La bande à Kader : Episode 17
(L'image n'a rien à voir avec le chapitre)
Alors que Pierrot se plaignait
pensivement de notre existence, je rentrais à la maison avec Eddie. Celui-ci
m’embrassa et m’entraîna dans la chambre en me tenant la main. Il me poussa sur
le lit et me monta dessus. On commença à s’embrasser avec la langue et soudain
Eddie commença à se déshabiller. Alors qu’il retirait son ticheurte, il me
lança :
-Vas-y ! Enlève le
tiens !
J’obéis et je ne tardai pas à
me retrouver en soutient gorge et lui fut torse nu. Je le regardais et je dis:
-Mon dieu que t’es beau !
T’es vraiment beau ! Tu as un corps de rêve !
-C’est vrai ?
-Oui ! Eddie ! Tu es
vraiment un canon ! Peut-être que pour toi ce n’est pas vrai mais je
t’assure que tu es beau. Vraiment beau même. Tu me rends dingue.
-Oh ! Heu…Merci. Répondit
celui-ci en rougissant.
On refit l’amour et une fois
terminée Eddie reprit sa respiration ce qui me fit constater que la morsure que
je lui avais infligé l’avait guérit de son asthme car il ne parla même pas de
son inhalateur. Je le regardais amoureusement et celui-ci se pelotonna contre
moi. Qu’il était beau ! Mon dieu qu’il était beau ! Je lui fis un
bisou sur le front ce qui le fit sourire. Je lui rendis son sourire et je le
serrais fort contre moi. Il se laissa faire et je finis par dire :
-Eddie que va ton faire avec
ta mère ?
-Il faut rien lui dire.
-Oui ! D’accord mais…Mais
si elle apprend que l’on couche ensemble qu’est-ce qu’on fera ?
-On ne fera rien. On doit tout
faire pour qu’elle ne l’apprenne pas sinon t’aura des soucis.
J’approuvai ce qu’il venait de
dire et il dit :
-Je veux un bébé de toi, je le
veux vraiment.
-Oui ! Mais ta mère elle…
-On s’en fiche, on lui dira
rien.
-Elle sera obligé de
l’apprendre quand elle verra mon gros ventre.
-Oui ! Ben il faut quand
même rien dire.
-Il le faut ?
-Oui ! Il le faut !
Je souris et je l’embrassai et
celui-ci ajouta :
-Je vais te le faire ce bébé.
-Il le faut ?
-Oui ! Il le faut !
Je souris à nouveau et je
l’embrassai tendrement en continuant de le serrer contre moi. Je me mis alors à
penser :
-Mon dieu que je l’aime !
Je n’aurai jamais imaginé que je pourrais l’aimer à ce point. Il me rend
folle ! Oui Toi Eddie des années 90 sache que je donnerais ma vie pour que
cela se réalise entre nous. Je donnerai tout pour que cela se réalise entre toi
et moi. Je mourrais pour toi si je pouvais avoir une chance avec toi. Je t’aime
plus que tout ! Plus que n’importe qu’elle autre femme. Oui ! Aucune
ne pourrais t’aimais comme je t’aime.
Je regardais Eddie qui fermait
les yeux afin de se reposer et j’expirais en disant :
-Si tu m’aimes ! Autant
que je t’aime, je donnerais ma vie ! Mon cœur ! Et mon âme rien que
pour un simple baisé de toi Eddie Kasbrak ! Oui ! Toi ! Eddie
des années 90.
Eddie sourit en m’entendant
parler et dis :
-Je te donnerai tout !
Plus que ma bouche pour un amour éternel de ta pars.
-Oh ! Eddie ! Je
t’aime ! Putain que je t’aime !
Il me sourit en guise de
réponse puis m’embrassa. On continua à nous embrasser pendant un instant
lorsque Eddie me dis :
-J’ai encore envie.
-D’accord Eddie, j’ai compris.
Il sourit et je finis alors
par dire :
-Ok ! Moi aussi, je veux
le faire ! Je t’aime ! Des que je t’ai vu, j’ai craqué sur toi !
Oui ! Eddie des années 90
Eddie sourit et dis :
-J’ai envie de me
régaler !
-Tu y as vraiment pris goût du
coup !
-Oui ! J’adore ça !
On refit alors l’amour et Eddie
se coucha sur moi lorsque le sommeil, nous gagna alors nous sombrâmes dans les
bras de morphée.
