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 © Lilas Giorgi

mercredi 19 août 2020

Chapitre 20 Quand les chiens deviennent fou

 

Quand les chiens deviennent fou : Episode 20

 

 

Nous partîmes au banquet du mariage et la mère d’Eddie me dit :

-Sachez que même si je n’ai rien dis au mariage. Je m’oppose totalement à votre union. Mon Eddie chéri va récupérer plein de microbes par votre faute. Eddie l’ayant entendu s’énerva :

-C’est faux ! Ma Liv n’a pas plein de microbes ! Et en plus, grâce à elle, je ne suis plus asthmatique.

-Comment ça ?

-Elle peut devenir un loup et ma mordu pour que j’en devienne un. Depuis je n’ai plus de crise d’asthme.

-Un loup ? C’est quoi cette histoire encore.

-On à le pouvoir de devenir des loups. Si vous, voulez on vous le montre. On se met nu et…

-Non ! Merci ! Sans façon !

-En tout cas, depuis que, je peux devenir un loup, je n’ai plus d’asthme. J’ai juste faillis mourir durant le changement qui se passait dans mon corps.

-Ah ! Super ! Maintenant, j’apprends que tu as faillis mourir !

-Je sais ! Mais c’était ça ! Ou être malade à vie ! Maintenant, je suis un garçon normal !

 

La mère d’Eddie le regarda la bouche ouverte et préféra ravaler ses pensées. Elle poussa un soupir et se tourna face à moi à qui elle dit :

-Veillez bien sur mon fils. Je vous en supplie, je ne veux plus jamais le voir triste et seulement sourire.

-Je vous promets que je me donnerais corps et âme pour le rendre heureux.

-J’espère…

 

Sur ces mots, elle me tourna les talons. Eddie se serra contre moi et me dis :

-T’es belle ! T’es vraiment belle ! Je t’aime !

-Moi aussi ! Je t’aime !

 

Et sans un mot de plus, je l’embrassais avec vigueur mais remplis de tendresse. Eddie sourit tout content et le mariage continua ainsi avec parfois quelques remarques de sa mère. Je fus bien contente que cela soit fini car je pus aller me reposer cette nuit avec Eddie dans ma maison. Bien sur on refit l’amour mais cette fois sans craindre les paroles que pourrait avoir sa mère.

 

Alors que nous étions occupé Pierrot aperçus un doberman et dis :

-Dès qu’un de tes maîtres dira le mot « noél » tue les ! Tue les tous ! Tue toute ta famille. Ensuite, va au jardin couche toi et dors. Tu redeviendras normal sauf si tu entends à nouveau le fameux mot. Ok ! Va ! Commet un carnage !

 

Le chien obéit et rejoignis sa famille à qui, il fit la fête. Le maitre alors dis :

-Mais oui ! Rudo ! Ça va ! On va préparer le repas ! Allons-y !

 

Le maître porta un carton remplis de courses imitait par sa femme et deux adolescent. Le chien rentra dans la maison tendis que ses maîtres rangeaient les courses. Il s’installa dans son panier dans un coin tendis que ses maîtres ressortaient parfois pour aller chercher d’autres sacs de courses qu’ils rangeaient à leur tour. Ils se mirent à faire cuire des steaks tendis que les deux jeunes étaient assis à une table. Ils discutaient et le garçon semblait se moquer de sa sœur :

-Tu vas aller voir Tom, tout à l’heure ?

-Et alors ?

-Tu ne trouves pas qu’il à une allure de bad boy ?

-Arrêtes ! Tu ne le connais pas ! Pour le juger !

-Non ! Peut-être mais je peux dire déjà qu’il est mal fringuer ! On dirait un punk ! Pffff ! C’est démoder ce style !

-Moi, je le trouve classe ! Toi, tu crois que ta Sarah et mieux ? On dirait une prostitué vu comme elle est maquillé comme un camion volé.

-Ma Sarah comme, tu dis est effectivement mieux que ton Tom. Sérieux ! On dirait qu’il y à marqué Pechno sur sa tronche.

