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 © Lilas Giorgi

mardi 4 août 2020

Chapitre 18 Quand les chiens se déchaînent


Quand les chiens se déchaînent : Episode 18



Pierrot venait d’apprendre que deux membres du clan des cabots était mort et poussa un cri de rage.
-Putain de mortels ! Je vais tous vous tuer ! Crrrr !

Il émit un grognement en serrant les poings et jeta un regard à la bande des cabots. Il leur jeta un vif regard et ses yeux s’arrêtèrent sur le labrador. Un sourire apparut sur ses lèvres et il dit :
-Toi ! Tu es le chef du clan des cabots ! Je veux donc que les 5 autres cabots et toi allaient en ville et que vous tuer toutes personnes sur votre passage est-ce compris ?
-Waf ! Répondit le labrador qui semblait dire oui car Pierrot sourit.

A peine eut-il jappé, qu’il détala droit devant lui suivit par les 5 autres chiens tous autant décidé à tuer.

Alors que les chiens étaient en route pour tuer, l’aube commençait à faire son apparition. Je me réveillais et je jetais un regard au dehors. Je vue qu’il commençait à faire jour alors je réveillais Eddie.
-Eddie ! Réveille-toi ! Il va être l’heure pour que je te raccompagne chez toi.
-Je veux faire l’amour ! Est-ce qu’on peut faire l’amour ?

Je tournais la tête vers le réveil et je finis par dire :
-Oui ! Eddie ! Ta de la chance, on à du temps.
-Ah ! Cool ! S’exclama celui-ci tout content.

Je souris et je dis :
-Tu veux te régaler ?
-Oui ! Je le veux ! Je le veux trop !
-Ok ! Alors c’est partie !

Sur ces mots, je l’embrassais et on refit l’amour. Une fois finis, je lui dis :
-Qu’est-ce que t’es beau ! Mais qu’est-ce que t’es beau ! Je t’aime Eddie Kasbrak ! Mon chouchou ! Je t’aime tellement putain, je t’aime !
-Moi aussi, je t’aime !

On se mit à s’embrasser et celui-ci me dis :
-Je t’aime vraiment ! Je n’ai jamais cru pouvoir un jour aimer à ce point.
-Moi c’est pareil ! Je t’aime tellement ! Est-ce que ça va ?
-Oui ! Pourquoi ?
-Et bien…Je sais que tu as plus besoin de ton inhalateur mais je ne sais pas si cela te fatigue ou pas.
-Non ! Je suis juste fatigué normalement par ce qu’on à fait. Je ne suis pas fatigué comme avant enfin…Pas pire que ça.
-Ah ouf ! J’ai eu peur ! Répondis-je en le serrant contre moi. Je ne supporterais pas qu’un jour, tu meurs à cause du sexe. Je suis dingue de toi tellement dingue que s’il y arrivait quelque chose, je serais prête à mourir aussi car je ne veux pas te perdre.

Eddie se mit à me sourire et sembla vraiment étonné des paroles que je venais de dire car il me serra à son tour fort contre lui. Nous, nous étreignirent pendant un moment et je lui dis que je devais le raccompagner chez lui avant que sa mère ne vienne dans sa chambre. Il eut une moue et dis :
-Je ne veux pas rentrer ! Je veux rester avec toi !

J’eus une moue à mon tour et je finis par dire :
-Je sais Eddie ! Moi aussi, j’aimerais que tu restes avec moi mais je doute que ta mère serait ravie.

Il baissa la tête et finit par dire :
-Bon ! Ok ! Allons-y !

Je sortie du lit et me changea en loup imitait par Eddie après quoi nous sautâmes par la fenêtre. Je le raccompagnai chez lui et celui-ci rentra dans son lit au moment même où sa mère ouvrit la porte.
-Debout ! Eddie ! Il est l’heure !
-Mum ! Répondis celui-ci pour faire semblant de dormir.

Il s’étira en baillant et sa mère alors dit :
-Dépêche-toi de te lever mon chéri, je vais préparer des crêpes.

Eddie l’écouta et bailla tendis qu’elle fermait la porte. Il sortit du lit et s’habilla tendis que je le regardais.
-Qu’il est beau ! Mon dieu qu’il à un corps de rêve !