Alors que nous dormions un
garçon jouait dans son jardin avec son ballon. Il envoya son ballon derrière
une haie touffu. Il s’approcha en se baissant afin de le récupérer lorsque
soudain des pleurs d’enfants se firent entendre. Il se redressa aussitôt et se
mit sur la pointe des pieds dans l’espoir de voir le coupable des pleurs.
Comme, il ne parvenait pas à voir qui pleurait, il se fraya un passage dans la
haie. Une fois de l’autre côté, il aperçut Pierrot assis sur une pierre.
-Qu’est-ce qu’il y a ?
Pourquoi, tu pleures ?
-Je ne retrouve pas mes
parents…Je ne sais pas où ils sont.
Le petit garçon tourna la tête
vers l’arrière mais comme il ne vit personne, il refit face à Pierrot. Celui-ci
c’était levait de la pierre et regardait l’enfant d’une façon étrange. Il se
mit à le fixer un instant et finit par dire :
-Tu ne veux pas m’aider à les
retrouver ?
-Non ! Je ne peux pas. Je
dois rester près de ma maison.
-Allez s’il te plaît, on n’ira
pas loin.
Le garçon sembla hésiter et
finit par accepter. Pierrot mena la marche suivit de près par le petit garçon qui
le suivait d’un pas hésitant. Il continua à suivre Pierrot pendant un moment
lorsque celui-ci s’arrêta. Le garçon s’arrêta et regarda Pierrot avec
étonnement. Il le regarda un instant et comme celui-ci ne bougeait pas, il
demanda :
-ça va ? Pourquoi, tu ne
bouges plus.
Pierrot ne répondit pas et le
garçonnet alors s’approcha. Il se mit devant lui et se paralysa sur place. Les
yeux de Pierrot étaient jaunes et sa bouche armés de crocs. Ses mains étaient
griffues et sa bouche dessinait un rictus diabolique. Le petit garçon recula et
Pierrot tendis une main vers lui. Le garçonnet fit demi-tour et se mit à courir
en direction de sa maison. Pierrot eut un sourire sur les lèvres et se
téléporta devant lui. Le petit garçon stoppa sa course et Pierrot alors bondit
sur lui. Il lui arracha la jugulaire d’une main et l’éventra de l’autre.
Ensuite, il se mit à le dévorer lentement.
Alors que Pierrot dévorait
l’enfant le Pitt bull et l’American staff marchaient tous les deux dans la rue.
Ils reniflaient le sol avec intensité et soudain s’arrêtèrent vers une maison. Ils
se jetèrent un coup d’œil et l’American staff redevint l’homme chauve et le
Pitt bull redevint la femme aux cheveux rouges.
-Qu’allons nous faire ?
Demanda la femme aux cheveux rouges.
-On va attendre le levé du
jour et on passera à l’attaque pour tuer la bande à Kader.
-Ok ! Mais j’ai envie de
tuer ! La ! Maintenant ! Je ne vais pas tenir !
-Ok ! Ben passons alors à
l’action.
-Commençons par Antoine.
L’homme chauve approuva et les
deux criminels reprirent leur apparence canine. Une fois changé en chien, ils
se dirigèrent vers le magasin d’habits des parents d’Antoine. Ils brisèrent la
vitre et cela se mit à sonner. Les parents se relevèrent d’un coup dans leur
lit et s’échangèrent un regard.
-Quelqu’un est rentré !
Vite appel la police, je vais voir de qui il s’agit. Dit alors le père. La mère
approuva d’un signe de tête et se jeta sur le téléphone à côté de son lit. Le
père regarda sa femme téléphoner et s’empara d’une batte de base ball afin de
se défendre en cas de danger. Il se mit ensuite à marcher dans le couloir
lorsque son fils apparut :
-Qu’est-ce qui se passe ?
J’ai entendu un bruit.
-Chut ! Antoine ! Ne
fais pas de bruits !
Son fils se tue et rejoignit
son père qui aperçut les chiens au même moment.
-Vite ! Derrière
moi !
Le père recula ainsi que son
fils mes les deux chiens grognaient férocement et ne semblaient en aucun cas
vouloir reculer. Ils bondirent en avant et le père frappa l’American staff avec
la batte. Le chien poussa un couinement et tomba au sol. Le Pitt bull quand à
lui bondit à son tour et referma ces mâchoires sur la batte que le père avait à
nouveau relevait.
-Vas-tu lâcher ça ! Sal
clébard ! Grogna alors le père.
Tendis qu’il essayait de faire
lâcher prise au chien l’American staff en profita pour bondir sur Antoine.
