Quand les chiens se déchaînent : Episode 18
Pierrot venait d’apprendre que
deux membres du clan des cabots était mort et poussa un cri de rage.
-Putain de mortels !
Je vais tous vous tuer ! Crrrr !
Il émit un grognement en
serrant les poings et jeta un regard à la bande des cabots. Il leur jeta un vif
regard et ses yeux s’arrêtèrent sur le labrador. Un sourire apparut sur ses
lèvres et il dit :
-Toi ! Tu es le chef du
clan des cabots ! Je veux donc que les 5 autres cabots et toi allaient en
ville et que vous tuer toutes personnes sur votre passage est-ce compris ?
-Waf ! Répondit le
labrador qui semblait dire oui car Pierrot sourit.
A peine eut-il jappé, qu’il
détala droit devant lui suivit par les 5 autres chiens tous autant décidé à
tuer.
Alors que les chiens étaient
en route pour tuer, l’aube commençait à faire son apparition. Je me réveillais
et je jetais un regard au dehors. Je vue qu’il commençait à faire jour alors je
réveillais Eddie.
-Eddie ! Réveille-toi !
Il va être l’heure pour que je te raccompagne chez toi.
-Je veux faire l’amour !
Est-ce qu’on peut faire l’amour ?
Je tournais la tête vers le
réveil et je finis par dire :
-Oui ! Eddie ! Ta de
la chance, on à du temps.
-Ah ! Cool !
S’exclama celui-ci tout content.
Je souris et je dis :
-Tu veux te régaler ?
-Oui ! Je le veux !
Je le veux trop !
-Ok ! Alors c’est
partie !
Sur ces mots, je l’embrassais et
on refit l’amour. Une fois finis, je lui dis :
-Qu’est-ce que t’es
beau ! Mais qu’est-ce que t’es beau ! Je t’aime Eddie Kasbrak ! Mon
chouchou ! Je t’aime tellement
putain, je t’aime !
-Moi aussi, je t’aime !
On se mit à s’embrasser et
celui-ci me dis :
-Je t’aime vraiment ! Je
n’ai jamais cru pouvoir un jour aimer à ce point.
-Moi c’est pareil ! Je
t’aime tellement ! Est-ce que ça va ?
-Oui ! Pourquoi ?
-Et bien…Je sais que tu as
plus besoin de ton inhalateur mais je ne sais pas si cela te fatigue ou pas.
-Non ! Je suis juste
fatigué normalement par ce qu’on à fait. Je ne suis pas fatigué comme avant
enfin…Pas pire que ça.
-Ah ouf ! J’ai eu
peur ! Répondis-je en le serrant contre moi. Je ne supporterais pas qu’un
jour, tu meurs à cause du sexe. Je suis dingue de toi tellement dingue que s’il
y arrivait quelque chose, je serais prête à mourir aussi car je ne veux pas te
perdre.
Eddie se mit à me sourire et
sembla vraiment étonné des paroles que je venais de dire car il me serra à son
tour fort contre lui. Nous, nous étreignirent pendant un moment et je lui dis
que je devais le raccompagner chez lui avant que sa mère ne vienne dans sa
chambre. Il eut une moue et dis :
-Je ne veux pas rentrer !
Je veux rester avec toi !
J’eus une moue à mon tour et
je finis par dire :
-Je sais Eddie ! Moi
aussi, j’aimerais que tu restes avec moi mais je doute que ta mère serait ravie.
Il baissa la tête et finit par
dire :
-Bon ! Ok !
Allons-y !
Je sortie du lit et me changea
en loup imitait par Eddie après quoi nous sautâmes par la fenêtre. Je le raccompagnai
chez lui et celui-ci rentra dans son lit au moment même où sa mère ouvrit la
porte.
-Debout ! Eddie ! Il
est l’heure !
-Mum ! Répondis celui-ci
pour faire semblant de dormir.
Il s’étira en baillant et sa
mère alors dit :
-Dépêche-toi de te lever mon
chéri, je vais préparer des crêpes.
Eddie l’écouta et bailla
tendis qu’elle fermait la porte. Il sortit du lit et s’habilla tendis que je le
regardais.
-Qu’il est beau ! Mon
dieu qu’il à un corps de rêve !
Je souris et soudain, je me
sentis mal.