Je souris et soudain, je me sentis mal.
-Oula ! J’ai des nausées moi ! Berk ! J’ai du manger un truc qui est mal passé !

Je me rechangeai en loup et je couru en direction de la maison. A peine arrivé, je vomi avant de rentrer.
-Berk !

Je me dépêchais de rentrer et je tombais nez à nez face à Louane.
-ça va ? Me demanda celle-ci.
-Non ! Je ne me sens pas très bien. J’ai vomi dehors…
-Aïe ! Tu as sûrement mangé un truc mauvais.
-C’est ce que je me demande. Je me sens mal…

Je m’assis aussitôt après avoir prononcé cette phrase et je revomi.
-Tu as peut-être attrapé une gastro. Me dis alors Danny en apparaissant.
-Oui ! Peut-être…

Je prie la serpillère que Louane était allait chercher et je nettoyais ce que je venais de faire. Alors que je nettoyais, je vis Louane qui me reniflait.
-Quoi ? Qu’est-ce qu’il y à ?
-Tu n’es pas malade…Tu es enceinte.

Un silence retentit dans la pièce et je finis par dire :
-Enceinte ! D’Eddie ?
-Et oui ! Ma grande !
-C’est génial ! C’est trop génial ! M’exclamais-je aussitôt. Je suis trop contente. Je vais avoir un petit Eddie ou une petite Liv.

Danny et Louane sourirent et ils se préparèrent pour le campus. Je les regardai se préparer et je finis par m’habiller en disant :
-Je vais quand même faire un test de grossesse.
-Ok ! Tu nous diras dis alors Louane.

Je souris et je les accompagnai à l’école. Maxime nous rejoignis et soudain se mit à me renifler.
-T’es enceinte ?
-T’es sur ?
-Oui ! T’es enceinte de lui.
-D’Eddie ?
-Ben ! Non ! De Merlinpinpin ! Me lança Maxime. Bien sur d’Eddie ! Pfff !
-Oh ! C’est bon toi ! Rallais-je.
-Ben quoi tu poses une question débile. Alors, je te réponds une idiotie.

Je poussais un soupir et c’est alors qu’il arriva avec sa mère. Il couru aussitôt dans mes bras et je souris en le recevant contre moi. C’est alors que sa mère arriva et tira Eddie vers elle.
-Ne vous approchez plus de mon fils où je porte plainte contre vous.
-Plainte ! Pourquoi ?
-Pour pédophilie ! Oui ! Vous avez bien entendu pour pédophilie car vous n’avez pas le droit d’agir comme vous faite avec mon fils.
-Que voulez-vous dire ?
-Vous prenez mon fils dans vos bras et ceci n’est pas acceptable. Je veux qu’à partir d’aujourd’hui vous cessez de voir mon fils où je préviens la police.
-Non ! Hurla Eddie en se libérant de la prise de sa mère et en ce collant contre moi. Je te défends de faire ça où je pars de la maison.
-Eddie voyons, tu n’es pas raisonnable !
-Je m’en fiche d’être raisonnable ou pas ! Je l’aime et c’est comme ça ! Je t’interdis de nous séparer !
-Eddie ! Ecoute ! Tu es jeune ! Tu as le temps d’aimer et d’être aimé. Tu es jeune et…
-Je m’en fiche ! C’est elle que je veux ! Je l’aime ! Je veux me marier avec elle !
-Eddie ! Écoute-moi ! Cette fille est trop vieille pour toi ! Tu peux trouver une autre fille…
-Je m’en fiche d’une autre fille ! C’est elle que je veux !

Sa mère poussa un soupir et finit par dire :
-C’est pas toi qui décide ! A partir d’aujourd’hui, je ne veux plus que tu la fréquentes sinon, elle aura des comptes à régler avec la police.

J’eus une grimace et je décidais alors de dire le secret :
-Je suis enceinte !

Un silence s’installa et la mère d’Eddie alors me dit :
-Vous êtes enceinte ? Enceinte de qui d’Eddie ?
-Non ! Du président lança Maxime en éclatant de rire.