-Ouais ! Ben ta Sarah ! Y a marqué Pute sur son front !

 

Le garçon serra les points et son père alors dit :

-Stop ! Cesser de vos envoyer des piques ! Où sinon vous finirez tous les deux dans la chambre.

-Parler plutôt de ce que vous avez envisagez de faire à noël.

-Je le passe avec ma co…Commença le jeune garçon stoppé par les grognements de Rudo. Tout le monde regarda le chien qui c’était dressé et qui grognait après le fils. Toute la famille regarda le chien et avant que quelqu’un ne puisse agir le chien bondit et attaqua le jeune garçon. La fille fit un bon en arrière en hurlant. Le chien se mit à dévorer le garçon tendis que la fille détala vers ces parents. Le chien laissa le corps du garçon pour détaler aussitôt à ses trousses et bondit sur elle. Des hurlements ne tardèrent pas à se faire entendre. Les parents tentèrent d’aider leur fille mais le chien bondis sur le père à son tour et se mit à lui lacérer le visage. Une fois fait, il détala après la mère qui courru vers la porte mais le chien bondit aussitôt sur elle. Il la dévora à son tour après quoi, il sortit comme convenue sur la pelouse et s’allongea dessus où il ferma les yeux et s’endormit.

 

La nuit passa et le matin une dame passa près de lui et vit que le chien avait encore du sang sur son museau. Elle tourna la tête vers la maison et vit la porte ouverte. En prenant soin de contourner le chien qui ne bougea pas, elle ouvrit la porte et vit le carnage ce qui la fis aussitôt. Elle mit une main sur sa bouche et jeta un coup d’œil sur le chien qui n’avait pas bougé. Elle se décida aussitôt de téléphoner et dis :

-Venez vite ! A la maison de Monsieur et madame Pervenche. Ils ont étaient tué et j’ai de bonne raison de croire qu’il s’agit du chien.

-Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?

-Venez vite vous verrez par vous-même ! Je ne…Je ne sais pas comment expliquer !

 

La police ne mit pas longtemps à arriver et l’un des policier se dirigea vers la maison et vu le carnage. Il le dis à son collègue et celui-ci dis :

-Quand on pense que c’est bientôt noël, ils…

 

Le doberman se releva et bondit sur le policier le saisissant au bras. Son collègue lui vint au secours et tira une balle le tuant aussitôt. Le chien s’effondra au sol et le policier alors dit :

-Je ne comprends pas ce qu’il lui à pris. Il dormait et soudain…

-Sûrement que la famille eux aussi non pas compris quand il les à attaqués.

 

Le collègue approuva son avis et appela des secours pour s’occuper des corps des humains et du chien. Abigaïl arriva sur les lieux et demanda ce qui c’était passé. Les deux policiers racontèrent exactement ce qu’ils avaient fait et Abigaïl alors dit :

-C’est le mot noël !

-Comment ça ?

-Le chien semble avoir attaqué après que vous ayez prononcé le mot noël. Cela montre donc que quelqu’un la poussé à attaquer sous ce mot.

-Mais qui aurait pus faire ça ? Dit le policier qui avait prononcé ce nom.

-C’est ce qui est à découvrir.

 

Les policiers la regardèrent et se jetèrent un coup d’œil après quoi ils approuvèrent son avis. Ils continuèrent de travailler sur le terrain auprès des corps et Abigaïl repris sa voiture. Elle roula un instant et m’aperçut en train de promener Pin’s. Elle gara sa voiture et vint à ma rencontre lorsque Pin’s jappa à son approche. Je tournais la tête et je la vis me sourire après quoi, elle dit :

-Bonjour ! Ça va ?

-Oui ! Merci.

-J’ai appris que vous, vous êtes marié Eddie et toi.

-Oui ! C’est vrai !

-Penses-tu pouvoir gérer ce mariage ?

-Oui ! S’il n’aime que moi et accepte de me le prouver.