-Oula ! J’ai des nausées
moi ! Berk ! J’ai du manger un truc qui est mal passé !
Je me rechangeai en loup et je
couru en direction de la maison. A peine arrivé, je vomi avant de rentrer.
-Berk !
Je me dépêchais de rentrer et
je tombais nez à nez face à Louane.
-ça va ? Me demanda
celle-ci.
-Non ! Je ne me sens pas
très bien. J’ai vomi dehors…
-Aïe ! Tu as sûrement
mangé un truc mauvais.
-C’est ce que je me demande.
Je me sens mal…
Je m’assis aussitôt après
avoir prononcé cette phrase et je revomi.
-Tu as peut-être attrapé une
gastro. Me dis alors Danny en apparaissant.
-Oui ! Peut-être…
Je prie la serpillère que
Louane était allait chercher et je nettoyais ce que je venais de faire. Alors
que je nettoyais, je vis Louane qui me reniflait.
-Quoi ? Qu’est-ce qu’il y
à ?
-Tu n’es pas malade…Tu es
enceinte.
Un silence retentit dans la
pièce et je finis par dire :
-Enceinte ! D’Eddie ?
-Et oui ! Ma
grande !
-C’est génial ! C’est
trop génial ! M’exclamais-je aussitôt. Je suis trop contente. Je vais
avoir un petit Eddie ou une petite Liv.
Danny et Louane sourirent et
ils se préparèrent pour le campus. Je les regardai se préparer et je finis par
m’habiller en disant :
-Je vais quand même faire un
test de grossesse.
-Ok ! Tu nous diras dis
alors Louane.
Je souris et je les accompagnai à l’école. Maxime nous rejoignis et soudain se mit à me renifler.
-T’es enceinte ?
-T’es sur ?
-Oui ! T’es enceinte de
lui.
-D’Eddie ?
-Ben ! Non ! De
Merlinpinpin ! Me lança Maxime. Bien sur d’Eddie ! Pfff !
-Oh ! C’est bon
toi ! Rallais-je.
-Ben quoi tu poses une
question débile. Alors, je te réponds une idiotie.
Je poussais un soupir et c’est
alors qu’il arriva avec sa mère. Il couru aussitôt dans mes bras et je souris
en le recevant contre moi. C’est alors que sa mère arriva et tira Eddie vers
elle.
-Ne vous approchez plus de mon
fils où je porte plainte contre vous.
-Plainte !
Pourquoi ?
-Pour pédophilie !
Oui ! Vous avez bien entendu pour pédophilie car vous n’avez pas le droit
d’agir comme vous faite avec mon fils.
-Que voulez-vous dire ?
-Vous prenez mon fils dans vos
bras et ceci n’est pas acceptable. Je veux qu’à partir d’aujourd’hui vous
cessez de voir mon fils où je préviens la police.
-Non ! Hurla Eddie en se
libérant de la prise de sa mère et en ce collant contre moi. Je te défends de
faire ça où je pars de la maison.
-Eddie voyons, tu n’es pas
raisonnable !
-Je m’en fiche d’être
raisonnable ou pas ! Je l’aime et c’est comme ça ! Je t’interdis de
nous séparer !
-Eddie ! Ecoute ! Tu
es jeune ! Tu as le temps d’aimer et d’être aimé. Tu es jeune et…
-Je m’en fiche ! C’est
elle que je veux ! Je l’aime ! Je veux me marier avec elle !
-Eddie ! Écoute-moi !
Cette fille est trop vieille pour toi ! Tu peux trouver une autre fille…
-Je m’en fiche d’une autre
fille ! C’est elle que je veux !
Sa mère poussa un soupir et
finit par dire :
-C’est pas toi qui
décide ! A partir d’aujourd’hui, je ne veux plus que tu la fréquentes
sinon, elle aura des comptes à régler avec la police.
J’eus une grimace et je décidais
alors de dire le secret :
-Je suis enceinte !
Un silence s’installa et la
mère d’Eddie alors me dit :
-Vous êtes enceinte ?
Enceinte de qui d’Eddie ?
-Non ! Du président lança
Maxime en éclatant de rire.
Elle regarda Maxime et son
regard se porta sur Eddie et moi. Je jetais un coup d’œil à Eddie qui avait les
yeux écarquillais et je dis :
-Oui ! Je suis enceinte d’Eddie !