Elle regarda Maxime et son regard se porta sur Eddie et moi. Je jetais un coup d’œil à Eddie qui avait les yeux écarquillais et je dis :
-Oui ! Je suis enceinte d’Eddie ! Et sachez que je ne me ferais pas avorter.

Eddie ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais rien ne sortie et sa mère alors dit :
-C’est pas vrai ! Cela veut dire que vous avez couché ensemble ?
-Non ! En faite, ils ont couché à distance et les spermatozoïdes ont pris un avion pour atteindre leur but. Continua Maxime.

La mère d’Eddie regarda Maxime en train de se tordre de rire et nous fit face :
-Eddie ! Tu as fait l’amour avec cette fille ?
-Non ! Il la fait avec la fille de madame soleil ! Lança Maxime tordu de rire.

La mère d’Eddie ignora les paroles de Maxime et insista :
-Alors ! Répond ! Ta eut des relations sexuelles avec cette fille.
-Oui ! Maman !
-Oh ! Mon dieu ! Mon dieu ! Mon dieu !
-Je crois que dieu à compris lança Maxime.

La mère d’Eddie lui jeta un œil noir et dit :
-Eddie ! Tu sais qu’elle à 18 ans ? Elle est majeure ! Tu n’en as que 14 !
-Je sais maman ! Mais je l’aime ! Je l’aime comme jamais, j’ai aimais une fille ! Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose ma poussée à tenter ma chance avec elle et je ne le regrette pas.

Sa mère le regarda un instant sans savoir quoi dire et finit par dire :
-Eddie ! Elle à 18 ans, elle peut jouer avec tes sentiments et te manipuler.
-Non ! Maman ! Elle m’aime ! Elle veut se marier avec moi et avoir un bébé ! Elle n’est pas comme les autres majeurs.

La mère d’Eddie sembla soudain mal et je dis :
-Je sais que je peux vous semblait être une pédophile mais, ce n’est pas le cas. Je n’ai jamais aimé de personne plus jeune que moi (en faite plus vieux vu qu’Eddie des années 90 à 41 ans).

La mère d’Eddie sembla perdue et finit par dire :
-Je veux être sur que vous soyez enceinte. Vous allez faire un test pour me prouver vos paroles et ensuite, je vous donnerais mes conditions au sujet de votre fréquentation avec mon fils. C’est clair ?
-Oui ! Madame ! Répondis-je mal à l’aise.
-Très bien ! J’attends ! Votre test !

Sur ces mots, elle fit demi tour et s’éloigna de moi d’un pas sur. Je la regardais s’éloigner et je baissais la tête sur Pin’s qui me lécha la main. Eddie se jeta au cou de Pin’s et me dis :
-T’es enceinte ? T’es vraiment enceinte ?
-Oui ! Si notre flair de loup ne me trompe pas, je suis vraiment enceinte.

Eddie se jeta sur moi et m’embrassa en disant :
-C’est génial ! Je suis trop content ! J’espère que tu l’aie vraiment ! Je veux que tu le sois ! Je le veux ! Vraiment !
-Tu veux vraiment que j’ai un bébé ?
-Non ! Pas un bébé ! Des bébés !
-Des ?
-Oui ! Je veux t’en faire plein !

Je souris et l’embrassais avec tendresse devant les autres enfants et professeur qui semblait dégouté. J’étais à la fois mal à l’aise par rapport aux autres et heureuse qu’Eddie soit si heureux que je sois enceinte. Les cours commencèrent et je partie alors en ville chercher un test de grossesse. Je fis le test et celui-ci se releva bien positif. Je restais paralysé par ce test en réfléchissant à ce que pouvez être notre avenir.

Tendis que je réfléchissais à l’avenir une fille brune roulait en vélo, elle roulait depuis un moment lorsque Pierrot apparus devant elle. Il était assis sur un banc et semblait pleurer. La fillette ralentit et osa demander :
-ça va ?
-J’ai perdu mes parents…
-Heu…Je…Où les as-tu perdu ?
-Là ! Ils étaient devant moi…
-Mum…
-Peux-tu m’aider à les retrouver ?
-Non ! Je n’ai pas le doit de m’éloigner.
-S’il te plaît…On n’ira pas loin.