 

Abigaïl sourit et dis :

-Très bien ! Dans ce cas, je ne vais pas vous ennuyer plus longtemps sur ce sujet.

Mais normalement, il aurait du avoir un minimum de 16 ans pour se marier.

-Oui je sais…

-Tu n’as cas devenir une louve définitivement avec Eddie et partir créer ta meute. Me dis alors Abigaël comme déjà dis.

 

J’eus une moue ne sachant quoi dire car au niveau de la loi nous, ne devions pas être mariés. Je regardais Abigaïl qui me fit un sourire et nous jetâmes un regard à Pin’s qui nous regardais l’un après l’autre. Je regardais Pin’s et je dis :

-Je l’aime tellement à Eddie ! Même si on se connaît depuis pas longtemps (on se connaît pas), je suis sur que c’est l’homme de ma vie. Il me rend dingue ! Jamais, je n’ai ressentis d’aussi forts sentiments.

 

Abigaïl sourit et finis par me dire :

-Je te souhaite dans ce cas tout le bonheur du monde et j’espère que tu ne le décevras pas.

-Je jure que je ferais de mon mieux pour le rendre heureux et même si je ne suis pas riche, je ferais de mon maximum pour le combler de cadeaux.

 

Abigaïl sourit à nouveau et me dis :

-ça se voit que tu l’aimes vraiment. Si tu as besoin de conseils, je t’en donnerais.

-Ok ! Merci.

 

Je souris à mon tour et nous discutâmes encore un moment après quoi, nous prîmes chacun notre chemin.

 

Je me mis à marchais dans la rue et soudain, j’aperçus quatre chien dont je reconnu le labrador. Il me regarda intensément et se mit à grogner furieusement imitait par Pin’s. Les trois autres chiens firent de même et je sentis un frisson me parcourir. Je fis un pas en arrière mais je repris courage en me rappelant que j’étais un loup. Je virais mes yeux au jaune en grognant à mon tour. Les chiens nous regardèrent et préférèrent prendre un chemin sur la droite. Je fis alors quelques pas en avant afin de les suivre mais les chiens avaient disparut. Je me mis à renifler leur odeur et je continuais de les suivre. Soudain ceux-ci accélérèrent leur pas et je me sentis perdu. Devais-je oui où non les suivre en loup ? Je regardais Pin’s et me dis que si je me déplacer sous la forme d’un loup, je risquais fort de me faire tuer. Je du donc abandonner l’idée de les suivre mais je me sentais peu à l’aise. Je rentrais et Eddie alors me dis :

-Tu étais où ?

-Je promenais Pin’s.

-Ne t’en va plus comme ça ! Reste avec moi…

-Oui ! Pardon mon amour.

 

Eddie se colla contre moi et me dis :

-Tu me promets ?

-Oui ! Mon prince ! Mais tu dormais si bien, je n’ai pas voulus te réveiller.

-Epargne-moi les excuses bidon ! Je veux être réveillé et près de toi tout le temps.

-Ok ! Eddie ! Mon Ange ! Tes désirs sont des ordres !

-Il le faut !

-Il le faut ?

-Oui ! Il le faut !

 

Eddie sourit et je me mis à le couvrir de bisous. Il fut content et me serra contre lui. Qu’il était beau mon dieu un vrai ange pour mon cœur et mon âme. Je le serrai également contre moi et je l’embrassais. Nous, nous embrassâmes un moment et l’heure d’aller au campus arriva. On se leva tous et on partie déjeuner. Ensuite nous, nous habillâmes et sortîmes pour le campus.