Et sachez que je ne me ferais pas avorter.
Eddie ouvrit la bouche pour
dire quelque chose mais rien ne sortie et sa mère alors dit :
-C’est pas vrai ! Cela
veut dire que vous avez couché ensemble ?
-Non ! En faite, ils ont
couché à distance et les spermatozoïdes ont pris un avion pour atteindre leur
but. Continua Maxime.
La mère d’Eddie regarda Maxime
en train de se tordre de rire et nous fit face :
-Eddie ! Tu as fait
l’amour avec cette fille ?
-Non ! Il la fait avec la
fille de madame soleil ! Lança Maxime tordu de rire.
La mère d’Eddie ignora les
paroles de Maxime et insista :
-Alors ! Répond ! Ta
eut des relations sexuelles avec cette fille.
-Oui ! Maman !
-Oh ! Mon dieu ! Mon
dieu ! Mon dieu !
-Je crois que dieu à compris
lança Maxime.
La mère d’Eddie lui jeta un
œil noir et dit :
-Eddie ! Tu sais qu’elle
à 18 ans ? Elle est majeure ! Tu n’en as que 14 !
-Je sais maman ! Mais je
l’aime ! Je l’aime comme jamais, j’ai aimais une fille ! Je ne sais
pas pourquoi mais quelque chose ma poussée à tenter ma chance avec elle et je
ne le regrette pas.
Sa mère le regarda un instant
sans savoir quoi dire et finit par dire :
-Eddie ! Elle à 18 ans,
elle peut jouer avec tes sentiments et te manipuler.
-Non ! Maman ! Elle
m’aime ! Elle veut se marier avec moi et avoir un bébé ! Elle n’est
pas comme les autres majeurs.
La mère d’Eddie sembla soudain
mal et je dis :
-Je sais que je peux vous
semblait être une pédophile mais, ce n’est pas le cas. Je n’ai jamais aimé de
personne plus jeune que moi (en faite plus vieux vu qu’Eddie des années 90 à 41
ans).
La mère d’Eddie sembla perdue
et finit par dire :
-Je veux être sur que vous
soyez enceinte. Vous allez faire un test pour me prouver vos paroles et
ensuite, je vous donnerais mes conditions au sujet de votre fréquentation avec
mon fils. C’est clair ?
-Oui ! Madame !
Répondis-je mal à l’aise.
-Très bien ! J’attends !
Votre test !
Sur ces mots, elle fit demi
tour et s’éloigna de moi d’un pas sur. Je la regardais s’éloigner et je
baissais la tête sur Pin’s qui me lécha la main. Eddie se jeta au cou de Pin’s
et me dis :
-T’es enceinte ? T’es
vraiment enceinte ?
-Oui ! Si notre flair de
loup ne me trompe pas, je suis vraiment enceinte.
Eddie se jeta sur moi et
m’embrassa en disant :
-C’est génial ! Je suis
trop content ! J’espère que tu l’aie vraiment ! Je veux que tu le
sois ! Je le veux ! Vraiment !
-Tu veux vraiment que j’ai un
bébé ?
-Non ! Pas un
bébé ! Des bébés !
-Des ?
-Oui ! Je veux t’en
faire plein !
Je souris et l’embrassais
avec tendresse devant les autres enfants et professeur qui semblait dégouté.
J’étais à la fois mal à l’aise par rapport aux autres et heureuse qu’Eddie soit
si heureux que je sois enceinte. Les cours commencèrent et je partie alors en
ville chercher un test de grossesse. Je fis le test et celui-ci se releva bien
positif. Je restais paralysé par ce test en réfléchissant à ce que pouvez être
notre avenir.
Tendis que je réfléchissais à
l’avenir une fille brune roulait en vélo, elle roulait depuis un moment lorsque
Pierrot apparus devant elle. Il était assis sur un banc et semblait pleurer. La
fillette ralentit et osa demander :
-ça va ?
-J’ai perdu mes parents…
-Heu…Je…Où les as-tu
perdu ?
-Là ! Ils étaient devant
moi…
-Mum…
-Peux-tu m’aider à les
retrouver ?
-Non ! Je n’ai pas le
doit de m’éloigner.
-S’il te plaît…On n’ira pas
loin.