La fillette sembla hésiter alors Pierrot dit :
-Dans ce cas, tu vas me donner ton âme.

Sur ces mots, il vira ces yeux au jaune et sa bouche laissa briller de longs crocs pointus. La fillette apeuré fit demi-tour et détala avec son vélo loin devant elle. Pierrot apparus alors sur le côté et tendis un de ces bras ce qui la fit tomber. Elle s’étala sur le sol et Pierrot bondit alors sur elle.

Pendant que Pierrot dévorait la fillette les 6 cabots courraient à travers la ville à la recherche d’une proie. Aurore sortait son chien un fox terrier et marchait d’un pas sur. Tendis qu’elle marchait d’un pas sur elle entendit des bruits dans les buissons derrière elle ce qui fit aboyer son chien. Elle jeta un coup d’œil au buisson mais ne vit rien cependant, elle savait qu’il y avait quelque chose dedans. Elle frissonna et dis :
-Viens ! Filou ! Rentrons !

Elle continua de fixer derrière, elle mais un bruit devant elle la força à se retourner. Elle se retrouva nez à nez au labrador. Celui-ci se mit à grogner férocement et les cinq autres cabots apparurent. Elle comprit qu’elle était en danger et tenta de se frayer un chemin mais les chiens lui bondirent dessus. Le fox terrier quand à lui détala aussitôt poursuivit par un des cabots un Beauceron. Des cris résonnèrent dans la ville ce qui fit sortir des gens. Quand les gens sortirent sous les cris, les chiens détalèrent aussitôt. Ils arrivèrent vers le corps d’Aurore qui gisait dans son propre sang.
Les chiens continuèrent de courir à la recherche d’une nouvelle proie et ne tardèrent pas à repérer monsieur et madame Niwoco. Le labrador s’arrêta aussitôt à leur vue et poussa un grognement ce qui les paralysa sur place. Ils se mirent à reculer tendis que le labrador se mit à avancer d’un pas sur en direction du couple. Ces yeux jaunes luisaient sous la lune d’une façon inquiétante ce qui leur donna des frissons. Tendis qu’ils reculaient les autres chiens apparurent. Le labrador jeta un coup d’œil aux autres chiens et après un regard, il bondit sur la femme tendis que les autres chiens bondirent sur l’homme. Des hurlements s’élevèrent dans le ciel si bien que le chasseur déjà connu sortie armé de son fusil et tira. Il visa le beauceron qui poussa un hurlement de douleur et tomba au sol. Les autres chiens détalèrent aussitôt dans une rue laissant leur ami mort qui reprit son apparence humaine.
-Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? S’exclama alors le chasseur.

Il s’approcha du corps de la victime et dis :
-Je deviens fou où quoi ? C’était un chien il y à quelques minutes encore.

Des gens vinrent le rejoindre lorsque des cris résonnèrent au loin. Le chasseur alors dit :
-Appelez les secours, je vais me charger des chiens.

Et avant qu’ils ne purent dire un mot, le chasseur détala en direction des hurlements qui résonnaient dans la ville. Il trouva alors le corps d’une femme à l’agoni la gorge ouverte et celui-ci alors s’agenouilla près de la femme.
-Vite ! Prévenez les secours ! Cette femme est en train de mourir !

Les gens qui étaient arrivé sur place s’emparèrent de leur téléphone et appelèrent les secours. Le chasseur se releva et se mit à suivre les traces de pattes de chiens pleine de sang. Elles le conduisirent jusqu’au parc où des hurlements ne tardèrent pas à se faire entendre. Le chasseur pénétra dans le parc bientôt rejoins par des policiers. Il fit quelques pas lorsqu’un policier alors dis :
-Monsieur vous pouvez disposer, nous allons nous en occuper.
-Ok ! D’accord ! Répondit le chasseur en baissant son arme.
-Très bien ! Merci quand même pour votre aide.

