oublier qu’elle est majeur.
-Je sais mais je l’aime !
Je veux un bébé d’elle ! Et je veux me marier avec elle !
Abigaïl eut une moue après
quoi elle dit :
-T’es encore jeune pour ça. Tu
peux attendre…
-Non ! Je n’attendrais
pas ! Je veux l’épouser et avoir un bébé !
-Heu…Quoi te dire…
-Il le faut Eddie ?
Dis-je alors.
-Oui ! Il le faut !
Je souris et je l’embrassais
avec la langue.
Abigaïl nous regarda l’un
après l’autre après quoi, elle dit :
-Je vois que tu es sur de toi.
Il faut dans se cas faire votre maximum pour que cela se fasse avec précaution.
Ne faite pas n’importe quoi où la mère d’Eddie pourrait s’en prendre à toi Liv.
On acquiesça d’un signe de
tête et c’est alors qu’on entendit marcher dans les buissons. Eddie renifla et
finit par dire :
-ça sent le cabot !
J’approuvais ses paroles et je
virai mes yeux aux jaunes. Je poussais ensuite un grognement et Abigaïl alors
dit :
-Est-ce que c’est le doberman
de tout à l’heure ?
-Oui !
Pin’s émit un grognement en
direction des buissons et je dis :
-C’est une femme ! Elle
est blessée !
-Qui ? Demanda Abigaïl
soudain perdu.
-Le doberman.
Abigaïl entendant ça
s’exclama :
-Sortez de derrière les
buissons ! Vous êtes découvert !
Un grognement retentit et le
doberman apparut. Ces yeux jaunes diabolique nous paralysa sur place tendis que
Pin’s grognait férocement. Abigaïl ramassa son pistolet qu’elle n’avait pas
encore ramassé et le dirigea face au chien. Le doberman grogna imitait par
Pin’s mais ne semblait pas décidai à fuir. Il nous regarda l’un après l’autre
et eut comme une sorte de rictus sur les babines. Il continua à nous regarder
l’un après l’autre et son regard s’arrêta sur Eddie. Je compris ce qu’il
comptait faire alors je me planta devant Eddie en disant :
-Même pas en rêve ! Le
cabot !
Il me répondit d’un grognement
et se mit à me fixer avec haine. Je m’attendais qu’il bondisse sur moi mais il
bondit sur Abigaïl. Un coup de pistolet retentit et le doberman tomba au sol
mort. Il reprit son apparence humaine et Abigaïl alors dit :
-Comment expliquer cela à la
police.
Eddie et moi s’échangeable un
regard sans s’avoir quoi répondre. Madame
Norck s’approcha du corps et le toucha du bout du pied après quoi, elle prit
son pouls. Elle nous regarda comme pour chercher de l’aide à son geste et soudain
je dis :
-Il fait nuit ! Vous
pouvez dire que vous lui avait demandé de sortir et qu’elle s’est jeté sur vous
du coup par réflexe, vous avez tirez.
Abigaïl approuva d’un signe de
tête et appela ces collègues.
-Allo police ! On
écoute ?
-Ici ! C’est
Abigaïl Norck ! Je viens de tuer la femme de la chambre 451 qui
c’était échappé de prison. Elle à essayer de me tuer, j’ai du agir en légitime
défense.
-Très bien ! Madame
Norck, je vous envoi une voiture de suite et une ambulance.
-Ok ! Je suis à la pinède
noire près de la rivière du printemps.
-Ok ! On arrive !
Abigaïl raccrocha et se tourna
face à nous.
-Vous devez partir ! Si on
vous voit la, il peut y avoir des problèmes.
On n’approuva d’un signe de
tête et Abigaïl insista :
-Dites aussi aux autres de
partirent ! Vous entendez ! Personne ne doit rester sur les
lieux !
-Ok ! Répondis-je en même
temps qu’Eddie.
On s’éloigna alors d’Abigaïl
et on décida que chacun devais rentrer chez soi sauf Eddie qui me dis :
-J’ai envie !
-Ta envie de faire
l’amour ?
-Oui !
-Il le faut ?
-Oui ! Il le faut !
Je souris et je dis :
-Ok ! Eddie ! Tu vas
venir chez moi et je te ramènerais chez toi à l’aube comme ça ta mère ne saura
pas que tu es partie.
-Ah ! Cool !
S’exclama celui-ci en se jetant à mon cou. Car j’ai vraiment envie de me
régaler.
Je souris et à ces mots et je
pensais :
-Eddie est vraiment un petit
coquin d’amour. Il est en général réservé, timide pas du tout basé sexe et
quand on se retrouve tous les deux, il devient tout excité. Et n’as qu’une
envie me faire l’amour. Quel petit Cokinou. Je l’aime vraiment trop mais
effectivement si on fait l’amour à chaque fois qu’on peut, il y à des risques
que je tombe enceinte. Avant quand j’étais avec mon ex, j’avais la pilule mais
depuis le décès de mes parents, je n’ai plus eut de contraception. Mais je n’ai
même pas pensé à la prendre car Eddie ne fait que parler de bébé. Et je ne peux
pas lui dire non ! Déjà car j’en ai pas envie mais également car il est si
chou ! Qu’on est obligé de craquer.
Je continuais à penser à Eddie
lorsque le doberman me revint en mémoire. Je me dis alors :
-Moins le doberman, il reste 8
cabots. Pierrot va être fou de rage quand il va apprendre qu’un de ces membres
est mort. Il va falloir qu’on fasse attention car nous ne sommes pas à l’abri
d’une attaque contre nous. Je m’inquiète plus pour la vie d’Eddie et des autres
que de la mienne. Si Eddie meurt, je n’aurais plus aucune raison de vivre et je
me laisserai tuer.
Alors que je pensais ça
Pierrot savais que le doberman était mort.
-C’est pas vrai ! Fichu
mortelle ! Elle à appelé le doberman et la liquidé ! Satané
profileuse de merde ! En plus de la bande des Wolfblood, il nous faut une
profileuse qui décide de chercher les meurtriers. Crrr ! Tu va le
payer ! Tu es sur ma liste de mortelle à éliminer !
Il annonça alors aux autres
que le doberman était mort et dit :
-Nous devons venger le
doberman et tuer cette Abigaïl mais déjà éliminer la bande à Kader comme prévu.
Nous devrions aussi tuer les Wolfblood mais je pense qu’il faudra agir en
meute.
-On aurait du déjà agir avec
le doberman. Elle ne serait pas morte ! Dit un homme chauve.
-Oui ! Je sais !
J’ai foiré le coup, approuva alors Pierrot.
-Ben maintenant, rattrapons
l’erreur et agissons en meute.
-Ok ! C’est décidé !
Après ces meurtres, les cabots agiront en meute.
-Pourquoi après la bande à
Kader ? Vous voulez que ça fasse pareil que pour le doberman ? Dit
une femme aux cheveux rouges.
-Non ! Mais à deux
chiens, je pense que cela devrait aller.
-Mouais…A voir ! Dit
l’homme chauve.
Pierrot eut une grimace et se
mit à penser :
-Pourquoi les Wolfblood
existe-t-il ? Sans eux cela serait beaucoup plus simple.
A suivre...
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