 

Alors qu’on marchait en direction du campus monsieur Barttas se dirigeait en direction de la salle de sport. Il marchait d’un pas sur lorsque soudain un grognement retentit. Monsieur Barttas s’arrêta et se mit à fixer les alentours. Il ne vit rien alors, il reprit sa marche mais au moment même le labrador apparut devant lui. Il se mit à le fixer avec haine de ses yeux jaunes diabolique en grognant. Monsieur Barttas se paralysa sur place et un grognement retentit derrière lui. Il se retourna et aperçut un dogue du tibet, un berger belge malinois et un Chow chow. Il se sentit soudain très mal et les chiens bondirent sur lui. Des hurlements ne tardèrent pas à se faire entendre lorsqu’un coup de pistolet fut tiré. Celui-ci toucha le dogue du tibet en pleine tête le tuant aussitôt. Les trois autres chiens lâchèrent prise et détalèrent derrière les buissons. Le chien mort reprit son apparence humaine et Abigaïl alors dis :

-Contrairement au doberman de tout à l’heure celui-ci n’était pas un vrai chien mais tout comme les premiers chiens morts un détenue échappé de la prison.

-Exact ! Dit le policier qui venait de tirer en s’approchant de monsieur Barttas.

-Cela fait plus que trois prisonniers évadés. Dit Abigaïl en approchant également du corps.

-Oui ! Donc 3 chiens à arrêter ou à abattre.

 

Abigaïl approuva d’un signe de tête et finit par dire :

-Comment ces humains sont t-ils devenus des chiens. Par un sort ? Par un sorcier ? Ou même un démon ?

-Je ne sais pas j’avoue que là cela me dépasse.

-Moi aussi.

 

Abigaïl et le policier s’échangèrent un regard après quoi, ils se baissèrent vers le corps. Monsieur Barttas respirait encore mais difficilement.

-Tenais bon ! J’appelle l’ambulance.

-Vous…Vous avez vu…Ils…Ils…Ils…

 

Sur ces mots, il mourut.

 

Abigaïl regarda le policier qui appelait une ambulance et lui fit signe de la tête qu’il était mort. Le policier eut une grimace et raccrocha. Ils restèrent sur place pour attendre les secours tendis que les autres chiens courraient à la recherche d’une autre victime.

 

Tendis qu’ils courraient Pierrot étaient fou de rage.

-Mais ce n’est pas possible ! Ils font chier ces humains ! Ils tuent tous mes membres ! Vous allez voir !

 

Sur ces mots, il se dirigea vers un labrador dans une cour et s’approcha de lui. Celui-ci se mit à aboyer alors Pierrot le regarda dans les yeux avec intensité et le chien cessa aussitôt d’aboyer.

-Ecoute moi attentivement mon grand ! Tu dois tuer tes maîtres des qu’ils auront prononcé le mot noël et les autres personnes que tu croiseras. Va ! Maintenant va rejoindre tes maîtres.

 

Le chien obéit et parti devant la porte de ces maîtres. Pierrot le regarda faire et s’en alla. Il se dirigea vers une autre maison où un berger allemand gardait.

-Regarde-moi ! Oui ! Regarde-moi dans les yeux !

 

Le chien obéit et cessa à son tour d’aboyer une fois qu’il croisa le regard de Pierrot. Pierrot lui dis alors la même chose.

-Tu dois tuer tes maîtres des qu’ils auront prononcé le mot noël et les autres personnes que tu croiseras. Va ! Maintenant va rejoindre tes maîtres.

 

Le chien obéit et parti lui aussi devant la maison de ces maîtres. Pierrot le regarda faire et dit :

-Bon ! Voila un peu de piment à cette journée mal commencé pour moi.

 

Il émit un sourire diabolique et décida de se retirer dans la forêt. Les deux chiens de leurs côté grattèrent à la porte de leur maître qui leur ouvrirent. Le labrador se dirigea vers sa gamelle et se mit à manger tendis que le berger allemand vint s’installer prêt de la table dans l’espoir d’avoir un morceau de pain. Deux fillettes se disputaient tendis qu’une plus grande regardais la télé.

-Passe la moi ! Elle est à moi !

-Non ! Ce n’est pas vrai !

-Si ! C’est ma peluche ! Pas la tienne !

-Non ! Ce n’est pas vrai !

-Si c’est vrai !

-Non ! Ce n’est pas vrai !