Le chasseur répondit d’un vif sourire et fit alors demi-tour. Il s’éloigna du parc et semblait soudain méfiant. On aurait dit qu’il redoutait d’être attaqué car il ne cesser de se retourner en direction des buissons. Il aperçut le pelage du labrador dans un buisson et dirigea son arme dans sa direction. Au même moment le labrador sortit en grognant férocement. L’homme tira met le manqua de peu ce qui le fit fuir en direction de la forêt imitait par les quatre autres chiens. Le chasseur les suivit du regard et décida de les suivre. Il se mit donc en route d’un pas décidé sans savoir ce qu’il pouvait lui arriver.

De mon côté, je partie chez la mère d’Eddie et lui tendis le test de grossesse. Celle-ci le regarda et un silence s’installa tendis qu’elle faisait les 100 pas avec un air de réfléchir. Elle finit par s’arrêter et me fit face.
-Vous êtes bien enceinte ! Hum ! Qui me dis que ce n’est pas d’un autre garçon ?
-Car je n’ai couché qu’avec Eddie.
-Cela peut-être une excuse pour obtenir quelque chose de ma pars.
-Voyons ! Soyez réaliste ! Que pourrais-je obtenir de votre pars ?
-Je ne sais pas moi…C’est vous qui êtes enceinte !
-Je ne veux rien obtenir sauf une chose…
-Quoi ! De l’argent ?
-Non ! L’amour de votre fils !

Elle eut une moue et se mit à refaire les 100 pas après quoi, elle me fit de nouveau face.
-L’amour de mon fils ? Et je suppose que vous, voulez l’épouser ?
-Oui !
-Vous avez donc réellement bien couché ensemble ?
-Oui ! Et pas qu’une fois.
-Epargnez moi ce chapitre sur le nombre de fois que vous avez eut des relations sexuelles avec mon fils ! Je ne veux rien savoir sur ces passages qui me répugnent !

Je me sentis mal à l’aise et je finis par dire :
-Que décidez-vous du coup ?
-Ce que je décide ? Vous voulez vraiment savoir ?
-Heu…Oui !
-Je refuse votre amour et votre mariage ! Vous allez donc faire un truc pour moi sinon, je préviens la police.

J’eu une grimace et je demandais :
-Heu…Oui ! Quoi ?
-Vous allez vous faire avorter.
-Je refuse…
-Comment ?
-Je refuse de quitter Eddie et de me faire avorter.

La mère d’Eddie me regarda quelques secondes et finit par dire :
-Vous refusez ?
-Oui ! Eddie m’aime et…
-Eddie vous aimes ?
-Oui !
-Eddie à 14 ans ! C’est un mineur ! Il est encore jeune pour découvrir l’amour. Vous l’avez entrainé à faire des choses d’adultes alors qu’il n’a pas l’âge. En plus, il est malade, il à de l’asthme.
-Il n’a plus d’asthme, il est guéri...
-Vous racontez n’importe quoi ! Eddie est encore malade ! Il ne peut pas guérir comme ça !

J’eu une grimace et je dis :
-J’aime votre fils et je…
-Vous aimez mon fils ?
-Oui !
-Désolé mais ce n’est pas possible ! Mon fils est mineur ! Vous n’avez pas le droit d’aimer un mineur !
-Je sais mais je l’aime vraiment…
-Vous ne pouvez pas l’aimer ! Il à 14 ans et vous 18 ans. Vous devez aimer un garçon de votre âge.
-Je ne veux pas ! J’aime Eddie ! Et que lui !
-Mais non de dieu soyez raisonnable ! Eddie à 14 ans ! 14 ans ! C’est un mineur ! Vous entendez ! Un mineur ! Il ne peut pas vous aimer !
-Pourtant, il m’aime et…
-Il vous aime ! Cessez de dire des bêtises ! Il ne peut pas vous aimer ! Je suis sur que vous l’avez forcé à faire des choses dégueulasses !
-Je vous jure que non…
-Oh ! Taisez-vous ! Je ne veux pas vous entendre !