La fillette sembla hésiter
alors Pierrot dit :
-Dans ce cas, tu vas me
donner ton âme.
Sur ces mots, il vira ces
yeux au jaune et sa bouche laissa briller de longs crocs pointus. La fillette
apeuré fit demi-tour et détala avec son vélo loin devant elle. Pierrot apparus
alors sur le côté et tendis un de ces bras ce qui la fit tomber. Elle s’étala
sur le sol et Pierrot bondit alors sur elle.
Pendant que Pierrot dévorait
la fillette les 6 cabots courraient à travers la ville à la recherche d’une
proie. Aurore sortait son chien un fox terrier et marchait d’un pas sur. Tendis
qu’elle marchait d’un pas sur elle entendit des bruits dans les buissons
derrière elle ce qui fit aboyer son chien. Elle jeta un coup d’œil au buisson
mais ne vit rien cependant, elle savait qu’il y avait quelque chose dedans.
Elle frissonna et dis :
-Viens ! Filou ! Rentrons !
Elle continua de fixer
derrière, elle mais un bruit devant elle la força à se retourner. Elle se
retrouva nez à nez au labrador. Celui-ci se mit à grogner férocement et les
cinq autres cabots apparurent. Elle comprit qu’elle était en danger et tenta de
se frayer un chemin mais les chiens lui bondirent dessus. Le fox terrier quand
à lui détala aussitôt poursuivit par un des cabots un Beauceron. Des cris
résonnèrent dans la ville ce qui fit sortir des gens. Quand les gens sortirent
sous les cris, les chiens détalèrent aussitôt. Ils arrivèrent vers le corps d’Aurore
qui gisait dans son propre sang.
Les chiens continuèrent de
courir à la recherche d’une nouvelle proie et ne tardèrent pas à repérer
monsieur et madame Niwoco. Le labrador s’arrêta aussitôt à leur vue et poussa
un grognement ce qui les paralysa sur place. Ils se mirent à reculer tendis que
le labrador se mit à avancer d’un pas sur en direction du couple. Ces yeux
jaunes luisaient sous la lune d’une façon inquiétante ce qui leur donna des frissons.
Tendis qu’ils reculaient les autres chiens apparurent. Le labrador jeta un coup
d’œil aux autres chiens et après un regard, il bondit sur la femme tendis que
les autres chiens bondirent sur l’homme. Des hurlements s’élevèrent dans le
ciel si bien que le chasseur déjà connu sortie armé de son fusil et tira. Il
visa le beauceron qui poussa un hurlement de douleur et tomba au sol. Les
autres chiens détalèrent aussitôt dans une rue laissant leur ami mort qui
reprit son apparence humaine.
-Qu’est-ce que c’est que ce
bordel ? S’exclama alors le chasseur.
Il s’approcha du corps de la
victime et dis :
-Je deviens fou où
quoi ? C’était un chien il y à quelques minutes encore.
Des gens vinrent le rejoindre
lorsque des cris résonnèrent au loin. Le chasseur alors dit :
-Appelez les secours, je vais
me charger des chiens.
Et avant qu’ils ne purent
dire un mot, le chasseur détala en direction des hurlements qui résonnaient
dans la ville. Il trouva alors le corps d’une femme à l’agoni la gorge ouverte
et celui-ci alors s’agenouilla près de la femme.
-Vite ! Prévenez les
secours ! Cette femme est en train de mourir !
Les gens qui étaient arrivé
sur place s’emparèrent de leur téléphone et appelèrent les secours. Le chasseur
se releva et se mit à suivre les traces de pattes de chiens pleine de sang. Elles
le conduisirent jusqu’au parc où des hurlements ne tardèrent pas à se faire
entendre. Le chasseur pénétra dans le parc bientôt rejoins par des policiers.
Il fit quelques pas lorsqu’un policier alors dis :
-Monsieur vous pouvez
disposer, nous allons nous en occuper.
-Ok ! D’accord !
Répondit le chasseur en baissant son arme.
-Très bien ! Merci quand
même pour votre aide.