 

Leur grande sœur émit un soupir avant de dire :

-Arrêter de vous disputer ! Ou vous serez puni !

-Mais c’est elle ! Elle ne veut pas me rendre la peluche !

-Parce qu’elle est à moi ! Ce n’est pas la tienne !

 

Leur grande sœur les regarda l’une après l’autre et finit par dire :

-Si vous continuez, je vous confisque la peluche !

-Non ! S’exclamèrent les deux sœurs en même temps.

-Alors arrêtez de vous chamailler.

 

Les deux sœurs se turent peu contente et se dévisagèrent froidement. Soudain celle qui ne tenait pas la peluche alors dit :

-Passe-moi la peluche !

-Non !

-Si !

 

La grande sœur eut une grimace avant de dire :

-Ce n’est pas vrai ! Vous n’allez pas recommencer !

-Mais c’est ma peluche !

-Non ! Ce n’est pas vrai ! C’est la mienne !

-Ok ! Très bien dans ce cas donner moi la peluche ! Cette fois, j’en ai marre !

-Non ! Dirent les deux fillettes !

-Si ! Et inutile de discuter !

 

Les deux gamines eurent une moue peu ravi et celle qui tenait la peluche la tendit à sa sœur. La grande sœur la pris et la posa sur un meuble en disant :

-Voila ! Comme ça on va peut-être pouvoir déjeuner en pais.

 

Les deux petites se mirent à boudés et la grande caressa le labrador qui lui lécha le visage. Elle le flatta tendis que les deux petites continuaient de faire la tête. Elles firent la tête encore un instant et soudain la plus petite dit :

-Maman, je peux avoir des céréales au chocolat.

-Non ! Tu manges celle au caramel ! On vient d’ouvrir le paquet.

-Mais je veux celle au chocolat.

-Tu commences à devenir embêtante. Si tu continue, tu iras dans ta chambre.

-Mais maman…

-Tais-toi ! Et obéit sinon tu n’auras rien à noël.

 

A peine eut-elle dit cela que le chien devint mauvais. Il bondit sur la fillette et lui arracha la moitié du visage. Un hurlement retentis et le chien continua de s’acharner sur la gamine après quoi, il fit face aux autres qui poussèrent un hurlement de terreur. Le chien regarda les trois personnes qui lui faisait face et bondit en avant. La mère lui envoya un coup de casserole en pleine tête et le chien poussa un couinement. La grande sœur mit sa petite sœur derrière elle et recula vers une porte. Elle donna un coup en passant au meuble où se trouvait la peluche qui tomba au sol. La grande sœur marcha dessus en continuant de reculer malgré tout en direction de la porte. Elle parvint à ouvrir la porte où elle fit rentrer sa sœur ainsi qu’elle. Sa mère de son côté tenait toujours la casserole et s’apprêtait à tout moment à l’abattre sur le chien. Celui-ci bondit en avant mais reçu un coup de casserole. Il tituba un instant mais ne perdit pas espoir et bondit à nouveau. Cette fois-ci la mère tenta de le frapper mais trébucha sur la peluche et le chien se jeta sur elle. Des cris résonnèrent dans la pièce tendis que la grande sœur et la petite sœur tentais de trouver un endroit dans la pièce où se réfugier. Elles se dirigèrent vers la fenêtre de la pièce que la grande sœur ouvrit et fit passer sa petite sœur en premier. Elle la suivit de près tendis que le chien s’acharnait contre la porte de la pièce où elles se trouvaient. Il finit par arriver à l’ouvrir en attrapant la poigné et se mit ensuite à fouiller la pièce du regard. Il vit la fenêtre ouverte et détala aussitôt vers elle où il bondit. La grande sœur détala aussitôt droit devant elle en tenant la main de sa sœur tendis que le chien les pris en chasse. Les deux jeunes gens continuèrent de courir mais le labrador était sur ces talons. Il leur bondit dessus les faisant perdre l’équilibre. Il commença à s’acharner contre la grande sœur alors celle-ci cria :

-Vite ! Va te cacher chez les voisins !