Antoine tenta de le faire lâcher prise mais le chien le tenait fermement au
bras. Des cris de douleurs ne tardèrent pas à retentirent tendis que le père
cherchait toujours à faire lâcher prise à l’American staff. Il y parvint après
un moment mais le chien lui bondit à la gorge et se mit à le déchiquetais
vivant tout comme Antoine attaqué par le Pitt bull. La mère voyant la scène
ferma la porte pour éloigner les deux chiens d’elle mais ceux-ci laissèrent les
cadavres des deux hommes pour défoncer la porte qu’elle avait fermée. Ils
détalèrent ensuite en plein sur elle et la dévorèrent vivante. Des cis
résonnèrent dans la nuit.
Une fois les trois victimes
mortes les deux chiens partirent vers leur future victime qui est Alexis. Celui-ci
se trouvait dans un bar en train de jouer au billard pendant que son père se
bourrait la gueule. Son père alors raconter n’importe quoi au barman.
-J’te jure Hic ! J’ai vu un
avion qui volait à l’envers Hic ! Il avait la fumé au cul Hic !
Il faisait des lumières avec ces yeux hic !
-Oui monsieur demorte. Si vous
voulez, lui dis alors le barman mal à l’aise.
-Mais j’vous jure Hic !
Il faut me croire hic ! Il était bourré l’avion !
-La pour l’instant c’est vous
qui êtes bourré.
-Ouais mais je sais ce que je
raconte Hic !
Alexis regarda son père d’un
air désespérais et son père se dirigea vers la porte.
-Je reviens ! Hic !
Je vais prendre l’air hic !
Alexis soupira et fixa son
père qui sortie. Celui-ci se mit à tituber dans les ruelles sombres et à parler
au vide.
-J’vais pisser ça va me faire
le vidage ! Hic !
Il fit quelques pas et se mit
à pisser en continuant de parler tout seul :
-Oh ! ça fait du
bien ! Hic ! La vidange ! Hic ! Non de dieu ! Hic !
J’adore me vider le tuyau. Hic ! Oh ! Putain ! J’ai mal aux couilles !
Quoi ! Hic !
Il finit de pisser et se
rhabilla après quoi il continua de parler tout seul :
-Et toi ! Là-bas ! Hic !
Tu ne veux pas venir me la tenir ! Hic ! J’ai besoin de m’essuyé le
tampon ! Hic ! Au putain de dieu ! Hic !
La personne à qui il parlait
était un lampadaire.
-Et ben qu’est-ce que tu
fou ! Hic ! Tu restes planter ! Hic ! Pourquoi t’es allumé
d’ailleurs ! Hic ! Ta les cheveux qui crame faut boire un coup mon
dieu ! Hic !
Il poussa un grognement et
continua :
-Ouais ! Tu peux faire la
flamme olympique Hic ! Avec tes cheveux en flammes ! Hic !
Un couple de vieux passa et
secoua la tête d’un air de se dire que l’homme n’était pas net. L’homme qui les
vit alors dit :
-Eh ! Vous autres !
Hic ! Vous n’avez pas envie de venir danser avec moi sous les
étoiles ! Hic ! Il fait nuit vous savez ! Hic ! Il fait
noir avec un ciel qui à des points blanc hic !
Le couple s’éloigna et le père
d’Alexis alors dit :
-Oh ! Putain !
Hic ! J’ai envie de vomir ! Con ! Hic !
Il se mit à vomir et soudain
un grognement retentit :
-C’est quoi s’bruit ?
Hic !
L’American staff apparut
devant lui et l’homme alors dit :
-Eh ! Monsieur !
Hic ! Pourquoi vous grognez comme un cochon. Hic ! On dirait que vous
avez mal digérez ! Hic !
L’American staff répondit d’un
grognement imitait par le Pitt bull. L’homme se tourna et aperçut alors le Pitt
bull.
-Et ben quoi ? Hic !
Vous aussi vous avez un problème de digestion. Hic ! On dirait que vous
avez chopé tous les deux un problème de digestion. Hic !
Le Pitt bull lui répondit d’un
grognement et l’American staff lui bondit dessus bientôt imitait par le Pitt
bull. L’homme se mit à hurler de douleur mais personnes ne fut attirer par ces
cris. Il continua de hurler tendis qu’il se faisait dévorer vivant.
Alors qu’il se faisait dévorer
Alexis commença à s’inquiéter de son absence.
-Bon ! Il fou quoi !
La ! Pfff A chaque fois c’est la même chose. Il bois et va cuver n’
importe où.
Il posa le bâton du billard et
décida de partir à sa recherche. Il sortit du bar et se dirigea vers la première
rue sombre. Il jeta un rapide coup d’œil mais ne vit rien.