J’inspirais profondément et la mère d’Eddie alors dit :
-Je vous demande donc de quitter mon fils et de vous faire avorter.
-Je refuse…
-Vous refusez ?
-Oui !
-Je vais donc de ce pas prévenir la police et…
-Veuillez m’excusez mais si vous demander à Eddie de me quitter, il refusera !
-Surement car vous l’avez menacé de ne pas vous quitter.
-Faux ! Car il ne voudra pas ! Il m’aime…
-Cessez de dire qu’il vous aime ! Eddie est trop jeune pour savoir s’il est amoureux ou non ! Il ne peut pas avoir de sentiments !
-Je ne suis pas d’accord ! Il m’aime et il me l’a même dit !
-Car vous l’avez forcé à ce qu’il agisse comme ça !
-Faux ! Je ne l’ai forcé en rien ! Je l’ai toujours respecté !

La mère d’Eddie fit quelques pas et me refit face :
-Vous mentez ! Vous ne l’avez pas respecté sinon vous n’auriez pas couché avec lui !
-C’est lui qui m’a demandé…
-Cessez de dire ça ! Je sais que vous l’avez influencé !
-C’est faux ! Je…
-Taisez-vous ! Je ne veux pas entendre de mensonge de votre pars ! Vous allez me faire le plaisir de quitter mon fils et de vous faire avorter ! Sinon, je préviens la police !

Je me sentais mal car, je refusais de quitter Eddie et de me faire avorter. J’eus une moue et je finis par dire :
-Je ne me ferais pas avorter…Je compte bien avoir cette enfant et l’élever comme il se doit.
-Je vais donc prévenir la police et…
-Vous pouvez me laissez avoir mon enfant, je ne vois pas où est le souci.
-Le souci c’est que vous l’avez eu avec mon fils ! Il ne peut pas élever un enfant ! Il à 14 ans ! Il est lui-même encore un enfant !
-S’il ne peut pas l’élever, je l’élèverai seule !
-Très bien dans ce cas vous pouvez garder l’enfant mais vous devez le quitter au plus vite !

J’eus une grimace et je dis :
-Je ne peux pas ! Je l’aime !
-Vous l’aimez ! C’est complètement stupide ! Vous ne pouvez pas l’aimer ! Il à 14 ans et vous 18 ! Vous devriez aimer un garçon de votre âge !
-Non ! Je ne veux pas ! Je ne veux que lui ! Et lui n’aime que moi !
-Il ne peut pas vous aimer ! Il ne sait pas vraiment encore ce que c’est qu’aimer ! Il est encore jeune pour le découvrir ! Et je m’engage à ce qu’il vous quitte !

Je me sentais mal à l’aise et je me mis à réfléchir lorsque soudain une idée traversa mon esprit.
-Et si Eddie reste avec moi jusqu’à ce que j’accouche acceptez-vous ?
-Non ! Non ! Non ! Et non ! Il doit vous quitter ! Maintenant !

Je me sentais triste et je ne savais plus quoi dire. La mère était déterminée à me faire quitter mon cher Eddie d’amour. Je ne pouvais me résoudre à le quitter tant je l’aimais. Oui ! Toi des années 90 je ne pourrais pas te quitter même si on me le demandait et encore moins contre des sous.
La mère d’Eddie me regarda quelques secondes puis fit les cent pas avant de s’arrêter et de me faire face.
-Bon très bien vous rester avec mon fils jusqu’à ce que vous accouchez et ensuite, je vous demande de me donner votre bébé. C’est moi qui élèverai votre enfant. Vous devriez donc ensuite quitter ce village pour toujours si vous n’acceptez pas ma demande ou que vous tenter de revoir mon fils, je préviendrais la police. Est-ce compris ?
-Je refuse de vous donner mon enfant ! C’est le mien !
-Dans ce cas vous aller devoir quitter Eddie même si vous ne voulez pas !
-Eddie et moi, on s’aime, on refuse de se quitter.
-Vous vous aimez ! C’est absurde ! Vous ne pouvez pas rester ensemble ! Eddie va vous quitter et je m’engage à le faire vous quitter.
-Vous allez lui faire mal en lui demandant de me quitter.
-Dans ce cas, je vous demande de le quitter vous-même mais que vous le fassiez avec délicatesse. Donc j’accepte vous liaison jusqu’à ce que vous êtes parvenu à le quitter. Si vous refusez, je préviens la police.
-Non ! Je ne le quitterais jamais je l’aime trop et je refuse de le voir triste.
-Vous refusez ?
-Oui !
-Ok ! Je préviens la police !
-Non ! Non ! S’il vous plait ne faites pas ça !