 

La gamine hésita mais sa grande sœur insista :

-Vite !

 

Elle détala aussitôt et le chien de son côté se mit à déchiqueter la jeune femme qui se mit à hurler de douleurs. Tendis qu’il la déchiquetait la petite arriva devant la porte des voisins où elle frappa. Les voisins lui ouvrirent et la petite alors dit :

-Mon chien ! Il est devenu méchant et à tué ma sœur et ma maman.

-Quoi ! Tu…

 

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase car le chien arriva derrière la fillette. Les voisins un couple de retraité attrapèrent la gamine qu’ils mirent contre eux tendis que le chien avança en grognant férocement. Le couple tira la gamine à l’intérieur de la maison et ferma la porte. Le labrador s’acharna sur la poigné et soudain regarda une vitre avec intérêt. Il fit un bon en arrière et bondit contre la vitre qu’il brisa. Il atterrit dans le salon et se mit à grogner.

-Mais il à quoi ce chien ?

-C’est peut-être la rage. Dit alors la vieille femme.

-La rage ? Demanda alors la fillette.

-Une maladie qui peut rendre les chiens fous.

-C’est ce cas mon chien ?

-Oui ! Enfin…On dirait bien.

 

La fillette regarda son chien et finit par dire :

-Que faut-il faire pour mon chien ?

-Il faut le tuer. Dit alors le vieil homme.

-Le tuer ?

-Désolé, il n’y à pas d’autre choix.

 

La fillette regarda son chien qui aboyait de rage avec de la bave aux lèvres. Elle était tétanisée et le chien bondit alors sur la vieille dame qui tomba sur le dos. Son mari se jeta sur le côté et s’empara d’un fusil. Tendis qu’il s’emparait du fusil le chien venait de tuer la vieille dame. Il se tourna face à la fillette et au vieil homme. Le chien se mit à leur faire face en grognant tendis que le vieil homme se mit à charger son arme. Il dirigea son canon sur le chien qui bondit au même moment sur la fillette. Il tira aussitôt sur le chien tendis que la gamine fut projeté contre le mur. Elle tomba inerte du au bond du chien et le chien resta allonger sur le sol. Le vieil homme s’approcha du chien et le toucha du bout de pied mais il ne bougea pas. Il se baissa et écouta le pouls de la fillette mais du sang se trouvait sur sa tête. Le vieil homme compris qu’il était trop tard et quelle était morte du au choc. Il se releva et se dirigea vers sa femme mais un grognement retentit. Il se retourna et vit le chien le poitrail en sang mais toujours vivant. Le chien grogna furieusement et bondit sur lui qui n’eut pas le temps de tirer. Il déchiqueta le vieil homme et meurtrit par la balle reçu peu avant, il se mit à tituber. Il tituba un instant et s’écroula sur le sol à côté de la fillette.

 

Tendis qu’il venait de s’écrouler le berger allemand espérait toujours recevoir un morceau de pain. Il fit le tour de la table et le fils unique de la maison finis par tendre un morceau. Le chien le pris et le mangea aussitôt tendis que le père lisait son journal. La mère de son côté faisais chauffer du café et le voyant faire dit alors :

-Benjamin ! Je t’ai déjà dis de ne pas donner à manger au chien à table.

-Tu as dis à la table où l’on dîne.

-C’est la même table que celle où l’on déjeune.

-Ouais ! Bon d’accord !

 

Benjamin haussa les épaules et poussa un soupir peu content. Il continua à déjeuner en s’emparant d’un autre morceau de pain qu’il tartina de nutella. Sa mère lui jeta un coup d’œil et se mit à verser le café. Le père continua de lire son journal et au bout d’un moment finit par dire :

-Alors Ben ! C’est quand ton concours de sport ?

-Vendredi matin au stade.

-Ok ! J’espère que tu seras au mieux de ta forme.

-T’inquiète papa. Je me suis pas mal entraîné ces derniers jours.