-Où est-il ? Il est
chiant ! Tous les soirs, il fait ça ! Après, je perds des heures à le
chercher au lieu d’être au lit.
Alexis poussa un soupir après
quoi, il dit :
-Oui ! Car si je ne le
retrouve pas ce sont les flics qui le retrouve et après je passe pour un fils
d’ivrogne. J’en ai marre !
Il se mit à arpenter les rues
sans résultat lorsque soudain, il aperçut une masse sombre sur le sol. Il se
dirigea vers la masse sombre et reconnu aussitôt son père baignant dans une
marre de sang.
-Papa !
Il se précipita vers le corps
et constata qu’il été mort.
-Papa ! Merde ! Mais
qui ta fait ça !
A peine eut-il finit sa phrase
qu’il entendit marcher dans la rue sombre. Il s’attendit à voir apparaître un
homme ou une femme mais au lieu de ça, il se retrouva face à face avec le Pitt
bull. Il se redressa lentement et se mit à reculer lorsqu’un grognement
retentit derrière lui. Il se tourna et vu alors l’American staff. Un frisson le
parcouru et il détala dans la rue centrale tendit que les deux chiens le
prirent en chasse. Il eut au début un bon espace entre les deux chiens mais
soudain le Pitt bull le rattrapa et bondit sur lui. Il poussa un hurlement et
l’American staff rejoignit l’autre chien où il bondit. Des hurlements de
douleur résonnèrent dans la rue silencieuse pendant un instant et tout redevint
calme. Personne ne se pointa et les deux chiens partirent vers leur troisième
proie…Quentin. L’American staff s’approcha d’une fenêtre et aperçut une enfant
qui dormait. Il poussa un petit jappement ce qui réveilla la fillette.
-Oh ! Un chien dit la
fillette en s’approchant de la fenêtre.
Le chien se mit à battre de la
queue alors la fillette ouvrit la fenêtre. A peine eut-elle fait ça que le
chien bondit sur elle. La fillette se mit alors à crier de douleur ce qui
attira la mère. La mère tenta de faire lâcher prise mais le Pitt bull bondit
dans la pièce. La mère apeuré, détala poursuivit par le chien. Alors que le
Pitt bull poursuivait la mère l’American staff laissa le corps de la fillette
pour partir à la recherche de Quentin. Il l’aperçut en train de détaler à sa
chambre qu’il ferma aussitôt au nez du chien. Le chien s’acharna contre la
porte et soudain saisit la poignée avec la gueule. Romain à l’intérieur apeuré
s’empara d’un bâton de golf. Il le serra fortement lorsque soudain la porte
s’ouvrit laissant apparaître le chien fou. Romain lui envoya un coup de bâton
ce qui le fit reculer sous le coup. Il secoua la tête et bondit à nouveau en
avant. Le jeune garçon recommença et cette fois le chien saisit l’arme dans sa
gueule. Il tenta de lui faire lâcher mais rien à faire le chien tenait bon.
Quentin lâcha l’arme et le chien bondit sur lui le faisant hurler de douleur
sous les morsures. La mère quand à elle saisit un hachoir et frappa l’American
staff qui poussa un hurlement de douleur. Il recula et voyant la femme relever
le hachoir le chien s’en alla. Il rebondit par la fenêtre par laquelle, il
était rentré suivit par le Pitt bull. La femme les regarda fuir et se baissa
vers sa fille qui était morte. Elle partit ensuite vers son fils qui agonisait.
-Quentin ! Dis-moi
quelque chose ?
-Maman, tu…Tu as réussis à les
faire partir ?
-Oui ! Mon chéri !
-Super ! Au moins, ils ne
t’attaqueront pas…
-Oui ! J’en ai blessé un
mais tiens bon, je vais prévenir l’ambulance.
-Ok…Espérons que…
-Que quoi ?
Le silence lui répondit alors
elle appela :
-Quentin ?
Mais personne ne lui répondit.
-Quentin ! Non !
Elle s’effondra en larmes en
tenant dans ces bras son fils mort.