Le chasseur répondit d’un vif
sourire et fit alors demi-tour. Il s’éloigna du parc et semblait soudain
méfiant. On aurait dit qu’il redoutait d’être attaqué car il ne cesser de se
retourner en direction des buissons. Il aperçut le pelage du labrador dans un
buisson et dirigea son arme dans sa direction. Au même moment le labrador
sortit en grognant férocement. L’homme tira met le manqua de peu ce qui le fit
fuir en direction de la forêt imitait par les quatre autres chiens. Le chasseur
les suivit du regard et décida de les suivre. Il se mit donc en route d’un pas
décidé sans savoir ce qu’il pouvait lui arriver.
De mon côté, je partie chez
la mère d’Eddie et lui tendis le test de grossesse. Celle-ci le regarda et un
silence s’installa tendis qu’elle faisait les 100 pas avec un air de réfléchir.
Elle finit par s’arrêter et me fit face.
-Vous êtes bien
enceinte ! Hum ! Qui me dis que ce n’est pas d’un autre garçon ?
-Car je n’ai couché qu’avec
Eddie.
-Cela peut-être une excuse
pour obtenir quelque chose de ma pars.
-Voyons ! Soyez
réaliste ! Que pourrais-je obtenir de votre pars ?
-Je ne sais pas moi…C’est
vous qui êtes enceinte !
-Je ne veux rien obtenir sauf
une chose…
-Quoi ! De
l’argent ?
-Non ! L’amour de votre
fils !
Elle eut une moue et se mit à
refaire les 100 pas après quoi, elle me fit de nouveau face.
-L’amour de mon fils ?
Et je suppose que vous, voulez l’épouser ?
-Oui !
-Vous avez donc réellement
bien couché ensemble ?
-Oui ! Et pas qu’une
fois.
-Epargnez moi ce chapitre sur
le nombre de fois que vous avez eut des relations sexuelles avec mon
fils ! Je ne veux rien savoir sur ces passages qui me répugnent !
Je me sentis mal à l’aise et
je finis par dire :
-Que décidez-vous du
coup ?
-Ce que je décide ? Vous
voulez vraiment savoir ?
-Heu…Oui !
-Je refuse votre amour et votre
mariage ! Vous allez donc faire un truc pour moi sinon, je préviens la
police.
J’eu une grimace et je
demandais :
-Heu…Oui ! Quoi ?
-Vous allez vous faire
avorter.
-Je refuse…
-Comment ?
-Je refuse de quitter Eddie
et de me faire avorter.
La mère d’Eddie me regarda
quelques secondes et finit par dire :
-Vous refusez ?
-Oui ! Eddie m’aime et…
-Eddie vous aimes ?
-Oui !
-Eddie à 14 ans ! C’est
un mineur ! Il est encore jeune pour découvrir l’amour. Vous l’avez
entrainé à faire des choses d’adultes alors qu’il n’a pas l’âge. En plus, il
est malade, il à de l’asthme.
-Il n’a plus d’asthme, il est
guéri...
-Vous racontez n’importe
quoi ! Eddie est encore malade ! Il ne peut pas guérir comme
ça !
J’eu une grimace et je
dis :
-J’aime votre fils et je…
-Vous aimez mon fils ?
-Oui !
-Désolé mais ce n’est pas
possible ! Mon fils est mineur ! Vous n’avez pas le droit d’aimer un
mineur !
-Je sais mais je l’aime
vraiment…
-Vous ne pouvez pas
l’aimer ! Il à 14 ans et vous 18 ans. Vous devez aimer un garçon de votre
âge.
-Je ne veux pas ! J’aime
Eddie ! Et que lui !
-Mais non de dieu soyez
raisonnable ! Eddie à 14 ans ! 14 ans ! C’est un mineur !
Vous entendez ! Un mineur ! Il ne peut pas vous aimer !
-Pourtant, il m’aime et…
-Il vous aime ! Cessez
de dire des bêtises ! Il ne peut pas vous aimer ! Je suis sur que
vous l’avez forcé à faire des choses dégueulasses !
-Je vous jure que non…
-Oh ! Taisez-vous !
Je ne veux pas vous entendre !
J’inspirais profondément et
la mère d’Eddie alors dit :
-Je vous demande donc de
quitter mon fils et de vous faire avorter.
-Je refuse…
-Vous refusez ?
-Oui !
-Je vais donc de ce pas
prévenir la police et…
-Veuillez m’excusez mais si
vous demander à Eddie de me quitter, il refusera !