-Ok ! Alors je te souhaite de gagner.

-Moi aussi ! Dit alors la mère du garçon.

 

Benjamin sourit et mordit dans sa tartine. Le chien le voyant faire se lécha les babines. Il battit ensuite de la queue et vint vers son jeune maître réclamer un morceau à grignoter mais quand le garçon croisa le regard de sa mère, il refusa alors de céder à son chien.

-Désolé mon coco ! Mais pas de chocolat pour toi.

 

Le chien se lécha les babines sans comprendre ce que lui disait son jeune maître. Ensuite, il se dirigea vers lui et posa sa tête sur sa cuisse.

-Inutile de chercher à m’attendrir, tu n’auras pas de chocolat.

 

Le chien ne compris rien à ces paroles car il se lécha le nez et laissa sa tête sur sa cuisse. Le jeune homme s’empara de son verre de jus d’orange et commença à boire. Le père continua de lire et soudain dis :

-Si tu gagnes le concours ou que tu sois dans les premiers, nous irons au grand restaurant près du bar le lièvre.

-C’est vrai ?

-Oui ! C’est vrai !

-Cool ! Merci papa !

-Ne me remercie pas c’est ta mère qui à eut l’idée.

-Oh ! Merci maman ! Merci à vous deux !

 

Les parents sourirent et le père alors dit :

-Ce sera ton cadeau de noël et…

 

Il ne finit pas sa phrase car leur chien venait de grogner.

-Major qu’est-ce qu’il y a ? Demanda alors le jeune homme en croisant le regard du chien.

 

Le chien lui répondit d’un grognement et bondit sur lui à la gorge. Le père posa le journal et bondit en avant pour faire lâcher prise au chien. Quand le chien vu cela, il laissa le corps de son fils pour bondir sur lui. Le père tomba sur le dos avec le chien sur lui et tenta de lutter pour repousser le canidé qui le mordit au bras. La mère se mit à hurler et fonça dans la cuisine où elle chercha une arme. L’homme de son côté envoya un coup de point au chien qui poussa un couinement. Il parvint à le repousser et roula sur le côté afin de se relever. Il se releva au moment même où le chien lui bondit dessus. Il le saisit au dos et resta accrocher tendis que l’homme retombais au sol. Sa femme s’empara d’un couteau de cuisiner et vint frapper le chien au flanc. Fou de rage celui-ci lâcha l’homme et se tourna face à la femme. Il grognait de rage et ses yeux brillaient avec une lueur inquiétante. La femme recula d’un pas en tenant toujours le couteau. Le chien tituba et s’effondra la langue sortit. La femme regarda le chien inerte et son mari se releva. Ils s’approchèrent du corps inerte et la femme alors dis :

-Pourquoi est-il devenu soudain méchant ?

-Je ne sais pas…Je ne comprend pas…

 

Le couple se regarda sans savoir que Pierrot parlait au chien à distance.

-Relève toi ! Major ! Lève-toi ! Et tue-les ! Tu dois faire ça avant de mourir !

 

Le chien poussa un grognement et bondit sur la femme qu’il saisit à la gorge. Son mari tenta de le faire lâcher prise mais le chien tenait bondit. Sa femme se mit à attraper ses mâchoires afin d’essayer de le faire lâcher prise en vint. Du sang provenant de sa gorge coula sur le sol et la femme commença à s’étouffer avec son propre sang. Elle s’écroula sur le sol tendis que son mari tenta de lui venir en aide. Elle se mit à suffoquer et mourut sous les yeux de son mari qui dis :

-Bernadette ! Non !

 

Le chien laissa le corps de sa femme et se tourna face à l’homme. Celui-ci recula mais le chien était bien décidé à en finir. Il poussa un grognement et bondit sur son maître qui tentait de fuir en reculant. Un hurlement s’éleva et le chien se mit à déchiqueter son maître. Une fois mort, il se lécha les babines et soudain tituba et s’effondra au sol mort.

A suivre...

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