Dehors l’American staff se mit
à titubé et s’écroula au sol à cause de la blessure en plein flanc. Le Pitt
bull le regarda s’effondrer et celui-ci redevint humain, il était mort. Le Pitt
bull redevint également humain est dit :
-Il reste Alexandre. Le chef
de la bande à Kader. Bon ! Ben…Je crois que c’est à moi de m’en occuper…
Sur ces mots, elle reprit son
apparence canine et détala en direction de la maison d’Alexandre. Elle redevint
humaine et se positionna devant la fenêtre du garçon. Elle ramassa un caillou
et le lança sur la fenêtre d’Alexandre. Rien ne se produisit celui-ci dormait à
point fermés. Elle recommença son geste et cette fois Alexandre bougea dans son
lit. Comme, il ne semblait ne pas vouloir se réveiller la femme jeta à nouveau
un caillou contre sa fenêtre. Cette fois ci Alexandre ouvrit les yeux et jeta
un regard circulaire dans la chambre. Comme il ne vit rien, il rebaissa la tête
sur son oreiller lorsqu’un caillou vint de nouveau frapper la fenêtre. Cette
fois-ci, il se redressa et regarda par la fenêtre. Il vit alors une femme nue
aux cheveux rouge qui regardait dans sa direction. Il se frotta les yeux et
regarda la femme nue qui lui faisait signe de venir.
-Woua ! Mon cochon !
Putain quelle est canon ! Elle veut peut-être s’amuser un peu.
Il se leva et sortit de son
lit et regarda la femme qui continuait à lui faire signe de venir.
-Ouah ! Imaginez si je me
taper ce canon ! Je serais un grand ! Ouais ! Car on dirait
quelle en veut ! La cochonne.
Il regarda à l’endroit de son
sexe et dit :
-Ah ! Ben voila que j’ai
le barreau maintenant ! Merde !
Il se mit à marcher sur place
tentant de se calmer mais il continua à bander.
-Me v’la bien ! Si je
vais la voir comme ça elle risque de mal le prendre. Quoi que…Elle semble
vouloir la même chose.
Il eut une grimace et se
décida à sortir. Il passa devant la chambre de ses parents et se mit à marcher
d’un pas de loup afin que personne ne puisse l’entendre et arriva à la porte
d’entrée. Il l’ouvrit et regarda la femme nue situé prêt d’une haie. Elle lui
fit signe de venir de la main et Alexandre était tout excité.
-Toi ! Ma jolie ! Je
vais te faire jouir !
Il se voyait déjà avec elle et
se mit donc à la suivre. Elle disparut derrière la haie et celui-ci alors
dit :
-Attendez-moi ! Ma
belle ! Si tu veux du sexe ! Je vais t’en donner ! Et tant pis
pour mon âge, je ne dirais rien.
Il continua à la suivre tendis
qu’elle s’éloignait vers le parc. Il était tout excité mais ignorait vraiment
ce qui l’attendait. Il poursuivit sa marche et celle-ci disparus derrière un
arbre. Il accéléra le pas mais la femme avait bien disparus alors il
l’appela :
-Ma jolie ! T’es
ou ? Si tu veux du sexe, je t’en donne ! Ce n’est pas grave pour
l’age. On dira rien alors t’es où ma poupée ?
Il se mit à fouiller les
environs du regard mais la femme avait disparus. Il continua à la chercher
lorsque soudain, il se décida à rentrer. C’est alors qu’un grognement retentit
ce qui le paralysa sur place. Il tourna la tête dans la direction du grognement
et aperçut un Pitt bull. Inquiet, il recula tendis que le chien s’approchait de
lui d’un pas décidé. Il voulut alors faire demi-tour pour courir mais le chien
bondit au même moment le faisant tomber sur le dos. Il tenta de le repousser
avec le bras mais le chien lui saisit le bras gauche. Maintenue au sol par le
chien Alexandre se mit à fouiller les alentours dans l’espoir de trouver une
arme. Il eut soudain le réflexe de toucher sa poche de pyjama et toucha quelque
chose. Il glissa sa main dedans et en sortit un couteau qu’il s’empressa de
planter dans le corps du chien. Celui-ci émit un couinement sous le coup mais
ne lâcha pas prise pour autant. Alexandre continua à lui asséner des coups de
couteau tendis que le chien le dévoré vivant. C’est alors que sa mère arriva et
s’écria :
-Alexandre !
Elle tira son fils de dessous
le chien mais vit qu’il avait été dévoré au ventre. Le chien quand à lui était
allongé sous le côté et respirait difficilement. On voyait son ventre se
soulever puis se baisser…Se soulever…Se baisser…Se soulever…Se baisser…Et puis
plus rien…Le chien était mort. Il reprit son apparence humaine devant les
quelques gens arrivé sur place qui regardèrent la scène d’un air ahuri. La mère
fixa la femme où il y avait un chien peu avant et dit :
-Alexandre ! Tu
m’entends ?
-Oui ! Je…Je…Je suis…
Et sans un mot de plus, il
mourut dans les bras de sa mère qui éclata en sanglot.
A suivre...
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