-Surement car vous l’avez
menacé de ne pas vous quitter.
-Faux ! Car il ne voudra
pas ! Il m’aime…
-Cessez de dire qu’il vous
aime ! Eddie est trop jeune pour savoir s’il est amoureux ou non ! Il
ne peut pas avoir de sentiments !
-Je ne suis pas
d’accord ! Il m’aime et il me l’a même dit !
-Car vous l’avez forcé à ce
qu’il agisse comme ça !
-Faux ! Je ne l’ai forcé
en rien ! Je l’ai toujours respecté !
La mère d’Eddie fit quelques
pas et me refit face :
-Vous mentez ! Vous ne
l’avez pas respecté sinon vous n’auriez pas couché avec lui !
-C’est lui qui m’a demandé…
-Cessez de dire ça ! Je
sais que vous l’avez influencé !
-C’est faux ! Je…
-Taisez-vous ! Je ne
veux pas entendre de mensonge de votre pars ! Vous allez me faire le
plaisir de quitter mon fils et de vous faire avorter ! Sinon, je préviens
la police !
Je me sentais mal car, je
refusais de quitter Eddie et de me faire avorter. J’eus une moue et je finis
par dire :
-Je ne me ferais pas
avorter…Je compte bien avoir cette enfant et l’élever comme il se doit.
-Je vais donc prévenir la
police et…
-Vous pouvez me laissez avoir
mon enfant, je ne vois pas où est le souci.
-Le souci c’est que vous
l’avez eu avec mon fils ! Il ne peut pas élever un enfant ! Il à 14
ans ! Il est lui-même encore un enfant !
-S’il ne peut pas l’élever,
je l’élèverai seule !
-Très bien dans ce cas vous
pouvez garder l’enfant mais vous devez le quitter au plus vite !
J’eus une grimace et je
dis :
-Je ne peux pas ! Je
l’aime !
-Vous l’aimez ! C’est
complètement stupide ! Vous ne pouvez pas l’aimer ! Il à 14 ans et
vous 18 ! Vous devriez aimer un garçon de votre âge !
-Non ! Je ne veux
pas ! Je ne veux que lui ! Et lui n’aime que moi !
-Il ne peut pas vous
aimer ! Il ne sait pas vraiment encore ce que c’est qu’aimer ! Il est
encore jeune pour le découvrir ! Et je m’engage à ce qu’il vous quitte !
Je me sentais mal à l’aise et
je me mis à réfléchir lorsque soudain une idée traversa mon esprit.
-Et si Eddie reste avec moi
jusqu’à ce que j’accouche acceptez-vous ?
-Non ! Non !
Non ! Et non ! Il doit vous quitter ! Maintenant !
Je me sentais triste et je ne
savais plus quoi dire. La mère était déterminée à me faire quitter mon cher
Eddie d’amour. Je ne pouvais me résoudre à le quitter tant je l’aimais. Oui !
Toi des années 90 je ne pourrais pas te quitter même si on me le demandait et
encore moins contre des sous.
La mère d’Eddie me regarda
quelques secondes puis fit les cent pas avant de s’arrêter et de me faire face.
-Bon très bien vous rester
avec mon fils jusqu’à ce que vous accouchez et ensuite, je vous demande de me
donner votre bébé. C’est moi qui élèverai votre enfant. Vous devriez donc ensuite
quitter ce village pour toujours si vous n’acceptez pas ma demande ou que vous
tenter de revoir mon fils, je préviendrais la police. Est-ce compris ?
-Je refuse de vous donner mon
enfant ! C’est le mien !
-Dans ce cas vous aller
devoir quitter Eddie même si vous ne voulez pas !
-Eddie et moi, on s’aime, on
refuse de se quitter.
-Vous vous aimez ! C’est
absurde ! Vous ne pouvez pas rester ensemble ! Eddie va vous quitter
et je m’engage à le faire vous quitter.
-Vous allez lui faire mal en
lui demandant de me quitter.
-Dans ce cas, je vous demande
de le quitter vous-même mais que vous le fassiez avec délicatesse. Donc
j’accepte vous liaison jusqu’à ce que vous êtes parvenu à le quitter. Si vous
refusez, je préviens la police.
-Non ! Je ne le quitterais
jamais je l’aime trop et je refuse de le voir triste.
-Vous refusez ?