J’eus une grimace et je finis par dire :
-Ok ! J’accepte ! Dis-je d’une voix triste mais vous devez me laissez le temps de lui dire calmement car il risque de mal le prendre.
-Très bien ! Mais sachez que ce n’est pas avec plaisir que j’accepte votre liaison durant le temps que vous mettrez avant de le quitter ! Je continue à penser que mon fils et jeune et qu’il aurait pus trouver quelqu’un de son âge. Alors ne faite pas trop trainer votre rupture sinon, je m’en chargerai.

Je ne répondis rien de plus à pars « d’accord » et « très bien madame ». Je la regardais me tourner le dos et j’étais triste de savoir que notre amour allait se terminer. Je n’avais qu’une envie courir au campus pour l’annoncer à Eddie mais celui-ci était en classe alors je me changeais en loup et je détalais dans la forêt.

Alors que je courrais dans la forêt Abigaël m’observait derrière un buisson. Elle me regarda courir un instant et finit par m’appeler.
-Liv !

Je sursautai surprise qu’on m’ai appelé et je tournais la tête dans la direction de l’appel. Je reconnue Abigaël et je me dirigeais vers elle. Je repris l’apparence humaine et je du cacher mon sexe et mes seins d’une main. Je la regardai attentivement et celle-ci alors dit :
-Vous êtes un loup-garou ?
-Non ! Un Wolfblood.
-Un quoi ?
-Un Wolfblood ou sang de loup.
-Vous avez de la chance de pouvoir devenir un loup. La bande de jeune que j’ai vu l’autre fois avec vous peut aussi devenir des loups ?
-Oui.
-Vous semblez triste.
- Ça se voit tant que ça ?
-Oui ! Ça se voit sur votre visage.

J’eus une moue et je finis par dire :
-Je voulais vivre ma relation avec Eddie normalement et me marier avec lui mais sa mère ma demandé de le quitter. Je ne veux pas ! Je l’aime trop !

Abigaël m’écouta attentivement et finit par dire :
-Il faut avouer qu’Eddie est mineur et vous majeur donc impossible.
-Je sais mais nous, nous aimons vraiment.
-J’aurai peut-être une idée même si cela m’enchante guère vu votre situation.
-Ah oui ? Laquelle ?
-Eddie à également le pouvoir du loup ?
-Oui !
-Alors devenez définitivement des loups et partez vivre votre vie dans la nature.

Je réfléchis à ce qu’elle venait de dire et je dis :
-Oui ! Pourquoi pas…Bonne idée ! J’en parlerai avec lui mais en attendant que dois-je faire pour ne pas le quitter ? Je suis enceinte de lui et je ne peux pas l’épouser.

Abigaël se mit à réfléchir et finit par dire :
-Il existe une autre façon pour que vous puissiez épouser votre cher et tendre. Vous devez écrire au juge des affaires familial ainsi que Eddie et Eddie doit voir un psychologue de façon à ce que le psychologue peut certifier dans une lettre qu’il n’y a pas d’influence de votre pars.
-Ok ! Je veux bien écrire une lettre et je demanderai à Eddie s’il veut aussi l’écrire mais accepteriez-vous de le voir en tant que psychologue ?
-Oui ! Bien sur ! Je dirais que pour ma pars je ne vois pas d’influence. Vous aurez donc une chance de pouvoir vous marier.
-Oh ! Merci ! J’espère que le juge sera d’accord.
-Oui ! Normalement, il le sera c’est un ami.
-Cool ! M’exclamais-je en me changeant en louve.

Je me mis à sauter sur place et je détalais dans la foret en courant pendant que la police arriva sur plusieurs lieux de crime créé par les chiens. Des corps gisaient dans leur propre sang par dizaine.
-Ces chiens sont fous ! Nous devons les retrouver et les éliminer. Ils ont tués sept personnes.
-Ok ! Mais où sont-ils ? Demanda un autre policier.
-Je ne sais pas mais il faut les retrouver avant qu’ils ne fassent d’autres carnages.


A suivre...

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