-Oui !
-Ok ! Je préviens la
police !
-Non ! Non ! S’il
vous plait ne faites pas ça !
J’eus une grimace et je finis
par dire :
-Ok ! J’accepte !
Dis-je d’une voix triste mais vous devez me laissez le temps de lui dire
calmement car il risque de mal le prendre.
-Très bien ! Mais sachez
que ce n’est pas avec plaisir que j’accepte votre liaison durant le temps
que vous mettrez avant de le quitter ! Je continue à penser que mon fils et jeune
et qu’il aurait pus trouver quelqu’un de son âge. Alors ne faite pas trop
trainer votre rupture sinon, je m’en chargerai.
Je ne répondis rien de plus à
pars « d’accord » et « très bien madame ». Je la regardais
me tourner le dos et j’étais triste de savoir que notre amour allait se
terminer. Je n’avais qu’une envie courir au campus pour l’annoncer à Eddie mais
celui-ci était en classe alors je me changeais en loup et je détalais dans la
forêt.
Alors que je courrais dans la
forêt Abigaël m’observait derrière un buisson. Elle me regarda courir un
instant et finit par m’appeler.
-Liv !
Je sursautai surprise qu’on
m’ai appelé et je tournais la tête dans la direction de l’appel. Je reconnue
Abigaël et je me dirigeais vers elle. Je repris l’apparence humaine et je du
cacher mon sexe et mes seins d’une main. Je la regardai attentivement et
celle-ci alors dit :
-Vous êtes un
loup-garou ?
-Non ! Un Wolfblood.
-Un quoi ?
-Un Wolfblood ou sang de
loup.
-Vous avez de la chance de
pouvoir devenir un loup. La bande de jeune que j’ai vu l’autre fois avec vous
peut aussi devenir des loups ?
-Oui.
-Vous semblez triste.
- Ça se voit tant que
ça ?
-Oui ! Ça se voit sur
votre visage.
J’eus une moue et je finis
par dire :
-Je voulais vivre ma relation
avec Eddie normalement et me marier avec lui mais sa mère ma demandé de le
quitter. Je ne veux pas ! Je l’aime trop !
Abigaël m’écouta
attentivement et finit par dire :
-Il faut avouer qu’Eddie est
mineur et vous majeur donc impossible.
-Je sais mais nous, nous
aimons vraiment.
-J’aurai peut-être une idée
même si cela m’enchante guère vu votre situation.
-Ah oui ?
Laquelle ?
-Eddie à également le pouvoir
du loup ?
-Oui !
-Alors devenez définitivement
des loups et partez vivre votre vie dans la nature.
Je réfléchis à ce qu’elle
venait de dire et je dis :
-Oui ! Pourquoi
pas…Bonne idée ! J’en parlerai avec lui mais en attendant que dois-je
faire pour ne pas le quitter ? Je suis enceinte de lui et je ne peux pas
l’épouser.
Abigaël se mit à réfléchir et
finit par dire :
-Il existe une autre façon
pour que vous puissiez épouser votre cher et tendre. Vous devez écrire au juge
des affaires familial ainsi que Eddie et Eddie doit voir un psychologue de
façon à ce que le psychologue peut certifier dans une lettre qu’il n’y a pas d’influence
de votre pars.
-Ok ! Je veux bien
écrire une lettre et je demanderai à Eddie s’il veut aussi l’écrire mais
accepteriez-vous de le voir en tant que psychologue ?
-Oui ! Bien sur !
Je dirais que pour ma pars je ne vois pas d’influence. Vous aurez donc une
chance de pouvoir vous marier.
-Oh ! Merci !
J’espère que le juge sera d’accord.
-Oui ! Normalement, il
le sera c’est un ami.
-Cool ! M’exclamais-je
en me changeant en louve.
Je me mis à sauter sur place
et je détalais dans la foret en courant pendant que la police arriva sur
plusieurs lieux de crime créé par les chiens. Des corps gisaient dans leur
propre sang par dizaine.
-Ces chiens sont fous !
Nous devons les retrouver et les éliminer. Ils ont tués sept personnes.
-Ok ! Mais où
sont-ils ? Demanda un autre policier.
-Je ne sais pas mais il faut
les retrouver avant qu’ils ne fassent d’autres carnages.
A suivre...
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